Le temps passe et certains dansent avec la bêtise Et tout ça me lassse quoiqu'ils me disent... J'ai trop de respect, qui étouffe avec ses gaz, C'est avoir du toupet, et passer pour un naze... (I ?) Yeux bleux, le teint appartient à "I-Robeu !" Ça fait sourire, prête confusion pour l'Elu... Minimum, doré et éclatant de vérités fausses... Communes aux morts de l'esprit des "ghosses" ! La bêtise est là, elle sert d'intelligence, Et rassure le peureux de base sans forces... L'heure est à l'attaque qui une défense, Une canine "canine" pour mordre l'enfance.
Je pars ailleurs voir des hommes et étoiles, Rêver dans ces lieux où l'on fait moins mal. J'en ai assez de voir des "gens" se déchirer, Vulgaires feuilles d'automne qui aiment tomber Sur les invectives des vents, d'heures passées, Comme elle qui oublient de vivre, rassasiées, D'une chance d'être en vivre, bien complètes, En forme, espérant rien, avant que tout s'arrête. Je suis confus par la bêtise humaine là et ici, Et je m'apprête à remettre en cause le Paradis, Qui doit exister sûrement en y croyant très fort, Mais pas pour des personnes nues qui ont tort, De parler, ciselées, au discours provocateur, Déduisant, inertes, le monde qui est ailleurs, Qui bouge avec elle, sans elle, cherchant encore Ce qui manque ou à ajouter à leur pauvre corps.
nabilla a écrit: ------------------------------------------------------- > > > merci jolie dounia > > > mais je ne vais pas te mentir je n'est lu que la > premiére partie!!! > > > a chaque jour sa peine
Bonne rêveuse que je suis J’ai beau faire des discours Et prendre des leçons de vie Je ne quitte guère… Mes chimères d’amour, Et ma naïveté de toujours.
J’ai beau dire que les hommes Sont tous méchants Je garde espoir même Ne ce serais-ce qu’1% De rencontrer Un jour le Bon !
J’ai beau faire des résolutions Vivre seule et m’amuser à fond Ignorer l’autre, l’inexistant Je me trahis à chaque fois Et me reprend…
J’ai beau défier les vents Du destin… Ma tête en prend des coups Et à la fin ne change rien…
« Advienne que pourra » Formule Qui apaisera Peut-être mes tourments… Lorsqu’on s’y attend le moins La chance ne sourit-elle pas ?
------------------------------------- Citoyenne_de_coeur 10 novembre 2005
Souvent, quand je me regarde Dans une glace, Même avec le sourire… J’ai trop envie de pleurer. Me voir est si douloureux, Que ça donne envie de périr…
L’abnégation, je la vis Et la ressent… Poignante, cinglante, Me blesse profondément.
La solitude, me pèse terriblement Jusqu’à en ressentir des remords Je me rends coupable de tout Et me retrouve souvent en tort…
Je me reconnais plus dans le vacarme D’une vie, que je mène sans envie… Le bruit me gène, les autres aussi Et le silence m’étourdit et m’alarme.
Je sais plus ce que je veux ! Etre ou réagir m’importe peu ! Je me laisse mener par le train de la vie Au rivage du nul part… Indifférent à mon propre sort…
Je ne crie plus, Ni me met en colère Ma rage est intravertie, Ainsi est mon désespoir… Je me réduis au silence, Et me laisse endormir… Comme dans une tombe, Où il fait bon de mourir. -------------------------------------------
Môh Tsu a écrit: ------------------------------------------------------- ***** ANTICYCLONE*****
Alors, que Dieu te garde Ma soeur de la mort, Même avec le sourire… J’ai trop envie de te voir marier. Te voir, lire, est si joyeux, Que ça donne envie de vivre…
L’Amour, je le vis Et le ressens… Poignant, cinglant, Me prenant profondément.
La solitude, n'est qu'un moment Jusqu’à à toucher le bonheur Je m'en rends compte aujourd'hui Maintenant que j'ai mon amie
Je me reconnais plus dans le vacarme D’une vie, que je mènais sans envie… Le bruit qui me gènait, les autres aussi Avec le silence étourdit et alarme.
Tu sais très bien ce que tu vaux ! Aimer, être ou agir m’importe où ! Te laisse mener par le train de la vie Au rivage du nul part… avec lui Indifférente de ta propre sort…
Ne crie plus, Ne te mets plus en colère Ta rage est de passage, Contrairement à l'espoir… Ne te réduis pas au silence, Et éveille-toi au monde… Comme dans l'ombre, Où il fait bon de sortir.
bonsoir ,franchement ,c'est pour la première fois que j'ouvre cette rubrique ,je trouve magnifiques tous vos poèmes ,je vous souhaite bonne continuation ,et encore plus de création et d'inspiration.
À la nostalgie légère qui coule dans mes veines, je suis de Sainte-Félicité sur mer dans la péninsule gaspésienne. Terre de ma mère et mon père. Petit village aux fenêtres de persienne. L'enfance de mon univers, de mes joies et mes peines.
