Plusieurs heures après le transfert de Rabat à Al Hoceima de sa dépouille, Imad El Attabi a été inhumé mercredi en début de soirée au cimetière «Akra Azougagh» à l’entrée d’Al Hoceima. Des funérailles marquées par la présence des activistes du Hirak.
Dans une déclaration lors du conseil du gouvernement hebdomadaire, le Premier ministre israélien n’a pas hésité à critiquer l’absence du Maroc et de l’Afrique du Sud au prochain sommet israélo-africain. Détails.
Les assauts répétés de migrants à Melilla et Ceuta inquiètent certains sécuritaires dans les rangs de la Garde civile espagnole. Sous couvert d’anonymat, ils constatent que le Maroc «a levé le pied» mais déclarent «ignorer les raisons de la colère» des autorités de Rabat.
L’ère des dirigeants politiques populistes vit-elle ses dernières heures ? Effet domino, la démission d’Ilyas El Omari pourrait entrainer dans son sillage les départs de Hamid Chabat, Driss Lachgar et Abdelilah Benkirane. De nouveaux profils cherchent à prendre le relais : Belkouch et Ouahbi au PAM, El Othmani au PJD et Nizar Baraka à l’Istiqlal.
Ilyas El Omari a jeté l’éponge, annonçant lundi soir qu’il démissionne de son poste de secrétaire général du PAM mais qu’il continuera à travailler au sein du Tracteur. Ce mardi, le président de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima a organisé une conférence de presse pour s’expliquer. Compte-rendu.
Ilyas El Omari quitte le PAM sans avoir honoré ses engagements. Il a échoué à évincer le PJD de la première place du podium aux législatives du 7 octobre 2016. Il a également failli à assumer sa mission de médiateur entre l’Etat et le Rif.