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Un nouveau livre vient de paraître sur la monarchie
z
11 décembre 2006 22:14
Un nouveau livre vient de paraître sur la monarchie
Le Maroc à l’épreuve de l’islamisme

Par : Yacine Kenzy
Lu : (3778 fois)

S’appuyant sur des notes officielles de services occidentaux, le livre s'interroge sérieusement sur l'avenir du pays gangrené par la corruption, pris en otage par un entourage royal affairiste en proie à des luttes d'influence, et fragilisé par une situation sociale et économique de plus en plus difficile.

Lorsque Mohammed VI accédait au trône en 1999, un vent d'espoir avait soufflé sur le Maroc après trente ans de règne despotique de son père Hassan II. Le “roi des pauvres”, jeune et moderne, laissait croire à une réforme de la monarchie, et les courtisans accouraient de toutes parts pour prêter allégeance et faire la promotion du souverain qui n'avait pas manqué de subtilité en inaugurant son règne par le brutal limogeage de Driss Basri, le puissant ministre de l'Intérieur de Hassan II. Un symbole ?
Plutôt une foucade à en croire deux journalistes français qui tentent de dresser un bilan de ces premières années de règne de M6. Au point que Nicolas Beau et Catherine Graciet se posent la question de survie de la monarchie, dans un livre publié jeudi à Paris aux éditions La Découverte. Quand le Maroc sera islamiste livre l'image d'un royaume désenchanté. En tout cas, à rebours du portrait idyllique livré par certaines plumes complaisantes de quelques auteurs parisiens qui bâtissent riads à Marrakech et se dorent au soleil de Tanger. S'appuyant sur des notes officielles de services occidentaux, le livre s'interroge sérieusement sur l'avenir du pays, gangrené par la corruption, pris en otage par un entourage royal affairiste en proie à des luttes d'influence, et fragilisé par une situation sociale et économique de plus en plus difficile.
En somme, le terreau le plus fertile de l'islamisme contestataire.
Ce qui ne gâte rien, c'est que l'héritier qui s'est révélé un roi fainéant, comme le disent les auteurs, n'a pas l'envergure de son géniteur. Hassan II avait quand même un sens de la diplomatie qui le faisait passer pour un acteur du dialogue entre Orient et Occident. Tout comme il avait de solides relations personnelles, notamment en France.
Sans posséder l'un, Mohammed VI a aussi dilapidé l'autre puisqu’il ne semble pas avoir accepté le parrainage du président français Jacques Chirac qui le lui proposait aux funérailles du père. “Entre incapacité à résorber le chômage de masse comme à résoudre le conflit du Sahara occidental, entre incapacité à se réformer politiquement et voracité économique, entre incapacité à juguler l'islamisme radical et à enrayer l'immigration clandestine, la monarchie s'est jetée dans l'oeil du cyclone”. D'ailleurs, les auteurs ne se demandent même pas si le Maroc est islamiste ou non, dans un pays qui compte avec le PJD, l'équivalent du MSP, un parti islamiste à l'intérieur des institutions alors que prospère l'association Al adl wa el ihsane de check Abdesselam Yassine qui récuse absolument la monarchie. Cela sans compter les djihadistes qui ont fait leurs preuves de Casablanca à Madrid.
La tâche peut se révéler d'autant plus facile que le roi a nommé ses plus fidèles collaborateurs à la tête des puissants services secrets. Une violente répression le fera apparaître totalement nu. Sans protection.
Une profonde réforme de la monarchie, délestée de sa fonction exécutive, sera alors le prix de sa survie.


> Les USA préfèrent l'Algérie
Le 28 février 2006, l'Institut français des relations internationales (IFRI) organisait une conférence à Paris sur le Maghreb. Y était invité William Jordan, le directeur du bureau Maghreb au département d'État américain. En aparté, il déclarait que l'Algérie était en passe de devenir “le leader dans la région” et qu'elle est même “le plus important partenaire des États-Unis par sa capacité financière”. Commentaire des auteurs : les oranges marocaines pèsent moins lourd dans la balance que le pétrole algérien.

