J'attends le bel été, à l'orée des saisons, Il m'a promis soleil, beauté et déraison. Mais pour me dérober à ses ardents rayons, Je reste blottie sous la verte frondaison.
J'ai patienté l'automne, sans bruit ni oraison, Il a terni mil feuilles, ma vue, mon horizon. Comment lui échapper, il emplit ma raison, Il envahit mon coeur, mon âme et ma maison.
J'ai soupiré l'hiver qui, dans un lent oubli, Refroidit mon pays, l'endort, le pacifie. Pour mieux m'apprivoiser, ma confiance endormie Il a glissé le froid dans mes joies, mes envies.
J'ai fêté le printemps qui, me plait me ravit Il m'apporte les fleurs, les papillons, la vie ! Il a tant de talents et je veux avec lui Profiter de mon temps et de l'amour aussi.
Lors des quatre saisons, que n'ai-je tant aimé Cette mélancolie qui toujours m'animait. De toute les saisons, quelle est ma préférée ? Celle qui m'acquit enfin, le droit de t'embrasser.
Tristesse de ma vie, Tristesse qui sort dans mon coeur, Celle qui nous fait verser des larmes de tendresse Larme qui nous ferons rejoindre un jour ou l’autre Ou dans une autre vie La vie doit être comme une famille unit Unit par l’amitié, Unit par l’amour, Unit pour la vie, Unit jusqu’à la mort.
Je pense tellement à toi grand-papa Je voudrais tant que tu me parles.
Dis-moi grand-papa, parle-moi Quand viens le soir, et que je regarde dans le ciel et que je vois une étoile briller. Est-ce toi grand-papa qui me regarde avec tes yeux doux et brillant.
Dis-moi grand-papa, parle-moi Quand je ferme les yeux dans la nuit, et que je vois un bel ange qui chante. Est-ce toi grand-papa qui viens me chanter cette douce berceuse dans la nuit.
Dis-moi grand-papa, parle-moi Quand les jours où le ciel est gris et que les nuages pleurent ces larmes. Est-toi grand-papa qui pleure toute la peine de ton coeur.
écoute grand-papa, moi je te parle, j'ai beaucoup de peine dans mon petit coeur, tu me manques grand-papa. Je voudrais tant être avec toi. pour te serrer dans mes bras pour te murmurer tout bas.
Je t'aime grand-papa j'aimerais temps que tu sois encore la!
Le temps de ce regret je regarderais derrière moi et je croiserais ton regard pour la dernière fois Quand-on étais deux tu me racontais des histoire qui commençais par il étais une fois Je croyais que notre histoire étais un conte un conte de fée. Je regretterais c'est chapitre heureux que l'on a écris a deux On trouvais c'est écris en se regardant dans les yeux Je regretterais c'est moment ou on rigolais car tu me chatouillais et d'un cou tu me regardais et tu m'embrassais Je regretterais c'est image qui a clôturer notre histoire Tu étais vêtu de rouge et elle de noir Je regretterais toujours d'avoir vu ce baiser Que tu lui as donné Cette fois dans notre roman plein de fautes d'orthographe je voyais dans tes yeux Je me suis empêcher de vous séparer Je le regretterais toujours Mon coeur lui je l'ai laisser ce déchirer Sens bouger je t'ai regarder l'embrasser Tu ma dit je regrette Le temps d'un regret je serais derrière toi et je te ferais signe du bout de mes dois et je te dirais au revoir
Abdellatif d'Occident a écrit: ------------------------------------------------------- > Rifia : > > merci pour cette douce pensée qui ne me laisse pas > insensible. > > Môh tsu : > > merci de nous faire partager tes poèmes. C'est > avec intérêt et plaisir que je les lis ici comme > ailleurs. Bravo pour ce penchant naturel à la > création poétique. > > > > > Edité 2 fois. Dernière modification > le 02-07-05 18h33.
Merci à toi et au plaisir de te lire égalament cher ami !
[désole] Si tu veux aimer, il faudra apprendre ! Si tu veux haïr, il faudra savoir !... Si tu veux prendre, il faudra donner... Si tu veux recevoir, il faudra écouter... Mais quoi que tu fasses, Il faut que tu saches, Que les pierres du passé Ne construisent pas l'avenir !
Si tu veux espérer, il faudra croire... Si tu veux le bonheur, il faudra chercher... Si tu veux la joie, il faudra pleurer... Si tu veux vaincre, il faudra combattre... Mais c'est dans le miroir Que se reflète ton pire ennemi !
