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poésie en tout genre
r
2 juillet 2005 17:52
J'attends le bel été, à l'orée des saisons,
Il m'a promis soleil, beauté et déraison.
Mais pour me dérober à ses ardents rayons,
Je reste blottie sous la verte frondaison.

J'ai patienté l'automne, sans bruit ni oraison,
Il a terni mil feuilles, ma vue, mon horizon.
Comment lui échapper, il emplit ma raison,
Il envahit mon coeur, mon âme et ma maison.

J'ai soupiré l'hiver qui, dans un lent oubli,
Refroidit mon pays, l'endort, le pacifie.
Pour mieux m'apprivoiser, ma confiance endormie
Il a glissé le froid dans mes joies, mes envies.

J'ai fêté le printemps qui, me plait me ravit
Il m'apporte les fleurs, les papillons, la vie !
Il a tant de talents et je veux avec lui
Profiter de mon temps et de l'amour aussi.

Lors des quatre saisons, que n'ai-je tant aimé
Cette mélancolie qui toujours m'animait.
De toute les saisons, quelle est ma préférée ?
Celle qui m'acquit enfin, le droit de t'embrasser.

Gollum
r
2 juillet 2005 17:53
Tristesse

Tristesse de ma vie,
Tristesse qui sort dans mon coeur,
Celle qui nous fait verser des larmes de tendresse
Larme qui nous ferons rejoindre un jour ou l’autre
Ou dans une autre vie
La vie doit être comme une famille unit
Unit par l’amitié,
Unit par l’amour,
Unit pour la vie,
Unit jusqu’à la mort.

eric
r
2 juillet 2005 18:22
A toi grand-papa chérie

Je pense tellement à toi grand-papa
Je voudrais tant que tu me parles.

Dis-moi grand-papa, parle-moi
Quand viens le soir,
et que je regarde dans le ciel
et que je vois une étoile briller.
Est-ce toi grand-papa qui me regarde
avec tes yeux doux et brillant.

Dis-moi grand-papa, parle-moi
Quand je ferme les yeux dans la nuit,
et que je vois un bel ange qui chante.
Est-ce toi grand-papa qui viens me chanter
cette douce berceuse dans la nuit.

Dis-moi grand-papa, parle-moi
Quand les jours où le ciel est gris
et que les nuages pleurent ces larmes.
Est-toi grand-papa qui pleure
toute la peine de ton coeur.

écoute grand-papa, moi je te parle, j'ai beaucoup de peine
dans mon petit coeur, tu me manques grand-papa.
Je voudrais tant être avec toi.
pour te serrer dans mes bras
pour te murmurer tout bas.

Je t'aime grand-papa j'aimerais temps que tu sois encore la!

de nataly
r
2 juillet 2005 18:24
Le temps d’un regret

Le temps de ce regret je regarderais derrière moi et je croiserais ton regard pour la dernière fois
Quand-on étais deux tu me racontais des histoire qui commençais par il étais une fois
Je croyais que notre histoire étais un conte un conte de fée.
Je regretterais c'est chapitre heureux que l'on a écris a deux
On trouvais c'est écris en se regardant dans les yeux
Je regretterais c'est moment ou on rigolais car tu me chatouillais et d'un cou tu me regardais et tu m'embrassais
Je regretterais c'est image qui a clôturer notre histoire
Tu étais vêtu de rouge et elle de noir
Je regretterais toujours d'avoir vu ce baiser
Que tu lui as donné
Cette fois dans notre roman plein de fautes d'orthographe je voyais dans tes yeux
Je me suis empêcher de vous séparer
Je le regretterais toujours
Mon coeur lui je l'ai laisser ce déchirer
Sens bouger je t'ai regarder l'embrasser
Tu ma dit je regrette
Le temps d'un regret je serais derrière toi et je te ferais signe du bout de mes dois et je te dirais au revoir

audrey
2 juillet 2005 19:00
Abdellatif d'Occident a écrit:
-------------------------------------------------------
> Rifia :
>
> merci pour cette douce pensée qui ne me laisse pas
> insensible.
>
> Môh tsu :
>
> merci de nous faire partager tes poèmes. C'est
> avec intérêt et plaisir que je les lis ici comme
> ailleurs. Bravo pour ce penchant naturel à la
> création poétique.
>
>
>
>
> Edité 2 fois. Dernière modification
> le 02-07-05 18h33.

Merci à toi et au plaisir de te lire égalament cher ami !

r
3 juillet 2005 08:46
je suis a la recherche d'une perle rare


[désole] Si tu veux aimer, il faudra apprendre !
Si tu veux haïr, il faudra savoir !...
Si tu veux prendre, il faudra donner...
Si tu veux recevoir, il faudra écouter...
Mais quoi que tu fasses,
Il faut que tu saches,
Que les pierres du passé
Ne construisent pas l'avenir !

