Qui es tu ? Un Sayanim, c'est à dire des agents Passif à la solde d’Israël ?
Un mec intelligent comme toi, ne devrait pas, mais bon, l'argent peut tout acheter. Tu en ai la preuve.....
Tu es quan...Suite d même un drôle d'oiseau.
Tu parle comme les Médias, pardon, les Merdias.
Des idées tirées par les cheveux, un peu le Figaro, tu sais, c'est journaux avec des partis pris, ou plutôt Haaretz pseudo journal de gauche Israélienne ?
Dis nous, sincèrement, pour nous éclairés.
Qui es tu ?
je te laisse y répondre WTF
Au fait, WTF stands for "what the fuck" non ?
Merci de nous ouvrir les yeux sur la Culture et de t'en réjouir.
Merci aussi de ne pas tout mélanger à ton tour.
Cultur...Suite e ou cul tout court ?
Un modèle pour nos jeunes ???
Exemple : Rude boy
"Come on, get it up, rude boy" traduction :
"Vas y, mauvais garçon, montre moi comment tu bande"
Merci à la culture Américaine, demain nous seront...Suite tous culturellement plus intelligent grâce à des chansons comme Rude Boy, merci pour nos enfants.
Ps: J'ai grandi au USA, Angleterre,Ecosse, Irlande
Jean-François Chalot y voit une ingérence malsaine au nom du grand capital:
«Ils sont tous là, droits dans leurs bottes, pour soutenir l’intervention militaire française au Mali. Ils sont bien...Suite alignés, au complet: le PS, les deux fractions de l’UMP unies en la circonstance et le FN… Il n’y a pas ici de contraintes budgétaires qui tiennent… L’intérêt supérieur des capitalistes prime avant tout. C’est le retour de la sainte France-Afrique, dénoncée, hier, par une gauche dans l’opposition et acceptée aujourd’hui par une gauche libérale au pouvoir. Il ne manque plus que l’Église pour aller bénir les bombardiers…. C’est comme en 14, vive les marchands de canons! Le matraquage médiatique a été bien mené: on présente les islamistes aguerris, sanguinaires qui attaquent le Mali en oubliant qu’au moment de la chute de Khadafi des hommes lourdement chargés et bien équipés militairement ont traversé le grand désert pour venir au Mali. Lorsque le Mnla, Mouvement national pour la libération de l’Azawed, a proclamé l’indépendance du nord du pays, il a obtenu le soutien bienveillant et actif financièrement et politiquement de la France…. La lutte contre l’islamisme radical n’est qu’un leurre… Ici, l’impérialisme le combat alors que là-bas, juste à côté, en Libye, le même impérialisme l’a aidé à accéder au pouvoir…. C’est la géopolitique et les intérêts économiques qui priment, c’est ainsi que les États-Unis essayent, de leur côté, de réduire l’influence française et d’assurer une présence politique et économique en Afrique… Voici les vrais enjeux. Le peuple du Mali est sacrifié.» (5)
Tout en étant officiellement menée en coopération avec le gouvernement malien qui est sujet à des coups d’Etat, l’invasion française au Mali est un acte de gangstérisme impérialiste. Justif...Suite ié à la population malienne et française sur la base de mensonges cyniques, la guerre attisera une guerre civile qui a déjà transformé 300.000 Maliens en réfugiés et embrasera tout le Sahel.
Tandis que les bombes françaises s’abattaient sur le Mali, Hollande a mis en garde que le pays fait face à une « agression d’éléments terroristes » parmi les rebelles au Nord du pays. Il ajouté « Les terroristes doivent savoir que la France sera toujours là lorsqu’il s’agit, non pas de ses intérêts fondamentaux, mais des droits d’une population, celle du Mali, qui veut vivre libre et dans la démocratie. »
La prétention que la France s’empresse de défendre la démocratie à l’encontre d’al Qaïda au mépris total de ses propres « intérêts fondamentaux », est un mensonge absurde. D’abord, le gouvernement français n’a aucune position de principe à l’égard d’al Qaïda. Les forces djihadistes libyennes ont aidé Paris et ses alliés de l’OTAN à renverser Mouammar Kadhafi durant la guerre libyenne en 2011 et Paris continue de s’appuyer sur le Front Al-Nusra qui est lié à al Qaïda dans la guerre par procuration que mène l’OTAN contre le président syrien Bachar al Assad.
