Contrairement aux idées communément admises, le taux de la classe moyenne au sein de la population marocaine a bien connu une augmentation. Une analyse du Policy Center For The New South suggère que cette tendance déconstruirait les perceptions selon lequelles les ménages deviennent plus riches ou plus pauvres. Pour autant, ce constat est limité par les bouleversements engendrés par la pandémie de 2020.
Abdelilah Benkirane n’est plus à la tête du gouvernement ; le PPS en subit les premières conséquences. Le projet si cher à Nabil Benabdallah de créer des logements pour la classe moyenne est tombé à l’eau. Le ministre des Finances a refusé de l’intégrer dans le PLF 2018.
Une énième étude sur l’école publique est sortie. Le Conseil supérieur de l’éducation, de la formation et de la recherche scientifique a découvert que nos lycéens ont un niveau catastrophique (...) La conclusion est connue de tous : l’enseignement public agonise.
L’injustice fiscale au Maroc est une réalité souvent occulté. Une tribune d’un haut fonctionnaire du ministère marocain des Finances publiée sur le site français Les Echos l’a remis en lumière. Salariés et consommateurs moyens étant toujours les premières victimes du système fiscal marocain, l’économiste Najib Akesbi alerte sur l’urgence. Explications.
Bank Al Maghrib a dévoilé, ce week-end, son rapport annuel au titre de l’année 2013. De manière générale, l’Institution retrace une année plutôt bonne sur le plan économique, mais note une hausse du taux de chômage et estime que le Maroc doit mener des actions «ciblées et cohérentes» pour garantir l’essor d’un véritable classe moyenne.
Christine Lagarde, en chemin pour la grande conférence régionale du FMI à Aman en Jordanie, a fait halte à Rabat. Elle a expliqué ce qui ferait, selon le FMI, le développement économique de la région. Elle désigne notamment du doigt l'accroissement des inégalités au Maroc.