Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
où sont les gens de Sbata?
A
13 juin 2007 12:12
Salut Tout le monde

Pourquoi ne pas donner la double nationalité à ZinaBaydawiya?

Thallaw fraskoum.
A
13 juin 2007 13:50
Mouhcine Yajour, Oueld Sbata
Né le 14 juin 1985, est un footballeur marocain formé au Raja de Casablanca. A joué au Raja de 2004 à 2007.
Une perle au service du Royaume.
Alors qu’on avait pour habitude d’automatiser l’image du Brésil comme étant le pays créateur de jeunes stars, le Raja de Casablanca est en phase de mettre un sacré coup aux Brésiliens en présentant son nouveau prodige répondant au nom de Yajour. Par son talent, son jeu et son physique, bon nombre d’observateurs voient en lui de l’Ivoirien Didier Drogba, une forte comparaison qui est dû à tout sauf au hasard.
Mouhcine Yajour enchaîne d’excellentes prestations à la fois avec son club le Raja de Casablanca et la sélection junior Marocaine où il s’est rapidement révélé comme «la pièce maîtresse du groupe». Meilleur buteur lors de la CAN 2005 Junior organisé par le Bénin, Yajour n’a cependant pas remporté le titre qu’il méritait de plein droit : celui de meilleur joueur Africain de cette compétition, à la plus grande stupéfaction des observateurs présents sur place.
Rien à envier à ses aînés, Yajour a su créer son propre style qui est à la fois efficace et destructeur. En effet, par sa puissance dans son jeu, il réussit à fatiguer toute une défense qui fini par se faire déstabiliser. En 2005, il atteint les demi-finales avec le Maroc lors de la Champion du monde junior 2005 aux Pays-Bas. La même année, il finira meilleur buteur de la Coupe d'Afrique des nations junior au Bénin. Yajour est très sollicité par des clubs européen.
Après une coupe du monde junior brillante en Juillet dernier, il a pris la grosse tête. Il part à la dérive, multiplie les excès en tout genre et finit le plus logiquement du monde par perdre son football.
L'attaquant marocain, Mohcine Yajour avait convaincu lors de son essai avec le Racing Club de Strasbourg, on pourrait réentendre parler de lui dans les prochains jours.
Strasbourg pourrait l’engager dans les prochains jours. «C'est un joueur que j'avais remarqué au Mondial des moins de 20 ans, aux Pays-Bas», a indiqué Pierre Ginestet, chargé du recrutement du club alsacien.
c
13 juin 2007 17:54
dima dima sbatta!!!