> Autre exemple : en juin 2004, le président George Bush n'a pas jugé utile de convier Mohammed VI au G8 de Sea Island alors que d'autres chefs d'État de “pays amis” étaient de la partie comme l'Algérie.
Dans un autre registre, une note du cabinet privé américain Atlantic Intelligence estime que les États-Unis évoluent clairement “vers la recherche d'alternatives en cas d'écroulement de l'institution monarchique”, une “éventualité désormais envisagée” à cause de “l'incapacité
du couple monarchie/partis politiques à structurer un espace public de confrontation des idées et des intérêts avec des mécanismes de contrôle par le bas”. Le comble, c'est que tout cela arrive au moment où le roi, sentant arriver la retraite de Chirac, a décidé de se rapprocher des États-Unis. Commentaire d'un diplomate marocain cité dans le livre : “Les Américains nous tiennent complètement avec le Sahara occidental. Aujourd'hui, on a la quasi-certitude qu'ils ne nous imposeront rien contre notre gré. Mais en contrepartie, on est réduit à faire la danse du ventre devant eux pour ne pas tout leur céder.”

> Des manifestants pro-Algérie
L'été dernier, la ville frontalière de Bouarfa a été le théâtre de manifestations d'habitants qui se sont révoltés contre leur sort.
Ils menaçaient d'émigrer collectivement vers l'Algérie. Leur cri : “Mohammed VI nous affame, Bouteflika nous nourrira.”
La fermeture de la frontière commune a privé le Maroc d'une manne apportée par deux millions d'Algériens qui se rendaient au Maroc entre 1989 et 1994.
Au sommet, “il n'y a plus de téléphone rouge” entre Alger et Rabat. Un haut diplomate marocain cité dans le livre affirme : “Les Algériens observent qu'ils n'ont plus d'interlocuteur stable ni fiable au Maroc. Je pense qu'ils relèvent que le makhzen est éclaté entre plusieurs clans qui, faute d'arbitrage, se neutralisent les uns les autres et hésitent sur quel cheval miser.”

Y. K.
Libérté-Algérie
l
11 décembre 2006 22:52
Merci pour ce texte zaki..
a
12 décembre 2006 00:09
Zaki,

Pourquoi tu nous sors un article tiré d'un journal algérien ?
z
12 décembre 2006 00:38
andi espoir, j'aurais pu le commenter effectivement, mais mes critiques sur des faits d'actualite ne passent pas bien apparement. Je partage donc, a-ton le droit de partager des news?
a
12 décembre 2006 01:00
Bien sûr, c'est juste que c'est un journal algérien alors pour ce qui est de l'objectivité en ce qui concerne le Maroc ... smiling smiley
z
12 décembre 2006 01:27
erci mon ami, tu me verras retransmettre les news exactement comme elles viennent plus souvent dici la, cela ne voudra pas dire que j;approuve. chacun se fera son idee librement et "democratiquement" comme ca on ne m'accusera ni de vouloir provoquer ni d'inciter a l'analyse et a l'argumentation...
12 décembre 2006 19:38
je sent bientot la fin de la monarchie.
Allo pizza
a
12 décembre 2006 19:57
Citation
dans tes reves a écrit:
je sent bientot la fin de la monarchie.


Dans tes rêves grinning smiley
l
12 décembre 2006 19:58
Dans vos rêves..,
A mon humble avis, ce n'est pas sur cet article ou ce livre qu'il faut se baser pour tirer une bonne conclusion...Nous connaissons le Maroc mieux que les français et les Algériens, non..? Quand même..!
a
12 décembre 2006 20:07
Citation
le citoyen a écrit:
Nous connaissons le Maroc mieux que les français et les Algériens, non..? Quand même..!


Tout à fait d'accord avec vous, Le citoyen winking smiley

Il faut se méfier des gens qui croient savoir mieux que vous, ce qui est bon pour vous.
l
12 décembre 2006 20:13
Citation
andi espoir a écrit:
Citation
le citoyen a écrit:
Nous connaissons le Maroc mieux que les français et les Algériens, non..? Quand même..!