Si tu veux espérer, il faudra croire...
Si tu veux le bonheur, il faudra chercher...
Si tu veux la joie, il faudra pleurer...
Si tu veux vaincre, il faudra combattre...
Mais c'est dans le miroir
Que se reflète ton pire ennemi !

Si tu veux crier, il faudra parler...
Si tu veux jouir, il faudra souffrir...
Si tu veux faire ...Il faudra "être"...
Si tu veux l'infini, accepte le néant !...
Mais si tu veux vraiment "Vivre",
Sache qu'un jour il faudra "Mourir" !...
c'est pour cela chère femme je veux vivre avec une personne ............
et si tu veux m'appelez
bye j'attend la perle rare.......

amine
r
3 juillet 2005 08:53
Liberté


Sur mes cahiers d'écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J'écris ton nom

Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J'écris ton nom

Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J'écris ton nom

Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l'écho de mon enfance
J'écris ton nom

Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J'écris ton nom

Sur tous mes chiffons d'azur
Sur l'étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J'écris ton nom

Sur les champs sur l'horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J'écris ton nom

Sur chaque bouffée d'aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J'écris ton nom

Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l'orage
Sur la pluie épaisse et fade
J'écris ton nom

Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J'écris ton nom

Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J'écris ton nom

Sur l'absence sans désirs
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J'écris ton nom

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l'espoir sans souvenir
J'écris ton nom

Et par le pouvoir d'un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer

inconu_..
r
3 juillet 2005 14:51
Tristesse


Ramenez-moi, disais-je, au fortuné rivage
Où Naples réfléchit dans une mer d'azur
Ses palais, ses coteaux, ses astres sans nuage,
Où l'oranger fleurit sous un ciel toujours pur.
Que tardez-vous? Partons! Je veux revoir encore
Le Vésuve enflammé sortant du sein des eaux;
Je veux de ses hauteurs voir se lever l'aurore;
Je veux, guidant les pas de celle que j'adore,
Redescendre, en rêvant, de ces riants coteaux;
Suis-moi dans les détours de ce golfe tranquille;
Retournons sur ces bords à nos pas si connus,
Aux jardins de Cinthie, au tombeau de Virgile,
Près des débris épars du temple de Vénus :
Là, sous les orangers, sous la vigne fleurie,
Dont le pampre flexible au myrte se marie,
Et tresse sur ta tête une voûte de fleurs,
Au doux bruit de la vague ou du vent qui murmure,
Seuls avec notre amour, seuls avec la nature,
La vie et la lumière auront plus de douceurs.

De mes jours pâlissants le flambeau se consume,
Il s'éteint par degrés au souffle du malheur,
Ou, s'il jette parfois une faible lueur,
C'est quand ton souvenir dans mon sein le rallume;
Je ne sais si les dieux me permettront enfin
D'achever ici-bas ma pénible journée.
Mon horizon se borne, et mon oeil incertain
Ose l'étendre à peine au-delà d'une année.
Mais s'il faut périr au matin,
S'il faut, sur une terre au bonheur destinée,
Laisser échapper de ma main
Cette coupe que le destin
Semblait avoir pour moi de roses couronnée,
Je ne demande aux dieux que de guider mes pas
Jusqu'aux bords qu'embellit ta mémoire chérie,
De saluer de loin ces fortunés climats,
Et de mourir aux lieux où j'ai goûté la vie.

Alphonse de Lamartine (1790 - 1869)

r
3 juillet 2005 14:52
L'âme triste est pareille


Au doux ciel de la nuit,
Quand l'astre qui sommeille
De la voûte vermeille
A fait tomber le bruit ;
Plus pure et plus sonore
On y voit sur ses pas
Mille étoiles éclore
Qu'à l'éclatante aurore
On n'y soupçonnait pas !

Des îles de lumière
Plus brillante qu'ici
Et des mondes derrière,
Et des flots de poussière
Qui sont " mondes aussi "
On entend dans l'espace
Des choeurs mystérieux
Ou du ciel qui rend grâce,
Ou d'un ange qui passe
Ou de l'homme pieux

Et pures étincelles
De nos âmes en feu,
Les prières immortelles
Sur leur brûlantes ailes
Nous soulèvent un peu ! Tristesse qui m' inonde
Coule donc de mes yeux
Comme une onde féconde :
Il faut que l'homme pleure
Il faut que l'homme meure.

