Alors que le CESE évoque des «contraintes d’ordre organisationnel et logistique ainsi que des incompatibilités d’ordre juridique» pour expliquer la non-participation politique des MRE, des associatifs et des experts de la question critiquent ce récent avis, pointant un rapport «décevant» et utilisant «des arguments éculés» et une «exclusion» qui persiste pour les Marocains du monde.
Selon les résultats d’un sondage mené en janvier par l’Institut d’études sociales et médiatiques (IESM), 60% des Marocains ne font pas confiance aux partis alors que 81,3% déplorent l'influence de l'argent sur les résultats des élections.
Après avoir émis un mémorandum conjoint au ministère de l'Intérieur sur les réformes politiques, démocratiques et électorales, la «coalition» d'opposition entre le PAM, l’Istiqlal et le PPS connaît déjà sa première épreuve, suite aux déclarations récente de Mohamed Nabil Benabdallah.