Tout à fait d'accord avec vous, Le citoyen winking smiley

Il faut se méfier des gens qui croient savoir mieux que vous, ce qui est bon pour vous.

AAAFFirmatif !!
y
12 décembre 2006 22:35
Citation
zaki7 a écrit:
Un nouveau livre vient de paraître sur la monarchie
Le Maroc à l’épreuve de l’islamisme

Par : Yacine Kenzy
Lu : (3778 fois)

S’appuyant sur des notes officielles de services occidentaux, le livre s'interroge sérieusement sur l'avenir du pays gangrené par la corruption, pris en otage par un entourage royal affairiste en proie à des luttes d'influence, et fragilisé par une situation sociale et économique de plus en plus difficile.

Lorsque Mohammed VI accédait au trône en 1999, un vent d'espoir avait soufflé sur le Maroc après trente ans de règne despotique de son père Hassan II. Le “roi des pauvres”, jeune et moderne, laissait croire à une réforme de la monarchie, et les courtisans accouraient de toutes parts pour prêter allégeance et faire la promotion du souverain qui n'avait pas manqué de subtilité en inaugurant son règne par le brutal limogeage de Driss Basri, le puissant ministre de l'Intérieur de Hassan II. Un symbole ?
Plutôt une foucade à en croire deux journalistes français qui tentent de dresser un bilan de ces premières années de règne de M6. Au point que Nicolas Beau et Catherine Graciet se posent la question de survie de la monarchie, dans un livre publié jeudi à Paris aux éditions La Découverte. Quand le Maroc sera islamiste livre l'image d'un royaume désenchanté. En tout cas, à rebours du portrait idyllique livré par certaines plumes complaisantes de quelques auteurs parisiens qui bâtissent riads à Marrakech et se dorent au soleil de Tanger. S'appuyant sur des notes officielles de services occidentaux, le livre s'interroge sérieusement sur l'avenir du pays, gangrené par la corruption, pris en otage par un entourage royal affairiste en proie à des luttes d'influence, et fragilisé par une situation sociale et économique de plus en plus difficile.
En somme, le terreau le plus fertile de l'islamisme contestataire.
Ce qui ne gâte rien, c'est que l'héritier qui s'est révélé un roi fainéant, comme le disent les auteurs, n'a pas l'envergure de son géniteur. Hassan II avait quand même un sens de la diplomatie qui le faisait passer pour un acteur du dialogue entre Orient et Occident. Tout comme il avait de solides relations personnelles, notamment en France.
Sans posséder l'un, Mohammed VI a aussi dilapidé l'autre puisqu’il ne semble pas avoir accepté le parrainage du président français Jacques Chirac qui le lui proposait aux funérailles du père. “Entre incapacité à résorber le chômage de masse comme à résoudre le conflit du Sahara occidental, entre incapacité à se réformer politiquement et voracité économique, entre incapacité à juguler l'islamisme radical et à enrayer l'immigration clandestine, la monarchie s'est jetée dans l'oeil du cyclone”. D'ailleurs, les auteurs ne se demandent même pas si le Maroc est islamiste ou non, dans un pays qui compte avec le PJD, l'équivalent du MSP, un parti islamiste à l'intérieur des institutions alors que prospère l'association Al adl wa el ihsane de check Abdesselam Yassine qui récuse absolument la monarchie. Cela sans compter les djihadistes qui ont fait leurs preuves de Casablanca à Madrid.
La tâche peut se révéler d'autant plus facile que le roi a nommé ses plus fidèles collaborateurs à la tête des puissants services secrets. Une violente répression le fera apparaître totalement nu. Sans protection.
Une profonde réforme de la monarchie, délestée de sa fonction exécutive, sera alors le prix de sa survie.


