La condamnation de l’ancien président égyptien Mohamed Morsi à la peine capitale embarrasse le PJD et sa matrice le MUR. Tous les deux n’ont pour l’instant pas fait le moindre commentaire. Seul le bras estudiantin du parti a dénoncé la sentence. De son côté, Al Adl wal Ihssane a consacré des articles à cette condamnation mais jusqu’à présent elle n'a pas encore communiqué de position
Le clan opposé au déplacement de Shimon Pérès au Maroc gagne de nouveaux adhérents. Après l’appel lancé la semaine dernière par le Groupement national de soutien à la Palestine, le Réseau démocratique de solidarité avec les peuples dénonce le projet de visite de l’ancien président israélien. Al Adl wal Ihsane est du même avis même si son engagement n’est
Les ministres du PJD ont-ils renié leur solidarité avec les Frères musulmans ? Al Sissi n’est plus traité de «putschiste». Ils ont jeté aux oubliettes leur hostilité vis-à-vis de l’auteur de la destitution de l'ancien président Mohamed Morsi. Les PJDistes sont désormais sur la même longueur d’onde que le Palais.
Al Adl wal Ihssane tient à faire savoir qu’elle reste un opposant à la monarchie et non au gouvernement. Une position alimentée à longueur d’année par des critiques destinées au Palais sur certaines questions. Aujourd’hui, une émanation d’AWI accuse le pouvoir marocain d’encourager la normalisation avec Israël et de soutenir le régime d’Abdelfattah al Sissi en Egypte.
Le nouveau rapprochement entre le Maroc et l’Egypte inquiète le pouvoir algérien au point que Ramtane Lamamra a téléphoné à Sameh Choukri, quelques heures seulement après les entretiens entre Mohammed VI et Al Sissi.
48 heures après la visite de Sameh Choukri au Maroc, le ministère égyptien de la Culture est contraint de sortir de sa torpeur pour publier, aujourd’hui, une mise au point sur le journaliste qui attaquait Mohammed VI en décembre dernier. Détails.
Il serait désormais très difficile d’entendre un média officiel marocain traité Al Sissi de «leader des putschistes». La page semble tournée. Le Maroc par la voix de son ministère des Affaires étrangères appuit «la révolution du 30 juin 2013». Celle qui avait permis la destitution de l’ancien président Mohamed Morsi en échange d’un soutien du Caire à son