L’impérialisme français est en train de mener une guerre au Mali qui est tout à fait conforme à ses intérêts fondamentaux. Le Mali qui a été une colonie française de 1892 à 1960 et se trouve au centre géographique de l’Afrique occidentale, est une région riche en ressources, qui était jadis au cœur de l’empire colonial français.
Depuis 1968, le groupe nucléaire français Areva a déjà extrait au Niger voisin 100.000 tonnes d’uranium et projette d’y ouvrir en 2014 la deuxième plus grande mine d’uranium du monde. Le gouvernement Hollande se sert de la guerre pour établir des liens étroits avec le régime algérien qui dispose d’immenses réserves de gaz naturel. Les forces françaises sont également déployées au Sénégal, au Burkina Faso et en Côte d’Ivoire. Tous ces pays sont d’anciennes colonies françaises.
La France collabore avec les Etats-Unis. La Grande-Bretagne et d’autres alliés de l’OTAN pour planifier une intervention plus vaste au Mali, et pour laquelle divers régimes fantoches d’Afrique occidentale fourniront les troupes au sol. Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon, a confirmé que le Sénégal et le Nigeria ont déjà envoyé de l’« aide » au Mali. Le ministre burkinabé des Affaires étrangères a annoncé que dans un jour ou deux, après une réunion du parlement, son pays allait envoyer 500 soldats.
Samedi, un représentant de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) a annoncé que l’organisation dépêcherait aujourd’hui même des troupes au Mali. La présidence rotative de la Cédéao est actuellement assurée par le président de la Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara, qui est arrivé au pouvoir en avril 2011 grâce à une opération militaire française soutenue par l’ONU après des élections contestées.
Les partis droitiers en France se sont rangés derrière la guerre au Mali. Jean-François Copé, le porte-parole du parti gaulliste, Union pour un mouvement populaire (UMP), a promis d’apporter son « soutien » à Hollande
La dirigeante néo-fasciste française, Marine Le Pen, a salué la guerre de Hollande en la jugeant « légitime, » et en ajoutant : « Notre pays a été appelé à l’aide par le gouvernement légitime du Mali en application d’une coopération de défense entre nos deux pays, dans une zone francophone. »
La guerre au Mali est la première guerre majeure lancée par le gouvernement du Parti socialiste de Hollande qui est arrivé au pouvoir l’année dernière. Elle révèle au grand jour de la manière la plus dévastatrice le rôle joué par les forces de « gauche » petites-bourgeoises tels le Parti communiste français (PCF), le Front de Gauche et le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA), qui avaient appelé à voter inconditionnellement pour Hollande.
L’intervention au Mali répond pour Hollande à un important objectif sur le plan intérieur, celui de détourner l’attention des attaques brutales perpétrées contre la classe ouvrière française. Ce n’est pas par hasard que quelques heures après l’attaque lancée contre le Mali, le gouvernement Hollande a annoncé une réforme du marché du travail, la plus profonde à ce jour. Cette réforme comprend l’imposition de conditions de travail plus « flexibles ». Ces mesures, négociées avec les syndicats, ont immédiatement été acclamées par l’association patronale du Medef comme permettant au pays de retrouver sa compétitivité.
Dans la guerre au Mali, la France collabore étroitement avec les alliés de l’OTAN. Le commandant des Forces américaines en Afrique, le général Carter Ham, a dit que le Pentagone réfléchissait à un vaste éventail d’options pour « soutenir les efforts de la France, » y compris un partage du renseignement et un soutien d’ordre logistique mais n’envisageait pas de déployer des troupes américaines. Washington examinerait en ce moment une requête de la France pour que les Etats-Unis permettent à la France d’utiliser des drones américains.
Le bureau du premier ministre britannique, David Cameron, a dit à l’AFP qu’il enverrait deux avions de transport pour aider à l’acheminement de soldats et de matériel mais qu’il n’y aurait pas de troupes terrestres britanniques.
