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Citation
Pika11 a écrit:
Non c'est juste qu'à la lecture c'était bizarre c'est tout, face à cette victime, parce qu'au fond c'est une victime, c'est étrange, tu as envie de lui crier dessus mais de la consoler en même temps, c'est trop tout...
Donc le revivre ce n'est pas rien..

C'est vraiment ça... elle est blasée et bléssée... victime qui devient coupable.
J'espère qu'elle ne reproduira pas ce que sa mère a fait (en général c'est le cas)

Le fiel des rancunes a "fermenté" son coeur et il s'est aigri.Tout de même cela n'excuse pas un tel déversement de haine.

Je connais un jeune homme,un ami de la famille à la même histoire.A la différence de la malheureuse danseuse,son amertume ne s'est pas transformé en execration du genre humain.Il a emprunté un chemin totalement opposé à celui de sa mère aux moeurs libertines...Le contraste est effarant.

Peut être que justement la différence est là, c'est un jeune homme.
Dans notre culture la femme doit avoir une réputation (plus ou moins) sans tâche ; mais cette fille, sa réputation, c'est sa mère qui lui a légué malgré elle. Puis à force d'être cataloguée, elle a fini par grandir toute seule, sa tête lui dictait surement quoi faire, mais son coeur est en lambeaux, elle ne le montre pas pour ne pas donner prise encore plus à ses détracteurs...

C'est vrai ça n'excuse pas, mais on peut dire que ça se comprend. Les autres, ce sont eux qui ont fait d'elle ce qu'elle est devenue je pense. Elle est très fragile, malgré les apparences.

Comme l'a dit Chakra83 elle est blessée, et quand une personne est blessée elle ne laisse personne l'approcher vraiment, elle rue, elle crie, elle est sauvage pour ne pas qu'on l'apprivoise, ce qui équivaudrait à dire qu'elle serait encore en proie à des blessures certaines (son coeur)

Citation
Bedoon essm a écrit:
Le fiel des rancunes a "fermenté" son coeur et il s'est aigri.Tout de même cela n'excuse pas un tel déversement de haine.

Je connais un jeune homme,un ami de la famille à la même histoire.A la différence de la malheureuse danseuse,son amertume ne s'est pas transformé en execration du genre humain.Il a emprunté un chemin totalement opposé à celui de sa mère aux moeurs libertines...Le contraste est effarant.

Salam Matrix

Tiens rien que pour toi, de la lecture, il m'a trop fait rire (surtout vers la fin) . Méfies toi de lui, c'est un charmeur qui ignore qu'il l'est...

yabiladi

Séquence 11

- J’ai une seconde question personnelle mais je crains que tu la prennes mal.

- Vas y, pas de soucis stp.

- Tu te prostitues ?

- La prostitution doit exister comme tout autre besogne. Un travail qui doit être bien rémunéré en plus puisque le but c’est d’alléger la souffrance des êtres humains. La psychiatrie c’est à travers l’expression orale. La prostitution c’est plutôt l’expression corporelle.

- Astaghfirou’Llah. Tu délires wallah.

- On dirait que personne ne se donne pour de l’argent à part les femmes qui s’exposent pour le bonheur des nécessiteux ! Que dis tu des employés qui se courbent, qui piétinent leur dignité pour un salaire minable ? des uns qui s’en foutent de leur honneur, acceptant de corrompre pour quelques sous en contre partie d’un service à rendre ? C’est pareil non ? Et comment appelles tu les femmes qui sortent avec des gars pour un p’tit moment de passe temps ? C’est la même chose même lorsqu’elles admettent une tasse de café pour une compagnie en échange.

- Tu n’as pas répondu à ma question.

D’une voix assez calme, elle a fini par affirmer mes doutes.

- Oui j’offre mes services aux malheureux qui les recommandent et j’en suis fière.

- Et c’est quoi la gamme exposée?

Une question sensible et c’était exprès de ma part. Je n’ai pas du tout apprécié sa manière d’interpréter les choses. J’étais vraiment navrée d’entendre une si grande beauté patauger avec conscience dans cette boue vicieuse.