Mon derb : derb ms3oudiya.. hummm vivement le 24 juillet inchaallah
A
13 juin 2007 20:46
Un cinéaste oueld Sbata
Portrait. Mystère Asli (I)
Par Maria Daïf
Mohamed Asli, cinéaste inconnu au bataillon jusqu’à son à Casablanca les anges ne volent pas unanimement applaudi, a été, pendant plusieurs mois, l’objet de toutes les rumeurs. Qui est-il vraiment ?
L'homme n’a rien de l’image que l’on se fait des gens du cinéma. Ni de celle, fabriquée, que veulent se donner certains. Ne jouant ni à l’intello blasé ni à l’artiste branché, Mohamed Asli ressemble plus à Monsieur tout le monde qu’à un cinéaste dont le film aujourd’hui, après plusieurs semaines dans les salles, continue à faire parler de lui. En bien. Beaucoup de bien même. Jeune réalisateur, puisque à Casablanca les anges ne volent pas est son premier film, Asli fait bien ses 47 ans. Sourire facile, affable, le tout nouveau papa d’une petite Asli est comblé. Ce que l’on comprend facilement. Non seulement son film a été couronné par une dizaine de distinctions nationales et internationales (Grand Prix à Naples, à Alexandrie et à Bruxelles, Tanis d’Or à Carthage, Prix de la première œuvre à Chicago et à l’Institut du Monde Arabe à Paris…), mais à Casablanca les anges ne volent pas, est en plus un succès populaire. Pourtant, il y a à peine quelques mois, même parmi les professionnels du métier, peu connaissaient jusqu’à son existence et ceux qui le connaissaient... l’avaient oublié ! D’ailleurs, quand sélectionné à la semaine de la critique à Cannes en 2004, voilà, souvent, ce qui se disait à son propos : mais qui c’est celui-là ? Par la suite, les mauvaises langues ont pris la relève, distillant ici et là des méchancetés que la qualité et le succès du film ont fait taire. Entre temps, on a tout entendu sur Mohamed Asli : il a fait un film dans les années 70 qui a été interdit, il est en guerre contre le centre cinématographique marocain depuis trente ans, le CCM a une dent contre lui…Tout cela fait encore rire le concerné : "Disons que dans le monde arabe en général et au Maroc en particulier, on aime bien faire du bruit pour rien. Je n’avais pas à faire parler de moi tant que je n’avais pas encore de produit à présenter". Ainsi, le tournage du film s’étant fait sans tapage et Asli préférant la discrétion à la médiatisation, la rumeur créa le personnage.
La beauté, comme la laideur, est dans l'oeil de celui qui regarde...
A
13 juin 2007 20:52
Portrait. Mystère Asli (II)
L’homme, lui, n’a rien d’un mystère… Casablanca où il est né, il l’évoque avec amertume, dans ses mots comme dans son film : "J’y ai passé mon enfance, au quartier Sbata. Je ne pourrais plus y vivre. C’est devenu une ville-monstre". Fils de l’effervescence culturelle des années 70, c’est à cette époque, alors lycéen, que la carrière de réalisateur s’impose à lui : "Le Maroc se construisait et il manquait un cinéma national. à ce moment-là, on ne le voyait qu'engagé". Le néo-réalisme italien, alors, correspond à ce que Asli attend du septième art et le jeune homme atterrit donc tout naturellement à Rome en 1975 pour étudier le cinéma. Au bout de cinq ans et un doctorat en poche, il rentre au bercail. Pas pour longtemps, puisque sollicité par les Italiens, il revient là-bas, travailler sur des productions locales. Mais ce n’est pas tout. Le Maroc a changé et Asli refuse de tomber dans la médiocrité ambiante. De retour en Italie, il touche alors à l’assistanat, au montage, au son, à la production, acquiert une maîtrise parfaite de la technique et des métiers du cinéma, et se fait, forcément, un nom dans le milieu. Petit à petit, il se fraye un chemin et est recruté sur des tournages un peu partout en Europe : "J’ai aussi travaillé sur des tournages au Maroc, avec des productions étrangères... L’occasion de voir à quel point les Marocains y sont mal traités". Asli sait tout ce temps-là qu’il passera à la réalisation, mais ne se précipite pas : "Je voulais commencer sur de bonnes bases, savoir ce que je voulais faire et pourquoi je voulais le faire". Et parmi ce qu’il veut faire, une école de cinéma : "Un rêve que je n’ai jamais perdu de vue". En Italie, où il réside, il en parle souvent autour de lui, à ses amis et aux gens qu’il rencontre, tellement le projet lui tient à cœur. Les choses commenceront à se concrétiser, quand, lors d’une conversation avec l’avocat d’un des producteurs avec lesquels il travaille, il évoque l’école. Le hasard faisant bien les choses, l’avocat en question sera nommé quelques temps plus tard, à la tête des studios Cinecitta… et appellera Asli. L’Italie voulait développer des projets au sud de la Méditerranée et l’idée de l’école plaisait. Nous sommes en 1999 et le chantier est lancé : "J’étais persuadé que pour que le Maroc avance, il fallait investir dans l’élément humain". Mohamed Asli, de son argent propre, construit l’école et la dote de tout le matériel cinématographique nécessaire (encadré). Les Italiens eux, financent la formation, en payant le staff enseignant, presque entièrement italien. Quand aux instances marocaines… silence radio. En parallèle, le mécène travaille sur son film : "Le scénario était prêt depuis trois ans déjà, mais j’avais des scènes à tourner dans la neige et il n’avait pas neigé au Maroc depuis quelques années". Il finira par neiger et le film est fin prêt en 2003. La suite, prestigieuse, sortira Mohamed Asli de l’anonymat et l’emmènera à Cannes, Alexandrie, Carthage, Naples…Aujourd’hui, l’homme, entre Casablanca, Rome, et Ouarzazate, continue à tracer son bout de chemin, avec des projets plein la tête. Un nouveau scénario sur lequel il travaille et surtout, un suivi des carrières de ses protégés de l’école de cinéma : "Je les connais un par un, et je place en eux beaucoup d’espoir. Mon souhait est qu’ils deviennent des réalisateurs et des techniciens nobles, qu’ils représentent dignement leur pays et le mien. C’est tout ce que j’ai à gagner de cette école". Respect, l’artiste.
