Cet après-midi à la Chambre des représentants, le ministre de l’Intérieur a défendu les mesures prises par son département contre les agents d’autorités coupables d’abus de pouvoir. Mohamed Hassad a précisé que ces irrégularités sont des «cas isolés». En revanche, il a alerté de la montée en flèche du nombre d’agressions commises contre des fonctionnaires
Mis en liberté provisoire la semaine dernière cinq mois après son retour de Guantanamo, Younes Chekkouri s’est confié à Associated Press. L’ex-détenu revient certes, en larmes, sur les circonstances de son arrestation et ses conditions de détention, mais se veut optimiste pour l’avenir.
L'Espagne doit arrêter de renvoyer systématiquement les migrants illégaux vers le Maroc. C'est l'appel lancé à Madrid par Human Rights Watch après plusieurs incidents survenus la semaine dernière suite aux assauts des migrants. La Guardia civil pour sa part, assure agir dans le respect de la loi. Mais des preuves la trahissent. Détails.
Amina Mourad et Benacer Smaïni, responsables de l’association de défense des victimes des microcrédits d’Ouarzazate ont été condamnés mardi dernier à 1 an de prison ferme. Ils étaient poursuivis pour escroquerie, diffamation et menaces par un organisme de microcrédit. Estimant qu’aucune preuve de leur culpabilité n’a pu être clairement établie, l’ONG Attac Maroc ainsi que
Les MRE en voient de toutes les couleurs dans les consulats du Maroc en Belgique. Plus de 300 plaintes ont été enregistrées par l’AMDH Belgique concernant différentes formes d’abus, corruption et harcèlement. L’Ambassade feint de ne rien savoir, disant que ses agents font bien leur travail. Détails.
15.526 photos érotiques et 30 vidéos mettant en scène des relations sexuelles avec des enfants ont été saisies par le police à Marrakech. Ces éléments incriminent des Français qui se seraient adonnés à la pédophilie dans la ville ocre en toute tranquilité avec l'aide d'adultes Marocains.
Selon un rapport de l’ONG Human rights watch (HRW) publié ce lundi, la loi antiterroriste adoptée par le Maroc quelques jours après les attentats meurtriers du 16 mai 2003 à Casablanca donnerait lieu à de nombreux abus. Les tortures, mauvais traitements, arrestations arbitraires entre autres, seraient ainsi régulièrement pratiquées sur les personnes arrêtées dans le cadre de cette loi. Le gouvernement sommé de