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Hommes battus
b
28 novembre 2010 07:35
Quelques coups de fouet c'est pourtant bon pour la santé, ça fait circuler le sang et ça donne de la vigueur à l'homme.
A méditer.
f
28 novembre 2010 07:49
Quelques coups de fouet c'est pourtant bon pour la santé, ça fait circuler le sang et ça donne de la vigueur à l'homme.
A méditer.



Lorsque l'on visionne"Belle de jour" avec Deneuve,effectivement une des perversité masculine mise en scène est la flagellation
b
28 novembre 2010 07:52
Il faudra que j'essaie. Un fouet voilà un joli cadeau à me faire offrir pour mon anniversaire qui approche.
f
28 novembre 2010 08:00
Il faudra que j'essaie. Un fouet voilà un joli cadeau à me faire offrir pour mon anniversaire qui approche.


Tu peux essayer déjà avec un martinet....
D
28 novembre 2010 09:21
Citation
LeVraiPersonne a écrit:
Salam,

Je crois que la violence physique des femmes sur les hommes, c'est plutot un truc de pays arabes. J'ai lu des faits divers la dessus, apparemment ca arrive pas mal en Egypte.

C'est du a un dysfonctionnement de certaines sociétés arabes: une partie des hommes se marient a 40 ans avec une femme de 20 ans. Evidemment c'est rarement un mariage d'amour pour la femme. Du coup quand apres 20 ans de mariage l'homme commence a etre vieux et faible, la femme est encore jeune et forte, et elle se venge.

Je crois pas que ca reste rarissime dans les pays ou les gens se marient à des ages proches, soit presque tous les pays.

Salam,

Ne crois pas ça, il y a bcp plus de cas que tu ne penses en occident. Ca ne va pas toujours jusqu'aux coups mais des femmes agressives, autoritaires et jalouses peuvent faire vivre un calvaire psychologique à des hommes trop gentils et faibles. L'alcool aide souvent aussi mais moins que dans le cas de femmes battues par leurs hommes.
X
28 novembre 2010 09:29
Pour ce qui est de l'Egypte...Ça tient aussi au tempérament des égyptiennes. Ce sont des femmes qui ont le sang chaud. Elle n'hésitent jamais à chercher querelle aux hommes. Un ami qui étudie là-bas me l'a confirmé. Les égyptiennes ne sont pas comme les maghrébines. Et je les ai moi même vues à l'œuvre, s'embrouiller avec des policiers, refuser d'obéir, crier, vociférer. Alors qu'elles aient de temps en temps la caresse un peu légère avec leurs époux, ce n'est pas impossible.

Mais rien à voir avec ces mauviettes d'Hindous adorateurs de vaches.

Une femme qui bat son époux, je me demande si ce n'est pas bien fait pour lui. Au moins, il subit le châtiment dévolu à ceux qui renoncent à être des hommes.
D
28 novembre 2010 09:37
Attends Rasta, c'est quoi pour toi un homme ?
Il n'y a aucune excuse à frapper qui que ce soit, désolée.
X
28 novembre 2010 09:53
Un homme, c'est celui qui frappe en premier =)
Je plaisante.

Non, il n'y a aucune excuse à frapper les autres. Mais pour en arriver à se faire battre par son épouse...Il faut avoir négligé quelque chose. N'avoir pas su s'imposer.
D
28 novembre 2010 10:04
N'avoir pas su s'imposer, oui certainement, mais encore faut-il tomber sur quelqu'un de "normal". Comment s'imposer ou discuter avec une hystérique par exemple ?