Si tu veux crier, il faudra parler... Si tu veux jouir, il faudra souffrir... Si tu veux faire ...Il faudra "être"... Si tu veux l'infini, accepte le néant !... Mais si tu veux vraiment "Vivre", Sache qu'un jour il faudra "Mourir" !... c'est pour cela chère femme je veux vivre avec une personne ............ et si tu veux m'appelez bye j'attend la perle rare.......
Ramenez-moi, disais-je, au fortuné rivage Où Naples réfléchit dans une mer d'azur Ses palais, ses coteaux, ses astres sans nuage, Où l'oranger fleurit sous un ciel toujours pur. Que tardez-vous? Partons! Je veux revoir encore Le Vésuve enflammé sortant du sein des eaux; Je veux de ses hauteurs voir se lever l'aurore; Je veux, guidant les pas de celle que j'adore, Redescendre, en rêvant, de ces riants coteaux; Suis-moi dans les détours de ce golfe tranquille; Retournons sur ces bords à nos pas si connus, Aux jardins de Cinthie, au tombeau de Virgile, Près des débris épars du temple de Vénus : Là, sous les orangers, sous la vigne fleurie, Dont le pampre flexible au myrte se marie, Et tresse sur ta tête une voûte de fleurs, Au doux bruit de la vague ou du vent qui murmure, Seuls avec notre amour, seuls avec la nature, La vie et la lumière auront plus de douceurs.
De mes jours pâlissants le flambeau se consume, Il s'éteint par degrés au souffle du malheur, Ou, s'il jette parfois une faible lueur, C'est quand ton souvenir dans mon sein le rallume; Je ne sais si les dieux me permettront enfin D'achever ici-bas ma pénible journée. Mon horizon se borne, et mon oeil incertain Ose l'étendre à peine au-delà d'une année. Mais s'il faut périr au matin, S'il faut, sur une terre au bonheur destinée, Laisser échapper de ma main Cette coupe que le destin Semblait avoir pour moi de roses couronnée, Je ne demande aux dieux que de guider mes pas Jusqu'aux bords qu'embellit ta mémoire chérie, De saluer de loin ces fortunés climats, Et de mourir aux lieux où j'ai goûté la vie.
Au doux ciel de la nuit, Quand l'astre qui sommeille De la voûte vermeille A fait tomber le bruit ; Plus pure et plus sonore On y voit sur ses pas Mille étoiles éclore Qu'à l'éclatante aurore On n'y soupçonnait pas !
Des îles de lumière Plus brillante qu'ici Et des mondes derrière, Et des flots de poussière Qui sont " mondes aussi " On entend dans l'espace Des choeurs mystérieux Ou du ciel qui rend grâce, Ou d'un ange qui passe Ou de l'homme pieux
Et pures étincelles De nos âmes en feu, Les prières immortelles Sur leur brûlantes ailes Nous soulèvent un peu ! Tristesse qui m' inonde Coule donc de mes yeux Comme une onde féconde : Il faut que l'homme pleure Il faut que l'homme meure.
Tout mon corps tremble. Comme si il ne pouvait se fixer, s'arrêter. Le point placé devient dessin. La lettre devient brouillon. Je me perds dans mes mots. D'habitude si claires, les phrases deviennent mensonges. Je ne sais à qui me fier, à mon geste ou à l'écrit ? Je tremble tellement que j'en ai du mal à former un mot. Le papier se retrouve couvert d'arabesques. De fioritures insensées. Pourtant, je suis calme, presque serein. Mais mon corps a sa propre logique, sa propre vie. Il guide mes gestes, décide qui je suis. Moi je me dis : oui, j'ai aimé... Il me dit : aime-nous ! Alors les larmes reviennent. Les sanglots s'emparent de lui. A cet instant je ne suis que douleur. Je ne suis que cris. Et quand mes yeux sont suffisament perdus. Quand mon être à été suffisament ébranlé. Et qu'il ne me reste plus une larme à verser. Je tremble moins. Un peu moins.
Le couchant dardait ses rayons suprêmes Et le vent berçait les nénuphars blêmes ; Les grands nénuphars, entre les roseaux, Tristement luisaient sur les calmes eaux. Moi, j'errais tout seul, promenant ma plaie Au long de l'étang, parmi la saulaie Où la brume vague évoquait un grand Fantôme laiteux se désespérant Et pleurant avec la voix des sarcelles Qui se rappelaient en battant des ailes Parmi la saulaie où j'errais tout seul Promenant ma plaie ; et l'épais linceul Des ténèbres vint noyer les suprêmes Rayons du couchant dans ces ondes blêmes Et les nénuphars, parmi les roseaux, Les grands nénuphars sur les calmes eaux.