Fille de restaurateur. Fille de l'aire des champs. Souvenir et porte-bonheur de mes premiers printemps. Héritière d'un regard rêveur du vol des goélands, dans l'écho des pêcheurs aux reflets du soleil levant.
Je suis de cette rivière caressée à un pont par un regard qui se libère, comme une chanson chantée sans barrières, noyée de passion, qui déroule le tapis vert au gré de mes saisons.
J'ai souvent le mal du pays de mon village natal, de mon coin de Gaspésie où est né mon idéal. J'ai souvenir d'un moment de poésie aussi jolie que l'univers sidéral, inspirée du vent de mer d'un après-midi d'une Longue marche littorale
Môh Tsu a écrit: ------------------------------------------------------- ***** ANTICYCLONE*****
> Ta rage est de passage, > Contrairement à l'espoir… > Ne te réduis pas au silence, > Et éveille-toi au monde… > Comme dans l'ombre, > Où il fait bon de sortir.
tes bonnes réflexions font chaud au coeur... se sentir épaulé est tout un bonheur
ne t'inquiète pas ma vie je la mène un vent de joie un brin de peine
renoncer est abdicter et je ne baisse jamais les bras lutter est l'inévitable quand on a la foi
il fera beau après la pluie comme il fait jour suite à la nuit et du coeur ... la joie de vivre éclatera quand se défilera l'ennui.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 14/11/05 12:46 par citoyenne_de_coeur.
Pense donc comme il te convient camarade ce monde, Fait d'étouffement, chaos en charade en ton nom. Justifie ta soif de désir, de vie, qui se confondent En un plaisir, vrai, malsain qui ne retient qu'au son.
Laisse-toi mourir, viellir, la peau sur les os, bâtard, Lincher du regard noir par des passants dont l'Histoire Ressemble pourtant à la tienne en modèle et son patron. Ils aiment se distinguer, promouvoir le oui par le non.
Pense donc comme demain qui est à découvrir avec toi, Des espérances au savoir qui fait avancer en arrière. Oui, tu fais du surplace, étrange, malgré leurs lois, La physique qui dérange le pieux curé dans sa prière.
Vas donc où tu veux aller, toi, dans l'arrogance innée, En nous, qui fais les petits hommes, les chavaliers, Sur leurs grands chevaux, oranges, qui sont bien rouges. Faut-il encore pour tu puisses le voir que tu bouges.
Baissez d'un ton, laissez la France dormir, Passez tout près du carreau où faut se tenir, Droit et ferme comme un peuplier, boiteux, Digne héritiers de Quasimodo des banlieues !
Fermez-la, même si on se bouche les oreilles, Et le président le nez, conseil après conseil. Français de seconde zone adorez les herzates, Et vous plaignez pas de l'état, de la diktat !
Travaillez comme des rats, au noir, au restos, Du sans coeur, du patron qui exploite "negros", Portos, et arabes, et qui a le sourire jaune, En voyant arriver l'esclave diplômé et jeune.
La colonisation et la traite des noirs est là, En filigrane, rampante, sous les beaux blablas, Cachant racisme, obscurantisme et faiblesses Des hommes de valeurs disant évoluer sans cesse.
La vraie Justice porte un beau nom connu : Dieu. Ce qu'ils volent, ils le rendront, malheureux, Au centuple, avec des larmes, avec ces peuples Qui leur tendront la main, jadis sous la semelle.
Il y a des instants, à saisir, par la main De brèves secondes, volées, pour nos « demain » Un jour, où le silence, attend le premier cri Comme un don à l'histoire, entre nous, qui s'écrit...
Posé sur mon ventre, portant un bout de soi Je découvre l'autre, la réponse à ma foi L'attente aux prières, une chance d'y croire Exhaussées en aveu, par des larmes d'espoir
Devant ce petit être, à la candeur d'un ange Mon coeur est emparé, de sentiments étranges Ses petits doigts, blottis, avides de mon sein Me mangent du regard, où grandit ses desseins
J'ai retenu en moi, ce temps, en souvenir Dans un précieux passé, mort né, sans avenir Lové dans un écrin, accrochée à mes rêves où le bonheur perdu, s'est endeuillé, sans trêve
A cet acte d'amour, je n'ai pas su répondre Le mal a répandu, l'avis, sans correspondre Au creux de mes veines, coule une défaillance Transmis par un gêne, de mon sang, à l'enfance
La culpabilité, aux aguets, dans l'esprit A rongé mon âme en souffrance sans répit Elle m'a jeté là, dans l'envers du décor Attachée au doute, mais moi, j'y crois encore.
trés jolie, citoyenne de coeur. si j'étais zineb je ne me séparais jamais d'une belle compagnie comme la tienne, mais ALLAH ghaleb et ne sois pas triste ma belle, INSHAALLAH tu trouveras une autre bonne comagnie.