Alphonse de Lamartine (1790 - 1869)

r
3 juillet 2005 14:54
Je suis parti de loin

Je suis même parti de très loin

Mère et père m'ont appris un peu de leur vie

De leur amour, de leur colère

J'ai été enfant, adolescent

Peut-être adulte un jour


Dans mon enfance, j'étais libre

Dans mon adolescence, j'étais moins libre

Maintenant que je suis peut-être un adulte

Je cherche la liberté


Dans mon enfance, j'avais des amis

Dans mon adolescence, j'avais des amours

Dans ma vie d'adulte, j'ai aimé

Dans mon adulte, je suis adolescent et enfant.


inconnu_..
r
3 juillet 2005 14:57
Je tremble.

Tout mon corps tremble.
Comme si il ne pouvait se fixer, s'arrêter.
Le point placé devient dessin.
La lettre devient brouillon.
Je me perds dans mes mots.
D'habitude si claires, les phrases deviennent mensonges.
Je ne sais à qui me fier, à mon geste ou à l'écrit ?
Je tremble tellement que j'en ai du mal à former un mot.
Le papier se retrouve couvert d'arabesques.
De fioritures insensées.
Pourtant, je suis calme, presque serein.
Mais mon corps a sa propre logique, sa propre vie.
Il guide mes gestes, décide qui je suis.
Moi je me dis : oui, j'ai aimé...
Il me dit : aime-nous !
Alors les larmes reviennent.
Les sanglots s'emparent de lui.
A cet instant je ne suis que douleur.
Je ne suis que cris.
Et quand mes yeux sont suffisament perdus.
Quand mon être à été suffisament ébranlé.
Et qu'il ne me reste plus une larme à verser.
Je tremble moins.
Un peu moins.

sans nom
r
3 juillet 2005 14:59
promenade sentimaentale

Le couchant dardait ses rayons suprêmes
Et le vent berçait les nénuphars blêmes ;
Les grands nénuphars, entre les roseaux,
Tristement luisaient sur les calmes eaux.
Moi, j'errais tout seul, promenant ma plaie
Au long de l'étang, parmi la saulaie
Où la brume vague évoquait un grand
Fantôme laiteux se désespérant
Et pleurant avec la voix des sarcelles
Qui se rappelaient en battant des ailes
Parmi la saulaie où j'errais tout seul
Promenant ma plaie ; et l'épais linceul
Des ténèbres vint noyer les suprêmes
Rayons du couchant dans ces ondes blêmes
Et les nénuphars, parmi les roseaux,
Les grands nénuphars sur les calmes eaux.


paul verlaine
r
3 juillet 2005 15:02
Mensonge

Mon coeur souffre en silence,
Serais-ce un cri de délivrance ?
Cacher la vérité, tant réclamée,
Si peu exprimée par une âme blessée. . . .

Mon sombre cœur est pourri à lui seul,
Ma peine et ma souffrance y trouvent recueil
Une haine renfermée domine cette illusion,
Pourquoi entre la sincérité et vérité existe t’il une fusion ?

Comment s’exprimer avec un esprit renfermé ?
Que représente un cœur qui veut exploser ?
Une malheureuse vie achevée....
Qui ne peut pas redémarrer

Sacrifier le cœur d’une autre personne,
Est injuste pour le coeur d’un homme.
Pourquoi alors lui faire de la peine?
En oubliant de lui dire’je t’aime’. . . .

La vérité remonte à la surface,
Au lieu de rester enfui.
Peu à peu mon cœur ce casse.
Et ouvre ses veines à l’infini
Si j’avais assez de force pr tuer la peine et l’enfermer dans mon cœur,
Je me suiciderai pour faire disparaître le malheur...
Ne plus vous voir souffrir,
Sans devoir vous voir mourir.
Tous vous voir le sourire aux lèvres,
En laissant vos peurs dans les ténèbres.

Le mensonge est si bien fait,
Mais par sa faute, la vérité se tait
Le diable a envoûté mon âme, enflammé mon esprit,
Ce démon a enlevé la plus belle partie de ma vie
Il se nourrit de mon sang et mes peines,
et les remplace par la colère et la haine

C’est pour cela que je veux en finir avec ce temps,
J’y pense à chaque moment, mais en orais-je le cran?
Faire glisser un voile sombre sur la verité,
pour que jamais le mensonge ne puisse y toucher
En sacrifiant ainsi le corps d’un rêve échoué,
Douce vérité, pourras-tu un jour me pardonner ?