Mon coeur souffre en silence, Serais-ce un cri de délivrance ? Cacher la vérité, tant réclamée, Si peu exprimée par une âme blessée. . . .
Mon sombre cœur est pourri à lui seul, Ma peine et ma souffrance y trouvent recueil Une haine renfermée domine cette illusion, Pourquoi entre la sincérité et vérité existe t’il une fusion ?
Comment s’exprimer avec un esprit renfermé ? Que représente un cœur qui veut exploser ? Une malheureuse vie achevée.... Qui ne peut pas redémarrer
Sacrifier le cœur d’une autre personne, Est injuste pour le coeur d’un homme. Pourquoi alors lui faire de la peine? En oubliant de lui dire’je t’aime’. . . .
La vérité remonte à la surface, Au lieu de rester enfui. Peu à peu mon cœur ce casse. Et ouvre ses veines à l’infini Si j’avais assez de force pr tuer la peine et l’enfermer dans mon cœur, Je me suiciderai pour faire disparaître le malheur... Ne plus vous voir souffrir, Sans devoir vous voir mourir. Tous vous voir le sourire aux lèvres, En laissant vos peurs dans les ténèbres.
Le mensonge est si bien fait, Mais par sa faute, la vérité se tait Le diable a envoûté mon âme, enflammé mon esprit, Ce démon a enlevé la plus belle partie de ma vie Il se nourrit de mon sang et mes peines, et les remplace par la colère et la haine
C’est pour cela que je veux en finir avec ce temps, J’y pense à chaque moment, mais en orais-je le cran? Faire glisser un voile sombre sur la verité, pour que jamais le mensonge ne puisse y toucher En sacrifiant ainsi le corps d’un rêve échoué, Douce vérité, pourras-tu un jour me pardonner ?
Les larmes au coeur je vous quitterai laissant derrière moi une vie inachevée, Pleuré pendant quelques instants, Morte dans le plus beau des présent. . . .
Corps plastique, Corps statique, Mouvement ordonné, Mouvement erroné. Gesticulant de toute part,il se déplace comme un pantin, Le corps n'est rien d'autre qu'une enveloppe à l'issu incertain. A volonté peut-être modifié, A volonté peut-être combiné. Depuis son éveil il a su s'adapter, Vers les chemins accidentés. Certains sont prêt à le vendre, Certains sont prêt à descendre, Vers les enfers et les douleurs, La déchirure et l'horreur. La chair est faible et fragile, Et son dirigeant bien versatile. Négligeant sa carapace des menaces, Tout droit il va il trépasse. Pourquoi ajouter des supplices? Puisque l'usure et le temps sont complices, Pourquoi lui ajouter des sévices? Puisque celui-ci est à notre service. Corps accort Soyons enfin d'accord! A mettre fin à nos désaccords.
La musique permet notre envol Avec des notes toujours aussi folles. Elle peut rythmer notre vie, Faire oublier nos soucis... Elle nous permet de respirer Et peut-être de nous sentir un peu plus libérés. La musique nous transporte, Et nous ouvre même des portes : Les portes de l’imagination Qui peuvent donner accès à notre illusion. Nous entamons un voyage Qui fait peut-être couler quelques larmes sur notre visage. Lorsque vient le refrain On a l’impression qu’à nos tourments il n’y a pas de fin. La vie Est une longue mélodie. Chaque jour à sa note, Et on la joue plus ou moins forte. On a même, parfois, quelques soupirs Qui effacent un peu notre plaisir; Notre plaisir de jouer cette vie, De composer Notre mélodie. Alors, allons-nous refuser de la jouer ? Ou bien allons-nous l’interpréter Pour qu’elle reste gravée ( Dans notre cœur ) pour l’éternité ?
La philosophie C’est se poser des questions sur la vie. On ne fait que se questionner, En pensant ainsi trouver La Vérité. La Vérité de la vie, Celle de l’infini. Les philosophes pensent qu’elle est au fond de nous-même, Et que la réflexion nous y mène. Mais, ils qu’UNE réalité Ne fait pas d’elle La Vérité. Donc, ce qui pour eux est certain Ne l’est peut-être pas pour l’ensemble des humains. D’autres diront que La Vérité est ailleurs, Mais la connaître peut nous éviter des frayeurs... Elle n’est peut-être pas si loin de là; Cependant, lorsqu’elle se présentera à nous, ne la refusons pas Simplement parce que, à première vue, on n’est pas satisfait Et pensant que l’on ne l’acceptera jamais. Nous cherchons tous à comprendre notre monde, notre univers. Nous avons besoin de La Vérité qui nous libère.