Le stade du douar Tizirt emporté hier par les crues de l’oued asséché, faisant sept morts, remet en question le respect des normes de construction au niveau des zones inondables. Dans un contexte mondial de changements climatiques, le retour des eaux à leurs anciens lits est en effet un danger réel qui guette nombre de villes et villages au Maroc.
Alors que les opérations de recherche se poursuivent pour trouver les personnes disparues dans les inondations survenues mercredi soir à Douar Tizirt, situé dans la commune Imi N'Tayart (District d’Ighrem, province de Taroudant), des témoins présents sur place décrivent un village sous le choc qui a inhumé ce jeudi sept victimes. Said El Attar, l’un des rescapés, revient sur les circonstances de ce drame
Deux jours après avoir mis en doute le bénévolat des jeunes belges sous prétexte qu’elle «portent des habits de plage», Ali El Asri opère un rétropédalage. Mais le mal est déjà fait.
Un groupe de jeunes bénévoles belges, majoritairement des filles, s’est rendu à Tadoudant pour prendre part à la construction d’une route rurale, dans le cadre des activités de l’ONG belge Bouworde. Un badbuzz a tenté de détendre sur ce séjour, mais une campagne est lancée sur les réseaux sociaux pour y répondre.
Dans cette série, Yabiladi revient sur les grands lieux de pèlerinage juif au Maroc, visités annuellement par des milliers de fidèles et de curieux. Dans ce cinquième épisode, les multiples versions et légendes liées à l’histoire de Rabbi David Ben Barroukh, dont le mausolée est situé près de Taroudant.