Un déluge d’articles a été mis en circulation très rapidement afin de défendre l’intervention militaire de la France au Mali, « The Crisis in Mali: Will French Intervention Stop the Islamist...Suite Advance? » décide par exemple que les vieux trucs sont toujours les meilleurs trucs et élit le narratif éculé de la “guerre contre la terreur” comme fil directeur.
Le “Time” clame que l’intervention cherche à arrêter les “terroristes islamistes” de renverser l’Afrique et l’Europe. L’article stipule spécifiquement que:
“… Il y a une peur, probablement fondée en France, pour que l’islamisme radical du Mali menace la France, car la plupart de ces islamistes parlent français et ont des membres de leur famille en France. (Des sources émanant du renseignement à Paris ont dit au “Time” qu’ils ont identifié des aspirants djihadistes quittant la France à destination du nord du Mali pour s’y entrainer et y combattre), Al-Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI), un des trois groupes formant l’alliance islamiste malienne et qui lui procure la plupart de ses chefs a aussi désigné la France, le représentant des puissances occidentales dans la région, comme cible principale d’attaques à venir.”
Ce que par contre le “Time” décide de ne pas dire à ses lecteurs est qu’AQMI est très étroitement lié au Groupe Libyen Combattant Islamiste au nom duquel la France est intervenue dans l’invasion par procuration de la Libye en 2011, donnant des armes, de l’entrainement, des forces spéciales et un soutien aérien important pour les aider à renverser le gouvernement libyen.
En remontant à août 2011, Bruce Riedel, du think-tank de la Brookings Institution, financé par le cartel des entreprises monopolistes, écrivit « Algeria will be next to fall, » où il dépeignait que le succès prévu en Libye renchérirait les éléments radicaux en Algérie, particulièrement ceux de l’AQMI. Entre la violence extrémiste et l’anticipation de frappes aériennes françaises, Riedel espérait voir la chute du gouvernement algérien. De manière ironique Riedel notait: “L’Algérie a exprimé ses préoccupations en ce qui concerne les troubles en Libye et que ceux-ci pourraient bien mener au développement d’un nouveau havre de sécurité et un sanctuaire pour Al Qaeda et d’autres extrémistes djihadistes.”
Nous pouvons donc remercier l’OTAN, car c’est exactement ce que la Libye est devenue, un sanctuaire pour Al-Qaïda sponsorisé par l’Occident (- A Western sponsored sanctuary for Al-Qaeda.). La tête de pont de l’AQMI dans le nord du Mali et maintenant l’implication directe de la France qui va voir le conflit déborder inévitablement sur le sol algérien. Il doit ici être noté que Riedel est un des auteurs du texte de commande du think-tank « Which Path to Persia?« , qui conspire ouvertement pour armer une autre organisation listée terroriste par le département d’état américain: le Mujahedin-e Khalq (MEK), qui sème les troubles en Iran et aide à renverser le gouvernement là-bas. Ceci illustre bien le canevas pour l’utilisation d’organisations clairement terroristes, même celles listées par le ministère des affaires étrangères américain, afin d’aider à réaliser l’agenda de la politique étrangère américaine.
L’analyste en géopolitique Pepe Escobar a noté une relation même plus directe entre le groupe islamiste combattant libyen et AQMI dans un article publié dans Asia Times titré: « How al-Qaeda got to rule in Tripoli: »
“Crucialement, et toujours en 2007, le No2 d’Al Qaïda d’alors, Zawahiri , avait annoncé officiellement la fusion entre le groupe libyen islamiste et Al Qaïda dans la mouvance AQMI. Ainsi pour toute application pratique depuis lors, le Groupe Islamiste Combattant Libyen et AQMI ont été un et un seul et Belhaj était/est son émir.”
“Belhaj, référence à Hakim Abdul Belhaj, leader du groupe islamiste de Libye, mena le renversement de Mouamar el-Kadhafi avec le soutien sans conteste de l’OTAN, des armes, du financement et une reconnaissance diplomatique par les mêmes, ce qui eut pour effet de plonger la nation dans une guerre civile incessante entre factions tribales. Cette intervention a également vu l’épicentre de la rébellion, la ville de Benghazi, se séparer de Tripoli pour devenir un émirat semi-autonome.” La dernière campagne de Belhaj l’a vu bouger en Syrie où il réside de manière admise à la frontière turco-syrienne, demandant plus d’armement, d’argent et de combattants pour la soi-disant “Armée Syrienne Libre” (ASL) et ce toujours sous les bons auspices et le soutien inconditionnel de l’OTAN.