Contrairement aux femmes qui restent avec un mari violent pour les enfants, la sécurité financière, parce-qu'elles ont peur des conséquences que pourraient avoir leur fuite, les hommes eux restent parce-qu'ils aiment quand même leur femme. Malgré tout ce qu'ils subissent d'elle, ils gardent à l'esprit celle qu'elle était quand ils l'ont connue et se disent qu'elle a un problème, que c'est temporaire, qu'elle pourrait changer encore, se calmer ou se soigner. Là c'est le couple qui a besoin d'aide en fait, mais comme l'homme a trop honte d'en parler...
a
28 novembre 2010 13:19
Pourquoi dès que quelqu'un subit de la violence (homme ou femme), on lui dit que c'est bien fait pour lui ou elle et on se moque???? Très bizarre comme phénomène, d'autant que j'ai remarqué que cette attitude venait principalement de personnes qui ont peur et qui préfèrent "pactiser" avec la personne violente et l'imiter que d'avoir à l'affronter...Tant que cette attitude existera, rien n'avancera et les personnes violentes continueront à régner sans problème. Une personne(homme ou femme) peut ne pas répliquer à la violence pour diverses raisons : un homme parce que c'est un bon musulman qui respecte trop la femme et ne peut se voir en mari violent ou parce qu'il aime cette domination (j'en connais) ou parce qu'il est trop affaibli par diverses choses etc...Les cas de figure se succèdent et ont tous des raisons différentes (comme pour les femmes battues). La moquerie ou la "collaboration" avec le violent n'est pas la solution. La seule chose à comprendre est celle-ci : une personne violente ne changera jamais, c'est son langage et la seule chose qu'elle comprenne est la violence. Alors si on décide de rester avec, soit on applique ce langage et c'est coups pour coups (et c'est sans fin, il faudra sans cesse lui montrer qu'on est le plus fort et l'écraser), soit on se soumet et on subit en lui laissant tous les droits, soit on arrive à le mettre à distance ds son coeur et ds sa tête en protégeant du mieux qu'on peut de cette personne violente nos êtres chers (c'est l'attitude qu'avaient fréquemment nos parents qui n'avaient pas le choix) mais ds ce cas on continue à subir sans cautionner, soit on part. Il n'y a pas 36 solutions. Le problème, c'est la personne violente, pas celui qui subit. Alors de grâce, arrêtons les moqueries et les fanfaronnades, éduquons nos enfants (garçons et filles) à ne pas accepter et tolérer toute forme de violence et ces personnes mourront d'elles-mm, ne trouvant plus de victimes.
D
28 novembre 2010 23:18
c'est triste
S
28 novembre 2010 23:56
As-salam alaykoum,

C'est vrai que l'on entend pas assez parler des hommes battus, c'est bien dommage...
Que ce soit un homme ou une femme c'est les mêmes conséquences psychologiques, il n'y a pas de différence je trouve. Il y a humiliation, rabaissement,... et j'en passe.

Les personnes victimes de violences conjugales sont avant tout AMOUREUSES, elles sont aveuglées par ce sentiment là, elles pensent que c'est temporaire.

Personnellement, je ne fais pas différence entre un homme battu et une femme battue, ils ont les mêmes conséquences psychologiques.

Il faut dire cependant que lorsqu'un homme se fait battre par sa propre femme, son égo est tout de suite touché, les hommes sont fiers de nature donc je pense que les dégâts peuvent être plus lourds...quoique les femmes sont très sensibles... sad smiley

C'est un sujet qui est assez compliqué dans le sens où lorsque l'on a pas vécu cette situation on ne peut pas savoir..

Sur ce, qu'ALLAH swt aide à s'en sortir ces personnes.

winking smiley



Citation
Rastapopûlos a écrit:
Chaque jour, des hommes sont battus par des femmes, humiliés, rabaissés. Il y a eu en 2006 168 décès liés à des violences conjugales : 137 femmes et 31 hommes.

Le tabou et la honte font que les hommes en parlent moins souvent. Il est donc difficile de recueillir des statistiques précises.
Nous voyons déjà le l'agent de police, ricaner, se gausser, au moment ou un homme vient faire sa déposition, raconter comme sa femme l'a battu.

Il y a une autre forme de violence dont on parle très peu : la violence psychologique. Des études montrent que les hommes en sont plus victimes que les femmes. Lorsque certaines femmes souhaitent obtenir le divorce, elles n'hésitent pas à accuser leur conjoint de violence ou d'attouchement sur les enfants.

Scènes de violence collective prenant pour cible des hommes : [www.youtube.com]

Humiliations, rabaissement...

Que faire? Organiser un e journée de la barbe? Ça ne pousse pas en une journée.
L
29 novembre 2010 00:35
Citation
Samwi a écrit:
As-salam alaykoum,

C'est vrai que l'on entend pas assez parler des hommes battus, c'est bien dommage...
Que ce soit un homme ou une femme c'est les mêmes conséquences psychologiques, il n'y a pas de différence je trouve. Il y a humiliation, rabaissement,... et j'en passe.

Les personnes victimes de violences conjugales sont avant tout AMOUREUSES, elles sont aveuglées par ce sentiment là, elles pensent que c'est temporaire.

Personnellement, je ne fais pas différence entre un homme battu et une femme battue, ils ont les mêmes conséquences psychologiques.

Il faut dire cependant que lorsqu'un homme se fait battre par sa propre femme, son égo est tout de suite touché, les hommes sont fiers de nature donc je pense que les dégâts peuvent être plus lourds...quoique les femmes sont très sensibles... sad smiley

C'est un sujet qui est assez compliqué dans le sens où lorsque l'on a pas vécu cette situation on ne peut pas savoir..

