Les procès-verbaux des membres du groupuscule d’ultradroite AFO révèlent un large maillage territorial mais, surtout, un groupe sans statut associatif officiel qui n’aura pas longtemps vécu, loin des associations officielles proches des milieux d’extrême droite.
Un Think tank espagnol a récemment publié une étude intitulée «Marocains et deuxième génération entre les jihadistes en Espagne». Selon celle-ci, près de la moitié des terroristes qui sont passés à l’acte ces dernières années sont de nationalité marocaine.