Le procès des 24 sahraouis de Gdim Izik, qui s’ouvrira le 26 décembre à la Cour d’appel de Salé, sera l’occasion pour des avocats marocains connus sur la scène politico-médiatique de croiser le fer avec une quarantaine de pénalistes étrangers (Français, Espagnols, Belges et un Américain). Chaque camp a tenu des points de presse, respectivement à Rabat et Paris.
A quelques jours de la tenue du procès devant une juridiction civile des personnes arrêtées au lendemain du démantèlement du camp de Gdim Izik, les familles des victimes ont annoncé la naissance de l'association de coordination des familles et amis des victimes de Gdim Izik. Pour clarifier les conditions de la création de cette ONG, Mohamed Atertour, son président, revient sur sa naissance et ses objectifs. Interview.