- J’ai une large clientèle qui varie selon les attentes et le rang social.

- Tu n’as pas honte de te concevoir comme une marchandise ?

- Je t’ai dit que j’en suis fière. Je suis nette et ne suis pas hypocrite comme la plupart des femmes. Lorsqu’on me contacte, je sais ce qui m’attend. Lorsqu’on me cherche, je n’ai pas besoin de me faire des idées sur la nature de ma relation avec l’autre. Je n’ai pas besoin de planifier mon futur avec mon client. Les femmes ont souvent un objectif en tête, souvent des arrières pensées lorsqu’elles rencontrent quelqu’un. Moi jamais.

- Une des différences est que tu côtoies plusieurs à la fois.

- Crois tu que les autres se suffisent d’un seul? Combien d’entre elles se la jouent saines alors qu’elles cachent toute une vie en catimini ? Rares les fidèles à un seul.

- Tu ne trouves pas que tu généralises encore et exagères dans tes critiques?

- Je connais assez d’hommes et crois moi, rares ceux qui font confiance à la génération actuelle. Toutes des légères, avec voile ou sans. C’est pourquoi trop de célibataires. Et puis des expériences avec les femmes, j’en ai fait. Des manipulatrices de premier degré.

Waw. Son mépris à l’égard de ses semblables était très visible. Je voulais saisir le pourquoi et d’où ma question indirecte :

- Je suppose que tu n’as aucune amie.

- Je suis une individualiste. Je n’ai besoin de personne.

- Et pourquoi tu me racontes ta vie alors ? C’est un besoin qui se manifeste, tu ne trouves pas ?

- Ça m’arrive de temps à autre et puis ce n’est pas un secret que je te confie là. L’amitié n’a aucune place dans ma vie.

- Pourquoi ?

- Elle ne sert à rien. Je connais des hommes qui sont souvent entourés et pourtant si solitaires et carrément tristes au fond. Il vaut mieux être seul que mal accompagné, me disent ils.

- J’ai l’impression que tu te laisses influencer par les histoires de tes hommes. Depuis que tu me parles, tu n’arrêtes pas d’argumenter tes dires par les propos entendus. J’aurais aimé entendre ton avis propre.

- Avoir une amie ne me dit rien car tout simplement je ne peux croire une femme.

Triste comme constat. Sa mère est probablement la source de toute cette froideur envers le même sexe, fut brièvement ma pensée. Je continuai:

- Ok je vois. Et que penses tu de l’amour ?

C’est la première fois qu’elle prit son verre pour boire une gorgée de limo. Un p’tit geste qui me prouva que la question l’a un peu bousculée. Son gestique l’a trahit avant même qu’elle répondit :

- J’y crois et je le vis mal.

C’est la fin pour ce soir.
Le reste, prochainement s’il plait à Dieu
Salam



Modifié 1 fois. Dernière modification le 02/08/10 23:01 par Matrix Gamma.

Séquence12

Elle savoura précipitamment sa boisson, s’en excusa et poursuivit:

- L’amour vit en nous. Personne ne peut s’en passer.

- Tu parles de quel amour ?

- Ben, l’amour que tu connais, que je connais et que tout le monde connaît.

- Et si tu détailles stp.

- Nous aimons tous de la même façon. Il n’y a pas de moins sensible et de plus sensible parmi les êtres humains mais il y a un amour fort et un amour moins fort. Ceci dépend des circonstances dans lesquels il se développe.

Je la trouvais mystérieuse. Elle communiquait et enchainait merveilleusement bien.

- Je t’écoute

- La personne qui m’est trop chère et que j’aime de toutes mes forces est ma mère.

Je me sentais émue par son aveu. Je ne trouvais aucun mot à dire. Trop touchée, je la laissais parler.

- L’incroyable est que je l’aime sans même savoir qui elle est, comment elle est. Je ne l’ai jamais vue, même pas en photo. Je ne connais rien d’elle. Je ne comprends même pas pourquoi je l’aime autant alors qu’elle m’a jetée comme on jette de l’ordure.