Sur ce, qu'ALLAH swt aide à s'en sortir ces personnes.

winking smiley

La différence entre une femme battue et un homme "battu", c'est qu'un homme quand il le souhaitera pourra mettre facilement fin à cet état de fait vu qu'il est plus fort (enfin sauf si il s'est marié vieux à une femme jeune).
b
29 novembre 2010 08:10
Une femme a tout avantage à battre son mari car celui-ci lui rendra alors de bien meilleurs services.
S
29 novembre 2010 13:13
Citation
LeVraiPersonne a écrit:
Citation
Samwi a écrit:
As-salam alaykoum,

C'est vrai que l'on entend pas assez parler des hommes battus, c'est bien dommage...
Que ce soit un homme ou une femme c'est les mêmes conséquences psychologiques, il n'y a pas de différence je trouve. Il y a humiliation, rabaissement,... et j'en passe.

Les personnes victimes de violences conjugales sont avant tout AMOUREUSES, elles sont aveuglées par ce sentiment là, elles pensent que c'est temporaire.

Personnellement, je ne fais pas différence entre un homme battu et une femme battue, ils ont les mêmes conséquences psychologiques.

Il faut dire cependant que lorsqu'un homme se fait battre par sa propre femme, son égo est tout de suite touché, les hommes sont fiers de nature donc je pense que les dégâts peuvent être plus lourds...quoique les femmes sont très sensibles... sad smiley

C'est un sujet qui est assez compliqué dans le sens où lorsque l'on a pas vécu cette situation on ne peut pas savoir..

Sur ce, qu'ALLAH swt aide à s'en sortir ces personnes.

winking smiley

La différence entre une femme battue et un homme "battu", c'est qu'un homme quand il le souhaitera pourra mettre facilement fin à cet état de fait vu qu'il est plus fort (enfin sauf si il s'est marié vieux à une femme jeune).

C'est vrai, je n'y avais pas penser...
Cependant, tous les hommes ne sont pas plus forts que leurs femmes. Petit exemple: Un homme tout menu et sa femme assez ronde, forcément, le coup de cette femme ne sera pas le même que celui de son époux...Heu
E
30 novembre 2010 09:56
Les raisons pourquoi certains hommes sont battus par leur femmes et quelques instructions valables a celles qui veulent savoir qu'els fouets sont les plus preferables aux battus et les batteuses .

Hygiène et physiologie du mariage
Histoire naturelle et médicale de l’homme et de la femme mariés,
De la flagellation comme moyen aphrodisiaque.
La flagellation, du mot latin flagellum, fouet, verge, consiste à frapper certaines parties du corps, soit avec des verges, soit avec un fouet à bouts de corde ou à lanière de cuir. Dans l’anaphrodisie et l’impuissance, la flagellation s’applique sur le dos, les jambes, les fesses et les cuisses, afin de déterminer l’afflux du sang à la peau et dans les muscles sous-cutanés ; la violente stimulation dont les parties flagellées deviennent le siège, gagne rapidement le système génital, au moyen de la communication qui existe entre les rameaux nerveux de la moelle épinière et ceux de ce système. Les Grecs et les Romains, qui connaissaient les propriétés de la flagellation, en usaient largement pendant les saturnales, où les deux sexes se fouettaient mutuellement pour mieux accomplir le doux mystère.

Hippocrate et Asclépiade préconisaient la flagellation contre beaucoup de maladies. Musa, médecin du siècle d’Auguste, et Galien faisaient marcher la flagellation avec le bain froid, pour guérir l’impuissance par suite de faiblesse ou d’inertie. – Le poète Pétrone, à qui nous emprunterons tout à l’heure un passage, vantait la flagellation, et surtout l’urtication, comme un excellent procédé employé, par les débauchés de Rome, pour ranimer leurs forces amoureuses éteintes au milieu des orgies. – Arétée, Cælius Aurélianus, Rhazès et plusieurs autres grands praticiens citent dans leurs ouvrages des cures prodigieuses opérées par la flagellation. – Campanella rapporte l’exemple d’un prince qui ne pouvait s’acquitter du devoir conjugal envers sa femme qu’après s’être fait rudement fustiger ; un valet habile et vigoureux était chargé de cet important service. – Cælius Rhodigenus nous a raconté l’histoire d’un grand seigneur qui se servait du même procédé afin de pouvoir suffire aux exigences de son épouse. Il se faisait fouetter jusqu’au sang avant l’action, et si, quelquefois, par respect ou par pitié, le valet armé du fouet modérait les coups, le seigneur entrait en fureur, et ordonnait qu’on redoublât la fustigation jusqu’à ce qu’elle lui arrachât des cris de douleur ; alors seulement la partie génitale entrait en érection et pouvait satisfaire les désirs de sa femme et les siens. – Meïbomius, célèbre anatomiste, composa un poème sur la flagellation, dans lequel il engage fortement les impuissants à se faire fouetter s’ils veulent recouvrer leurs facultés viriles.

