Chaque 1er mai, la classe ouvrière fait le bilan de ce qui a été accompli ou non de ses revendications durant l’année. Au Maroc, cette journée intervient après la signature d’un nouvel accord entre le gouvernement et trois centrales syndicales, en plus de la CGEM. La Confédération démocratique du travail (CDT), elle, a boycotté l’accord.
Samedi, les cinq principales centrales syndicales de l’enseignement participent à une marche nationale de la Coordination des enseignants contractuels à Rabat. En plus de contester une situation de crise qui persiste, ils accusent le ministère de tutelle d’induire en erreur l’opinion publique.