Un Dahir royal promulgué le 5 juillet 1967 et des articles de l’actuel code pénal sont aux services des autorités dans la mise en place de l’état d’urgence sanitaire. Des textes avec des peines d'emprisonnement et des amendes contre les contrevenants.
Cette semaine, le groupement du progrès et du socialisme à la Chambre des représentants a émis une série de propositions d’amendement au Code pénal, en discussion à la Commission de justice, de législation et des droits de l'homme. Aicha Lablak, présidente du groupement PPS, revient auprès de Yabiladi sur ces propositions.