Ouarzazate school. L’école mécène
Mohamed Asli a réussi là où l’état a échoué : monter une école de cinéma. Construite dans ses studios Kanzamane à Ouarzazate - "pour que les élèves n’aient pas à subir les tracas des grandes villes et qu’ils se concentrent sur le cinéma, qui pour moi, plus qu’un enseignement, est une éducation" - est de surcroît gratuite. Opérationnelle depuis février 2004, elle accueille aujourd’hui une quarantaine d’élèves, nourris, logés, blanchis et boursiers. Des élèves venus de tout le Maroc et d’horizons divers (instituteurs, photographes, étudiants…), passionnés de septième art et qui, croisés dans les couloirs du "centre euroméditerranéen de formation cinématographique et audiovisuelle", ont les yeux qui brillent. Fruit d’un partenariat entre Mohamed Asli, la région de Lazio, l’Institut Luce en Italie et les studios Cinecitta, la formation qui s’étale sur deux ans dispense une formation en réalisation, son, montage, direction photo, son et script : "Il est inconcevable qu’au Maroc, on continue à faire systématiquement appel aux Français à chaque fois que l’on a besoin d’un script, d’un monteur ou d’un ingénieur du son", explique Mohamed Asli. Sur place, l’on ne peut s’empêcher d’y croire, et de voir en ces jeunes une lueur d’espoir…!
g
13 juin 2007 22:41
bonsoir tt le monde
mzrci pour l"accueil qui m'a ravi
pour 04 merci pour l'astuce ,que je déploirai demain ; pour abdeltif , j'ai bien repéré la rue et je me souviens même de chelh propriétaire du sacca il s'appelait lahe irahmou houcine , et avait coome aide omar , tu te souviens de lui ? il est actuellement à agadir dans un commerce de même genre et mieux à coté du camping prés du pont qui méne vers la plage
pour le foot , bien sur je me souviens de ajax , sauf que nous avons pas certyainement joué ensemble , primo parce qu( il y a une différence d'age entre nous de 4 ans , moi j'étais avec les minimes du COC de abderraouf ( ou jouait abderrahim, khalid le policier ..) les gars du derb était samikki , elouafi ( il travaille actuellemnt à la CNSS et habite à salmia , dommage pour lui il est devenu un grand buveur et même buvard!!!!!!!!!!) son ami qui vient de décéder suite à un accident et qui s"appelle ??? ( j'ai oublié son nom , il était instituteur)
tu te souviens de bellakdame , de bahjaji , de noureddine afériane qui jouait au wac? il est parti à
l'italie; tu te souviens de pipo , de bziz , taiga , hafsi , miloudlazrak je connais layrahma , hlioua , bidra , jodar , et j'en passe .. ces gens là avaient marqué l'histoire de sbata
le gars qui travaillait à elmadania comme videur s'appelait rostome
moi aussi j'ai vu le 1er film prjeté à elmadania à savoir taras bulba de wel brinner et celui du train de burt lancaster ; ce jour la , le fassi avait distyribué des affiche format A4 , de couleur bleu , que les gens présentaent à l'entré qui était gratuite , ça remonte à plus de 40ans maintenant
A+
A
13 juin 2007 23:24
Ravi de te lire Gouga
El Ouaffi le grand est de ma génaration (il était sportif) et je pense que son ami qui vient de décéder suite à un accident est Oueld Smail (il jouait aussi à Ajax) il était prof au collège situé après Hammam el fan pas très loin d'Igriquia.
Quant à bellakdame, il était avec moi en classe (si on parle de la même personne)
Pipo 'est ce qu'il s'est calmé, tu te rappelles son grand frère qui faisait dans les deux mètres), bziz (Ahmed Laaouni), Taiga (on a fait le primaire ensemble et il habite pas très loin de chez moi), hafsi (Le gentil Flic, on m'a dit qu'il hrague), miloud lazrak je le très bien, hlioua (je ne m'en souviens plus mais le nom me dit quelques chose, bidra (le gentil voyou, il s'est casé à ce qu'on m'a dit) , jodar (Sahbi il a fait sa scolarité avec mon petit frère, je l'ai revu il y a un mois).
Merci de m"avoir rappelé Rostome.
Pour l'ouverture d'El Madania, je n'ai pas oublié parce que on a amené ma mère avec nous. Elle avait pris soin de cacher son porte-monnaie dans le bas du pli de son seroual beldi, et je ne sais quel malin pendant la séance a pu le découper avec une lame sans qu'elle s'en rende compte.
Laaouina moul assoussisse qu'est ce qu'il devient (pour information, il habitait un hanout laousi3a dyal derb louafi).
Tu connais zippo, il habitait à côté du photographe Al Akhawayne.
Alors comme tu as fait Moulay Ismail est-ce que tu te rappelles de:
Maliani (allah yrahmou),
Abdelkader chaoui et un autre chamali de ksar el Kébir (qui avait une belle chevelure et qui jouait au foot, je finirai par retrouver son nom).
Ce forum est pour moi une sorte de thérapie et aussi une reconnaissance pour la quartier qui m'a fait.
Tabqa alla khair.
La beauté, comme la laideur, est dans l'oeil de celui qui regarde...
l
14 juin 2007 13:30
Citation
Abdeltif54 a écrit:
Salut Tout le monde