> Les USA préfèrent l'Algérie
Le 28 février 2006, l'Institut français des relations internationales (IFRI) organisait une conférence à Paris sur le Maghreb. Y était invité William Jordan, le directeur du bureau Maghreb au département d'État américain. En aparté, il déclarait que l'Algérie était en passe de devenir “le leader dans la région” et qu'elle est même “le plus important partenaire des États-Unis par sa capacité financière”. Commentaire des auteurs : les oranges marocaines pèsent moins lourd dans la balance que le pétrole algérien.

> Autre exemple : en juin 2004, le président George Bush n'a pas jugé utile de convier Mohammed VI au G8 de Sea Island alors que d'autres chefs d'État de “pays amis” étaient de la partie comme l'Algérie.
Dans un autre registre, une note du cabinet privé américain Atlantic Intelligence estime que les États-Unis évoluent clairement “vers la recherche d'alternatives en cas d'écroulement de l'institution monarchique”, une “éventualité désormais envisagée” à cause de “l'incapacité
du couple monarchie/partis politiques à structurer un espace public de confrontation des idées et des intérêts avec des mécanismes de contrôle par le bas”. Le comble, c'est que tout cela arrive au moment où le roi, sentant arriver la retraite de Chirac, a décidé de se rapprocher des États-Unis. Commentaire d'un diplomate marocain cité dans le livre : “Les Américains nous tiennent complètement avec le Sahara occidental. Aujourd'hui, on a la quasi-certitude qu'ils ne nous imposeront rien contre notre gré. Mais en contrepartie, on est réduit à faire la danse du ventre devant eux pour ne pas tout leur céder.”

> Des manifestants pro-Algérie
L'été dernier, la ville frontalière de Bouarfa a été le théâtre de manifestations d'habitants qui se sont révoltés contre leur sort.
Ils menaçaient d'émigrer collectivement vers l'Algérie. Leur cri : “Mohammed VI nous affame, Bouteflika nous nourrira.”
La fermeture de la frontière commune a privé le Maroc d'une manne apportée par deux millions d'Algériens qui se rendaient au Maroc entre 1989 et 1994.
Au sommet, “il n'y a plus de téléphone rouge” entre Alger et Rabat. Un haut diplomate marocain cité dans le livre affirme : “Les Algériens observent qu'ils n'ont plus d'interlocuteur stable ni fiable au Maroc. Je pense qu'ils relèvent que le makhzen est éclaté entre plusieurs clans qui, faute d'arbitrage, se neutralisent les uns les autres et hésitent sur quel cheval miser.”

Y. K.
Libérté-Algérie
ALLAH AL WATAN AL MALIK
b
13 décembre 2006 01:55
C'est assez inquiétant en ce qui concerne l'attitude des américain, sur le reste, je pense que c faux ou éxagéré.
z
13 décembre 2006 07:02
z
13 décembre 2006 07:33
M.Taib Fassi Fihri : Forum pour l'Avenir … les avancées significatives dans tous les domaines derrière le choix porté sur le Maroc
Rabat le : 09/12/2004