L’intervention de l’OTAN en Libye a ranimé l’organisation listée comme terroriste et affiliée d’Al-Qaïda le Groupe Islamiste Combattant Libyen. Il s’est battu auparavant en Irak, en Afghanistan et a maintenant des combattants, de l’argent et des armes provenant de l’OTAN et qui s’étend au Mali à l’ouest et en Syrie à l’Est. Le “califat mondial” avec lequel les néo-conservateurs ont fait peur aux petits enfants occidentaux depuis plus de 10 ans est maintenant en train de prendre forme au travers des machinations émanant de l’alliance US-Arabie Saoudite et d’Israël ainsi que du Qatar et non pas de “l’Islam”. En fait, les véritables musulmans ont payé un lourd tribut en luttant dans cette “guerre contre le terrorisme financé par l’Occident”.
Le Groupe Islamiste Combattant Libyen, qui est en train d’envahir maintenant la Syrie du nord avec des armes, de l’argent et un support diplomatique français le tout pour le compte de la tentative de changement de régime de l’OTAN dans ce pays, a officiellement fusionné avec Al-Qaïda en 2007 dans le centre de combat contre le terrorisme de l’académie militaire de West Point (Combating Terrorism Center (CTC).
D’après le CTC, AQMI et le GICL ne partagent pas seulement des buts idéologiques, mais des buts stratégiques et tactiques. Les armes reçues par le groupe libyen ont certainement été transférées aux mains d’AQMI par les frontières sahariennes si poreuses et sont maintenant au nord du Mali.
En fait, ABC news a rapporté dans un article: En fait, ABC news a rapporté dans un article: « Al Qaeda Terror Group: We ‘Benefit From’ Libyan Weapons, » that :
Qu’un membre important d’un groupe terroriste affilié infiltré par Al-Qaïda a indiqué que l’organisation pourrait avoir acquis quelques unes des milliers d’armes puissantes portées manquantes à l’issue du chaos général en Libye, ce qui confirme les craintes de longue date de certains officiels occidentaux.
“Nous avons été un des principaux bénéficiaires des révolutions dans le monde arabe”, a dit Mercredi Mokhtar Belmohktar, un des chefs d’AQMI, à l’agence de presse mauritanienne ANI. “En ce qui concerne les armes libyennes, ceci est une chose naturelle en de telles circonstances”.
Ce n’est pas du tout une coïncidence que le conflit tirant à sa fin en Libye, un autre conflit émergea dans le nord du Mali. Ceci fait partie d’un réagencement géopolitique prémédité qui a commencé avec le renversement de la Libye et depuis lors, l’utilisant comme tremplin pour cibler l’invasion d’autres nations, incluant le Mali, l’Algérie et la Syrie, au moyen de terroristes lourdement armés, entrainés et financés par l’OTAN.
L’implication de la France va peut-être faire sortir AQMI et ses affiliés du nord du Mali, mais il est presque certain qu’ils se retireront en Algérie et ce de manière planifiée. L’Algérie a été capable de stopper la subversion durant les phases de départ du “Printemps arabe, créé par les Etats-Unis” (US-engineered « Arab Spring« ) en 2011, mais elle n’a sûrement pas échappé à l’attention de l’Occident qui est en train de complètement transformer la région s’étalant de l’Afrique aux pas de porte de Pékin et de Moscou, utilisant un réseau géopolitique schizophrénique, mettant en œuvre des terroristes pour à la fois provoquer un casus belli et avoir ainsi un prétexte à l’invasion et également avoir à sa disposition une source mercenaire quasi inépuisable pour pouvoir le faire.
Presque rien à redire.
Tout à fait d'accord avec toi, et ceci, en tant que RME, non adhérent à aucune associations.
Ceci est valable pour toute nation. Aucune ingérence étrangère pour ne pas co...Suite mmettre les erreurs suivantes :
Libye, Syrie, Irak, Cote D'Ivoire, Soudan, Iran...........et la liste est longue.....