J’ai eu des larmes aux yeux. C’était plus fort que moi. J’ai essayé de me contrôler vu la situation. Je continuais à garder silence.

- Il ne passe pas un jour où je ne pense pas à elle. Mon grand rêve est de l’avoir tout près pour quelques secondes. J’ai cru l’avoir toujours détestée lorsque j’étais petite mais ce n’était qu’un amour camouflé sous cette forme. Crois moi, c’est l’enfer que je vis ici bas et c’est pourquoi je n’aspire pas au paradis divin. Je ne veux ni hommes, ni palais, ni verdure, ni lacs, ni rien de rien, je ne veux que parler à celle qui m’a mise au monde sans se soucier de mon sort. C’est ce qui me brûle, non pas parce qu’elle m’a oubliée mais parce que je ne peux pas lui dire que je l’aime malgré tout, que je lui ai pardonné puisque ce n’était pas de sa faute mais à celle de la société.

Quelle rencontre !!! Unique en genre, fut ma pensée avec un brin de tristesse qui me piquait le cœur. La fille souffrait énormément comme je l’avais supposé à ma première impression.

- Et ton père ?

- Je ne le connais pas et personne ne le connait. Je pense beaucoup plus à ma mère. Mon père, pas trop sincèrement.

- L’amour envers nos parents est instinctif comme tu l’as remarqué. C’est un reflexe inné soubhana Allah.

- C’est vrai mais l’amour que j’éprouve envers ma maman est plus fort. Peut être parce qu’elle m’a porté jusqu’à ma naissance. Elle a supporté la grossesse pour que je voie le jour. C’est un sacrifice puisque ses conditions étaient défavorables et c'est une preuve d'amour pour moi. Je pense que mon père s’en fichait carrément. Je n’ai rien contre lui pourtant.

- C’est cet amour que tu vis mal ?

- Exactement.

- Et qu’en est il de l’autre amour envers le sexe opposé?

- C’est banal

Etrange comme réponse.

- Comment ça, banal ?

- Bah banal comme l’amitié.

- Faute de confiance ?

- Plutôt faute d’intérêt.

- Rappelles toi que l’amour vit en nous comme tu dis.

- Celui envers ma maman prend toute la place. Des hommes, je suis saturée.

Waw, encore très fort comme aveu. Elle me paraissait perdue puisqu’elle manquait d’amour. C’est pourquoi elle cherchait du bonheur dans l’apparence, dans la fortune et jamais dans le sentiment intime puisque son cœur ne peut être content.

La suite, plus tard inchaa Allah

Séquence13

- Et qu’en est il avec tes parents adoptifs?

- Ils étaient vieux. La femme est décédée 6 ans après mon adoption. L’homme se chargeait seul de mon éducation. C’est grâce à lui que j’ai été à l’école et au lycée et c’est encore grâce à son argent que je suis allée en France pour mes études supérieures.

C’est peut être pourquoi elle ne pensait pas trop à son père comme ce fut le cas pour sa mère. De l’amour paternel, elle en a eu suffisamment, fut ma supposition.

- Tu m’as male comprise. Par ma question, j’insinuais l’amour envers tes parents adoptifs et non pas ta vie avec eux.

- Sincèrement je ne pense pas les avoir aimés, dit elle en calme

Un autre aveu qui m’était étrange.

- Pourquoi tu le penses ?

- J’ai totalement oublié la femme alors que ma mère biologique est toujours présente dans mes pensées. J'imagine lui ressembler, heuresement pas à l’autre. Quant au vieillard, il a été payé en retour. Nous sommes à égalité maintenant. Je ne le vois plus et c’est la vie.

Mon Dieu. Elle ne lui était pas reconnaissante. Elle parlait de leur relation comme s’il s’agissait d’un pacte, d’un marché conclu.

- Tu te rends compte de ce que tu dis? Tu matérialises votre relation.