Les larmes au coeur je vous quitterai
laissant derrière moi une vie inachevée,
Pleuré pendant quelques instants,
Morte dans le plus beau des présent. . . .

sans nom
r
4 juillet 2005 01:25

je t’aime!

je suis a toi!
tu es a moi!
la confiance est en nous!

nous ont se dis tout!
ont fait tout ensemble!

un soir!
je te dis mon desir!
le desir que tu connais!
ecrire!

tu me donne ton aprobation!
un soir alors que j’ecrit!
je sent l’inspiration d’ecrire encore!

je ne lache plus l’ecrit!
puis soudain!
je te sent loin!

tu t’eloigne de moi!
pourquoi!
je ne comprend plus!

mais ecrit ne te plaise t’il pas?
ou de mes mot est tu jaloux?

tu ne dis rien !
et continue a t’éloigner!

alors part ecrit je te le dis!
je t’aime et rien ne me mettras entre toi et mon amour!
même le temp de l’ecriture je te clame mon amour!

alors je t’ecrit des page entier !
pour toi mon amour
je t’aime pour la vie!

inconnue_...

l
4 juillet 2005 02:37
bravo rifia, kelle tempête ! j'aime winking smiley
"Monde ! Prend garde Monde ! Des océans de larmes se forment! Quand les digues lâcheront Tu seras inondé."Wold Weecha.
r
4 juillet 2005 09:58
je t'en prie lahla winking smiley ...sa fais un bail que tu n'es pas venu smiling smiley
r
4 juillet 2005 10:04
CORPS ACCORT


Corps plastique,
Corps statique,
Mouvement ordonné,
Mouvement erroné.
Gesticulant de toute part,il se déplace comme un pantin,
Le corps n'est rien d'autre qu'une enveloppe à l'issu incertain.
A volonté peut-être modifié,
A volonté peut-être combiné.
Depuis son éveil il a su s'adapter,
Vers les chemins accidentés.
Certains sont prêt à le vendre,
Certains sont prêt à descendre,
Vers les enfers et les douleurs,
La déchirure et l'horreur.
La chair est faible et fragile,
Et son dirigeant bien versatile.
Négligeant sa carapace des menaces,
Tout droit il va il trépasse.
Pourquoi ajouter des supplices?
Puisque l'usure et le temps sont complices,
Pourquoi lui ajouter des sévices?
Puisque celui-ci est à notre service.
Corps accort
Soyons enfin d'accord!
A mettre fin à nos désaccords.

sans nom
r
4 juillet 2005 10:11
La musique

La musique permet notre envol
Avec des notes toujours aussi folles.
Elle peut rythmer notre vie,
Faire oublier nos soucis...
Elle nous permet de respirer
Et peut-être de nous sentir un peu plus libérés.
La musique nous transporte,
Et nous ouvre même des portes :
Les portes de l’imagination
Qui peuvent donner accès à notre illusion.
Nous entamons un voyage
Qui fait peut-être couler quelques larmes sur notre visage.
Lorsque vient le refrain
On a l’impression qu’à nos tourments il n’y a pas de fin.
La vie
Est une longue mélodie.
Chaque jour à sa note,
Et on la joue plus ou moins forte.
On a même, parfois, quelques soupirs
Qui effacent un peu notre plaisir;
Notre plaisir de jouer cette vie,
De composer Notre mélodie.
Alors, allons-nous refuser de la jouer ?
Ou bien allons-nous l’interpréter
Pour qu’elle reste gravée
( Dans notre cœur ) pour l’éternité ?

sans nom
r
4 juillet 2005 10:13
La philosophie

La philosophie
C’est se poser des questions sur la vie.
On ne fait que se questionner,
En pensant ainsi trouver La Vérité.
La Vérité de la vie,
Celle de l’infini.
Les philosophes pensent qu’elle est au fond de nous-même,
Et que la réflexion nous y mène.
Mais, ils qu’UNE réalité
Ne fait pas d’elle La Vérité.
Donc, ce qui pour eux est certain
Ne l’est peut-être pas pour l’ensemble des humains.
D’autres diront que La Vérité est ailleurs,
Mais la connaître peut nous éviter des frayeurs...
Elle n’est peut-être pas si loin de là;
Cependant, lorsqu’elle se présentera à nous, ne la refusons pas
Simplement parce que, à première vue, on n’est pas satisfait
Et pensant que l’on ne l’acceptera jamais.
Nous cherchons tous à comprendre notre monde, notre univers.
Nous avons besoin de La Vérité qui nous libère.

zi-dan
r
4 juillet 2005 10:51
être un chat

Moi, j’aimerais être un chat
Pour me frotter contre toi
Un chat un peu fada
Pour jouer avec toi

Moi, j’aimerais être un chat
Pour que tu m’embrasse partout
Un chat tout roux, tout doux
Pour que tu m’ prennes dans tes bras

Moi, j’aimerais être un chat
Un chat plus petit que toi
Pour sentir contre moi
La patience de tes doigts

Moi, j’aimerais être un chat
Pour dormir sur ton lit
Je voudrais être ton ami
Et me blottir contre toi

Je ronronnerais tout bas
Des « je t’aime » à l’infini
Avec toi, c’est pas la même vie
Moi, j’aimerais être ton chat

sans nom
Emission spécial MRE
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