Pourquoi ne pas donner la double nationalité à ZinaBaydawiya?

Thallaw fraskoum.

rebi khalik khaouya

golha lihome barine yjiriw aliyasad smiley
je n'ai passé presque la moitié de ma vie à sidi outhmane grinning smiley,wbritou tnkrouni daba
en tt cas je depose mon dossier et inchalah maykone rir lkhair
et comme sarkozy a dit"sbata c'est avce ZinaBaydawiya,soit vous aimz,soit quittezevil
g
14 juin 2007 18:00
salut abdeltif
que de souvenirs, et d'actualité!! est ce que tu as des correspondants à sbata qui t'informent de tout ou quoi?
Tu as évoqué beaucoup de choses pour moi :
- d'abord ouled smail a un nom que je n'arrive pas à m'en souvenir , et c'est benzemmouri le gars de sbata qui jouait avec le wydad ( et que forcément tu connais ) est lui qui m'avait annoncé la nouvlle puisqu'il travaille avec moi , actuellement il est paryti en allemagne avec une équipe composée entre autres de daoudi rachid pour un stage préparant un diplome de'entraineur
- bellakdame ( le frake!) est devenu un moquaddem dial houma
- pipo c'est un voisin , il est devenu plus que calme depuis qu'on l'a intérogé à propos de la mort de quelqu'un qui s'appelait youssef et qu'on avait découvert jeté à l'école aboulkacem filles
le garnd s'appelait bouchaib et il est son oncle paternel , et lui aussi s'est beaucoup calmé ; pour pipo tu sais c'est bziz qui lui a collé ce nom car il n'arrêtait pas de mentir!!!!!!!! le pauvre il a un cerhose de foie , vu ce qu'il aingurgité comme rouge
- fafsi , le garnd fou est devenu sage!!!!! il était policier de circulation puis refoulé , est parti vers l'italie où on l'a aussi refoulé , actuellemnt et parés un passage comme chauffeur de taxi , ne fais rien et pire encore , quand il voit des gens comme toi ou moi ,il demande une tadouira , voilà tu es averti!
-laaouina connais pas
- zippo , ralppelle moi?
-maliani lahe irahmou m'avait enseigné au lycée l'éducation islamique en 1972 , année où on l'a incarcéré et éécuté pour trahison suprême ( avec hammou ...)
- CHAOUI ET ABDELKADER ? RAPPELLE MOI
- PAR CONTRE ZIFFA JE CONNAIS ? PROF DE L'ARABE , TU TE SOUVIENS QUAND IL VOULAIT AJUSTER SA CHEMISE ? IL OUVRE LA CEINTURE , FAIS DESCENDRE CARREMENT SON PANTALON DEVANT TOUT LE MONDE ET COMMENCE A AJUSTER LA CHEMISE A L'INTERIEUR DE SON PANATALON !!!!
voilà pour aujourd'hui
à +
g
14 juin 2007 18:57
voilà les photos de l'école aboulkacem chabbi , il y a CAF et aussi abdeltif , sinon la pluspart des sbataouis ont passé par cet école
merci 04 pour l'astuce
slt
[img239.imageshack.us]
[ihttp]
A
14 juin 2007 19:10
Bonjour Gouga
Que de souvenirs.
question information, malgré le fait que j'ai quitté Sbata en 1974 pour Rabat (ensuite je suis parti en France pour études qlq années) mais j'ai retourné au Maroc. Mes parents vivent toujours à Sbata.
1- Zippo (en descendant d'El Madania vers studio al akhawayne, il y a la rue où il y avait attahouna, c'est pas celle là (lol) la deuxième qui mène vers Hammam Taous juste avant le studio (leur maison fait le coin), il est petit et «khfife» (je sais qu'il est devenu barbu).
2- Le meurtre de l'école: est-ce que tu parles de celui du fils du propriétaire de l'école primaire (qui était en face de la librairie Nil) son grand frère abderrahim M. était mon ami (c'est pas la peine de parler des détails par respect) .winking smiley, si c'est cette histoire, j'étais encore en contact avec les protagonistes, sinon il s'agit alors d'une autre affaire.
Pipo: je l'aimais bien.
Hafsi je l'avais vu quelque temps (il était en fonction à Rabat) il était mbaou..... et portait des lunettes noires.
Maliani, si tu te rapelles il habitait pas très loin de l'école des filles.
A propos, dans la même rue, il y avait un gentil garçon qui faisait lycée lyautey (je crois qu'il était l'unique garçon de sa famille, les autres je crois étaient des filles plus âgées que lui) qu'est-ce qu'il est devenu? (bien sur si tu le connais).
Ziffa je l'ai eu comme prof à moulay ismail (wach man prof) j'ai plein d'histoires sur lui. (illa halqa mouqbila).
hadrou raskoum aoulad ............. c'était sa phrase préférée quand il otait son pentalon.
Heureusement que tous les profs de l'époque n'étaient pas comme lui.
La beauté, comme la laideur, est dans l'oeil de celui qui regarde...
s
14 juin 2007 20:03
waw! ga3 had chi a ssi gouga?
merci infiniment, je vais comencer à voir les photos toute de suite.