- Il m’a prise de l’orphelinat pour combler ses manques internes, celui d’homme stérile qui ne peut avoir d’enfants. Ce n’était pas par amour son choix mais par plaisir à soi. Peut être qu’il a su m’aimer avec le temps mais je ne suis pas arrivée à le considérer comme un parent familier.

- Pourquoi ?

- Je ressentais notre différence d’âge. Il était quelqu’un de l’ancienne génération, un grand papa plutôt qu’un père. Je me sentais mal avec lui. Je devais jouer la maitresse de la maison depuis mes 9 ans : cuisine, vaisselle, lessive et ménage. J’en avais marre. J’étais beaucoup plus sa p’tite bonne que sa p’tite fille puisque la seule femme à son foyer. Je lui en voulais trop de choses.

- Comme quoi par exemple ?

- Il devait se remarier mais comme vieux et stérile, il en avait plus l’envie, à quoi bon ? L’essentiel, je lui préparais à manger et m’occupais de sa maison.

- Il ne t’a pas privé de l’école pourtant.

- Et alors ? Ma profession actuelle ne nécessite aucun diplôme. Je ne lui dois rien, il ne me doit rien.

Affligeant comme constat. Malheureuse comme expérience. Je répliquai :

- Un pratiquant? Un pieux ?

- Oui, dès l’aube à la mosquée, il avait tout le temps ses tsabihs entre ses doigts. Ça m’étouffait qu’il parlait plus à son Dieu qu’à moi.

Astaghfirou Allah Al’3adime, elle devait être difficile comme p’tite fille, fut ma remarque. Elle poursuivit :

- Il était dur. Il m’imposait la salât, le jeûne avant ma puberté, je portais toujours un foulard sur tête comme toutes les villageoises. C’est au lycée que j’ai commencé à respirer. Il tomba malade et donc plus rien ne l’intéressait autant que sa santé. Un pratiquant mais un amoureux de vie. Honte à lui. Un hypocrite comme les autres. Il parle au nom d’Allah alors qu’il craint le rencontrer. Je n’ai jamais pu comprendre sa grande peur pour la mort.

L’esthéticienne interrompit notre discussion pendant que nous étions pleinement dedans :

- Farah, c’est ton tour

Et c’est le mien de finir avec cette séquence.
J’ai cru arriver au point final mais ouf, je le vois encore loin…
J’aurais aimé passer à autre chose mais bon, c’est comme ça et je n’y peux rien…soumise à mes pensées.
Salam



Modifié 1 fois. Dernière modification le 03/08/10 17:01 par Matrix Gamma.

LA SUITE !!!!

PS:

J'ai déjà prévenu le weby que je te fais ai don de 80% mon espace virtuel sur le forum pour le compte sous le pseudo : Matrix Gamma.

Malgré tout cet étalage de noirceur, je pense qu'elle doit avoir un grand coeur, elle s'est perdue en route, sa "rebellion" lui a coûté cher puisque ses repères ont été zappés d'une seule main, à la maladie de celui qui s'est occupé d'elle.

Eprise de liberté, trop grande liberté, ou alors à la recherche de l'Amour, n'importe quel Amour pourvu qu'il comble son vide intérieur, celui de l'absence de sa mère, cette inconnue, mais qu'elle aime d'un Amour sincère. Elle ne recherche finalement que l'attention, qu'on la voit, qu'on l'écoute, qu'on l'entende, elle l'a trouvé avec cette activité Allah ister..

C'est triste, mais comme LVP la suite please , et tu devrais revenir remercier Sofia pour sa générosité sinon elle va te ressortir le petit démon (<== celui là ) et je n'ai pas envie d'un bain de sang, fureur etc....

Ô misère, la pollution est de retour

Séquence 14

- Une minute et je te rejoins.

Elle se tourna vers moi et me demanda :

- Il est comment mon prénom?

- Beau, dis je en souriant

- C’est moi qui l’ai choisi.

- T’avais un autre?

- Oui, Salha

- Tu l’as changé pour quelle raison?

