Face au «Hirak» du Rif, les islamistes marocains ne jouent pas la même partition. Une divergence qui n’est pas sans rappeler celle face aux marches du Mouvement du 20 février en 2011.
Brahim Ghali a trouvé la parade pour se dérober de sa responsabilité de l’échec de sa gestion de la crise de Guerguerate, faisant endosser la responsabilité de ce revers à Mohamed Abdelaziz et ses négociateurs du cessez-le-feu de 1991. Il a laissé fuité un «document classé confidentiel» dans la presse. Une fuite qui intervient étrangement à la veille de la commémoration du premier