Le Maroc a été choisi pour abriter la première édition du "Forum pour l'Avenir" compte tenu des "avancées significatives" du Royaume dans divers domaines et ses positions "très claires" exprimées concernant le moyen orient et l'Irak, a affirmé jeudi soir Le Ministre Délégué aux Affaires Etrangères et à la Coopération, M. Taib Fassi Fihri.
Co-présidée par le Maroc en sa qualité de pays hôte et les Etats-Unis, président en exercice du groupe des huit pays les plus industrialisés (G8), cette première édition constitue la pièce maîtresse du partenariat pour le progrès et un avenir commun entre la région du moyen orient élargi et de l'Afrique du Nord (BMENA) et le G8 (Etats-Unis, France, Royaume Uni, Allemagne, Italie, Japon, Canada et Russie).
"A la suite du sommet de Sea Island du g8 qui a arrêté une composition de partenariat " avec la région BMENA, "il nous a été proposé d'abriter la 1ère réunion du forum" eu égard aux "avancées significatives" du Maroc dans divers domaine, a notamment déclaré à la MAP M. Fassi Fihri.
Les "positions très claires exprimées par le Royaume et SM le Roi Mohammed VI sur l'importance du règlement du conflit notamment au moyen orient et en Irak et sur la nécessité de tenir compte des spécificités de chaque pays dans ces efforts de réformes et d'évolution et de progrès économique et social", ont milité en faveur du choix du Royaume, a ajouté M. Fassi Fihri.
Cette initiative, a tenu à souligner Le Ministre, vient "s'ajouter à d'autres anciennes et le Maroc rappelle avec force l'importance de l'initiative issue de Barcelone ".
pour M. Fassi Fihri il faut que l'ensemble des initiatives, qu'elles soient Euro-Méditerranéennes ou spécifiques à la méditerranée occidentale, comme le processus des 5+5, ou d'autres forums, puissent s'inscrire dans la "complémentarité, sachant qu'il y a déjà des acquis".
Et le ministre d'ajouter : "nous espérons que le forum complétera les acquis du processus de Barcelone".
A une question sur les contestations manifestées, ici et là, le ministre a estimé "très sain que les gens puissent exprimer leurs positions et points de vue", pour qui ce "débat est utile".
"Nous sommes très heureux de savoir qu'il y a un débat concernant le processus de réformes dans notre région et nous avons besoin de l'ensemble des avis pour pouvoir avancer", a-t-il noté.
"Il s'agit avant tout d'un espace de dialogue et d'échange", a insisté le ministre soulignant que "rien n'est imposé de l'extérieur et que tout doit émaner en priorité de la région".
"Le Forum pour l'Avenir", prévu Vendredi et Samedi à Rabat, se propose d'échanger des "vues sur les voies et moyens à même de soutenir l'engagement du BMENA pour la consolidation des acquis et la poursuite des réformes en cours et en projet conformément à la déclaration du Sommet Arabe de Tunis.
13 décembre 2006 10:48
Citation
dans tes reves a écrit:
je sent bientot la fin de la monarchie.


Tu sens mauvais plutôt smoking smiley
"Avec un H majuscule"
l
13 décembre 2006 11:05
Citation
boms a écrit:
C'est assez inquiétant en ce qui concerne l'attitude des américain, sur le reste, je pense que c faux ou éxagéré.

Mais non, les américains ne sont pas dans une situation confortable, ils ont plutôt besoin de nous..(...)
a
13 décembre 2006 12:46
Salamoualikoum,

Encore un écrivaillon pour nous prédire (ou plutot souhaiter) le pire !
Parce que moi, j'attend toujours que les prévisions de G.Perrault, M.Diouri,J.P Tuquoi ou A.Yassine se réalisent.
Combien sont-ils a avoir prédit le pire ? pour les partisans de Yassine c'est pour 2006 !

Je rappelle à nos chères confrères algériens, qu'aucun journalistes n'a prévu ce qui s'est passé en algerie à compter de 1992...c'est dire la clairvoyance !

Plus le maroc ou sa monarchie sont attaqués, moins ils sont menacés. Alors de grâce, continuez !

Les promesses commes les prévisions n'engagent que ceux qui les recoivent.

Le journal "Le Monde" avait prédit :
- Un duel Jospin/Chirac en 2002 : résultat : Le pen/Chirac
- une victoire du OUI au rérendum européen : le NON l'a emporté
- J.P Tuquoi, toujours dans "le Monde" prévoit que M6 sera le dernier Roi....A n'en pas douter Hassan 3 en rigolera encore dans 30 ans inchaallah.

abouali
13 décembre 2006 19:33
bonsoir

si les americains n'investissent pas dans un pays c'est un signe qui ne trompe pas,j'espere que le roi mettra en place au moins une monarchie constitutionnelle avec un gouvernement elu par le peuple avant la catastrophe.
Allo pizza
a
13 décembre 2006 19:42
jamais les americains n interviendront contre un pays ou le peuple est soudé avec sa direction.si ils sont intervenus en irak contre saddam c est qu ils savaient qu ils pouvaient compter sur les kurdes ou les shiites;

au maroc le peuple est soudé a la monarchie.alors tes previsions a la noix toi qui parle de florissante democvratie en irak c est encore dans tes reves.
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