- Parce qu’on n’a pas célébré mon baptême comme le dicte la religion et comme c'est la tradition. Je suis un cas particulier. J'avais donc le droit de m’en trouver un autre plus moderne. Salha veut dire utile à quelque chose. C’était le surnom qu’ils m’ont donnés mes parents adoptifs et ça coïncide avec le rôle que je jouais dans leur vie. Je ne l’ai jamais aimé. Heureusement qu’avec l’argent, tout est possible.

Dans ce monde de formes où le superficiel devient essentiel que temporel existe une infinité de moyens susceptibles de compléter le moi. L’acquisition d’un plus qui y comble une certaine lacune fait agrandir le sentiment d’exister. Ne serait ce que pour recueillir de la part d’autrui une minime admiration renforçant avec son égo et identité. La fille n’était pas une exception.

- L’argent est une valeur mais tu ne lui donnes pas sa vraie valeur, je trouve.

- La vie sans argent ne vaut rien mais l’argent sans une vie vaut toujours.

Waw, c’était la première fois que j’ai entendu une telle citation.

- C’est de toi la citation ?

- Oui, dit elle. Elle te plait ?

- Il t’arrive de dire des trucs intelligents, je l’avoue, répondis je avec un sourire.

- Ben oui, je suis blonde mais pas bête

La fille avait une réponse à tout. Je la trouvais limpide mais maline, matérialiste mais sensible. Une série de paradoxes qui la rendait mystérieuse et captivante en même temps.

Je regardais l’esthéticienne sur son tabouret lui présenter sa palette de manucure où se trouvait des kit faux ongles, limes, coupes à ongles, des repousses peau, brosses à ongles, vernis, crèmes. Elle lui demanda :

- Tu mets quelle couleur cette nuit ?

- Je vais porter du bleu pétrole. Je pense le noir m’irait bien, qu’en penses tu ?

- Tu portes des bagues ?

- Oui.

- Quel genre ? lui demanda t-elle encore

- Du saphir.

- Le noir ça va faire sombre puisque tes perles sont en bleu

- On prend laquelle alors?

- Vaut mieux une couleur naturelle. Je vais étaler en premier une fine couche transparente sur toute la surface de l’ongle puis je souligne le bout avec du vernis blanc et en dernier lieu, j’essayerai de terminer par une couche de vernis légèrement rosé. C’est très élégant puisque pas trop chargé.

J’entendis ensuite l’esthéticienne lui redemander :

- Je vais les nettoyer puis les limer tout d’abord. Tu désires une autre forme ? la carrée? pointue ?

- Je les laisse comme ils sont. La ronde me va bien pour l’instant. Ils ne sont pas très longs pour les couper.

- Mais bien longs pour caresser, ajouta l'esthéticienne sous un clin d'oeil.

- Est ce qu'elle sympathise de vrai avec elle ou n'est ce qu'une hypocrisie comme me l'avait souligné la fille?
- Mais qui l'a mené à son monde actuel ?
- Etait ce la faute de ses parents biologiques ? de son père adoptif ? de la société ? ou de sa propre faute?
- Pourquoi éprouve t-elle une grande haine envers les femmes alors qu'elle rentre facilement en contact avec elles?
- L’honneur a- il une place, une définition chez une fille qui chemine de la sorte ?
- Est elle vraiment consciente de chaque acte entrepris ?
- Pense t-elle à se repentir un jour ?
- Porte t-elle vraiment son nouveau prénom? donc joyeuse de vrai?

Bon nombre de questions me sont passées par la tête lorsque je la regardais en face.

J'ai certainement oublié quelques unes en ce moment. Tant mieux (rires). Je ferai mieux d’aller dormir (sourire).
La prochaine séquence, prochainement inchaa Allah
Salam



Modifié 2 fois. Dernière modification le 05/08/10 00:24 par Matrix Gamma.

Citation
LeVraiPersonne a écrit:
LA SUITE !!!!