@+
[b][color=#3300FF][center]:danse:wlidate sbata zine wa tbata:danse:[/center][/color][/b] [center]:clap:[/center][center]Sbata04.Online.fr[/center]
i
14 juin 2007 20:15
Message pour mon frére gouga,
je te demande trois photos
une de jawadi (l'école arrafi3i)
une de cinéma al madania,
et une dernière de mon collège IBN HAZM.winking smiley
cé tout ,et en les prenant pense au plaisir que tu me fais car il est décuplé par rapport au photo d'ABOULKASSIM ACCHABBI.
et pour te remercier je te raconterai ma première histoire d'amour qui avait pour scène ABOULKASSIM ACHABBI.
A
14 juin 2007 20:19
Un grand Merci Gouga
Tu m"as ramené à 1960.
Merci encore!
g
15 juin 2007 12:52
SALUT LES GARS
j'éspére que certains d'entre vous ont réjouit pour les photos de l'école du derb
pour ibn hazem , c'est promis , et c'est comme si c'est déjà fait
pour abdeltif , je connais bien le quartier pour zippo ( quartier habibi , talib ..) mais zippo conais pas!
pour ziffa t'as raison , il était un phénoméne ! je m'excuse pour talbi c pas lui qui a décédé mais elachaari le pauvre
pour milaini , la rue où il habitai c'est la rue à gauche et en face de l'école des filles
pour le gars de lyautey , est ce que tu parles de missa ou son frére jamel ( voisins de tarzan tu connais ?)neveux de feu ezraktouni le martyre
pour le gars tué , non il n'avait aps de frére
a+
g
15 juin 2007 18:39
qui connais bahjaji??????????
[img524.imageshack.us]
g
15 juin 2007 18:46
le directeur actuel de abou lkacem chabbi en pleine discussion devant son bureau ( vous vous en souvenez?)avec un ancien éléve bahjaji
[img117.imageshack.us]
s
15 juin 2007 23:31
Au nom des Sbatouis en général et avec un grand plaisir je souhaite un joyeux anniversaire à notre cher ami ibn hazm plein de santé de bonheur et de prospérité inchallah.

t3ayad wa t3awad inchallah wa kolo sana wa anta bi alfi khaire!


(tm)
[b][color=#3300FF][center]:danse:wlidate sbata zine wa tbata:danse:[/center][/color][/b] [center]:clap:[/center][center]Sbata04.Online.fr[/center]
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook