Dans le cadre de l’affaire Félix Ramos, où cet Espagnol est poursuivi à Tanger suite à deux plaintes, dont une pour abus sexuel sur mineur, le nom de l’association «Ningún Niño Sin Techo» (Pas d’enfant sans toit) est cité à plusieurs reprises. Une raison pour laquelle sa présidente a quitté le Maroc pour Marbella alors que le centre de l’ONG à Tanger a été fermé.
Dans une enquête rendue publique jeudi, Amnesty International dénonce les mesures exceptionnelles entreprises par la France dans le cadre de la loi antiterroriste. Des mesures qui persistent malgré la levée de l’état d’urgence et qui s’accompagnent de «pratiques abusives» et «discriminatoires», notamment à l’encontre des musulmans.
Fatima est une saisonnière marocaine rencontrée par El Espagnol. Elle indique que l’entreprise espagnole pour laquelle elle travaille à Almonte (Huelva) l’expulse avec une cinquantaine de femmes pour éviter de nouvelles dénonciations.
Président de l’association chiite «Ressalis progressistes» interdite par les autorités et détenu depuis juillet 2016 pour une affaire de «détournement de fonds publics», le chiite marocain Abdou Chougrani vient d’adresser une lettre depuis la prison de Bourkaiz de Fès. Détails.
Dans un rapport rendu public ce jeudi, Human Rights Watch et Amnesty International s’intéressent aux allégations de torture et de violences policières formulées par le leader du Hirak et les autres détenus. Les deux ONG exhortent les autorités et les tribunaux à effectuer des examens médicaux «rapides» afin de préserver toutes les preuves physiques appropriées.