PS:

Sourire...
Heureusement que tu ne demandes pas LA FIN (rires)

Citation
sofia59 a écrit:
J'ai déjà prévenu le weby que je te fais ai don de 80% mon espace virtuel sur le forum pour le compte sous le pseudo : Matrix Gamma.

Je viens de te relire...morte de rire...toi toi toi

Une de tes grandes qualités: Tu écoutes

Grand rire pour ta nouvelle signature...

Citation
Pika11 a écrit:

Ô misère, la pollution est de retour

Morte de rire...

Jusqu'à présent, je n'ai pas discuté les commentaires. Je le sais (rires)...

A plus tard inchaa Allah
Bonne nuit

Citation
Matrix Gamma a écrit:

Citation
sofia59 a écrit:
J'ai déjà prévenu le weby que je te fais ai don de 80% mon espace virtuel sur le forum pour le compte sous le pseudo : Matrix Gamma.

Je viens de te relire...morte de rire...toi toi toi

Une de tes grandes qualités: Tu écoutes

Grand rire pour ta nouvelle signature...

Tu veux dire que je suis une obéissante moi qui me considérai comme la rebelle des rebelles, Xéna sofia la guerrière lol

Faut que je prenne une poignée de graines de rébellion, ça ne va pas du tout là!



Modifié 1 fois. Dernière modification le 05/08/10 13:54 par sofia59.

Salam Matrix
Je sais que tu vas sûrement revenir pour répondre et détailler tes questions, mais je n'ai as pu m'empêcher de répondre à quelques unes, c'est juste un avis, comme une folle j'avais l'impression de discuter seule ..
Donc juste une impression, vite fait..

- Est ce qu'elle sympathise de vrai avec elle ou n'est ce qu'une hypocrisie comme me l'avait souligné la fille?
Elle se sert des gens donc "politesse" oblige, elle doit jouer le jeu, celui des apparences, mais il est possible qu'elle ait vraiment (au fond d'elle) envie de sympathiser

- Mais qui l'a mené à son monde actuel ?
Toute seule, tout le monde, c'est assez bizarre d'ailleurs, car elle est coupable et victime à la fois

- Etait ce la faute de ses parents biologiques ? de son père adoptif ? de la société ? ou de sa propre faute?
La première fautive je dirais que c'est sa mère, de par son comportement, donc avant qu'elle naisse son "sort" était presque tracé, surtout pour une fille..

- Pourquoi éprouve t-elle une grande haine envers les femmes alors qu'elle rentre facilement en contact avec elles?
Les femmes, l'image de sa mère, c'est la femme qui l'a mise au monde, donc malgré son amour elle déteste celles par qui les paroles arrivent, souvent ce sont les femmes qui font circuler les rumeurs, les on-dit, et ça c'est à cause de leur facilité à tenir une réunion, qui peut être vide de sens, juste pour blablabla (et casser du sucre sur le dos des autres filles de flen etc...)

- L’honneur a- il une place, une définition chez une fille qui chemine de la sorte ?
L'honneur, franchement sa mère lui a ôté cet honneur, elle lui a mis des batons dans les roues, et quand le déshonneur frappe, il frappe toute la famille et non pas que celui qui est "fautif". Comment garder sa dignité si à chaque fois elle était montré du doigt parce fille de celle là, c'est trop bizarre..


La suite est attendue en post : relaxing couch !!!

Salam Matrix

Les affaires doivent reprendre, allez et que ça saute !!!

- C'est comme le 20 juin, pareil, ne dit-on pas que trop d'émotions tue l'émotion ? Ce jour-là m'a "tué", ensuite une autre nouvelle d'ordre privé qui m'a achevé, mais comme une mauvaise graine je suis toujours là . C'est étonnant...Et un peu morbide aussi

"Ya Baaghiya al khayr aqbil!
Wa ya baaghiya as-sharri adbir!" appelle un héraut à l'entrée du mois de Ramadan...

qu'Allah nous fasse parvenir à ce mois béni,et nous permette de le jeûner et de le veiller comme Il l'agrée.

Ta7iyaty!