En résumé, la flagellation a été vantée par un grand nombre de médecins anciens et modernes, comme très efficace, non seulement dans l’atonie des organes génitaux, mais encore dans plusieurs affection de la peau et du tissu cellulaire sous-cutané ; ils prétendent même qu’elle est un puissant remède contre la maigreur, et l’ordonnent aux personnes maigres qui veulent acquérir de l’embonpoint.

Pour compléter l’histoire de la flagellation ; nous dirons un mot sur les processions des flagellants qui couraient les rues, il y a quelques siècles, en se frappant à coups de fouet. On ne saurait trop déterminer le but de ces pratiques empruntées aux lupercales de la Rome ancienne ; quelques rares apologistes affirment que c’était dans un but de piété ; mais les philosophes ont clairement démontré que, nées de l’ignorance et du fanatisme de ces époques, les processions des flagellants furent un sujet de désordres et de scandales. En effet, la flagellation étant reconnue comme un excitant génital des plus énergiques, n’était-il pas déraisonnable de laisser adopter cette coutume à des sectes religieuses qui faisaient vœu de chasteté ?

Ce fut en 1200 que la flagellation s’introduisit dans le culte catholique, et voici comment : un certain Rainier, touché des maux que répandaient sur l’Italie les factions des Guelfes et des Gibelins, et y voyant une punition de Dieu, crut qu’il pourrait désarmer la colère divine en se fouettant. La colère divine ?... n’est-ce point blasphème ou folie que de prêter à Dieu nos petites passions ? Aujourd’hui un homme de cet acabit serait enfermé aux petites-maisons ; le treizième siècle en fit un saint. Encouragés par l’exemple de Rainier, une foule de fanatiques se fouettèrent jusqu’au sang, et il n’y eut bientôt plus assez de verges pour fournir à la multitude des fouetteurs et des fouettés. C’est à dater de ce moment que s’organisèrent les sectes de flagellants qui couraient les rues en s’administrant la punition réservée aux écoliers récalcitrants. L’homme qui se distingua le plus dans cette bizarre pratique fut, sans contredit, saint Dominique, dit l’encuirassé. Ce bienheureux se fouettait non seulement pour son compte, mais encore pour celui des autres. Jacques Boileau, auteur d’un ouvrage sur les flagellants, imprimé en 1700, calcule ainsi le nombre de coups de fouet que s’administrait journellement Dominique l’encuirassé : on croyait alors que cent ans de pénitence pouvaient se racheter par vingt psautiers accompagnés de coups de fouet. Trois mille coups valaient un an de pénitence ; les vingt psautiers faisaient trois cent mille coups, à raison de mille coups par dizaine de psaumes. Dominique accomplissait cette pénitence de cent ans en six jours, et rachetait ainsi les péchés du peuple. On dit que cette flagellation continuelle rendit la peau du saint aussi noire que celle d’un nègre. – Le père J. Boileau, tout en admirant la constance du saint, et le mépris de la douleur qu’affichaient les flagellants, avoue cependant que la flagellation contribua pour beaucoup au relâchement des mœurs. Il paraîtrait, d’après les chroniques assez plaisantes de ces temps, que l’Église proclama la flagellation comme chose pieuse et acte de pénitence ; les faits suivants prouveraient aussi qu’elle s’en servit comme du moyen le plus expéditif pour purifier les pécheurs.

Un père cordelier donna le fouet en plein midi à un docteur en théologie qui avait eu l’impertinence d’émettre, en chaire, une opinion opposée aux croyances reçues ; et les femmes présentes à cette fustigation criaient : « Père cordelier, ajoutez quatre coups de fouet pour chacune de nous. »

Un dévot qui avait accompagné sa femme à confesse, voyant que le confesseur la menait derrière le confessionnal pour la flageller, s’écria : « Mon père, elle est très délicate, la pécheresse ; je recevrai la discipline à sa place, si vous voulez bien le permettre. » Aussitôt le bonhomme se mit à genoux, et le confesseur fit son office. Pendant qu’on fouettait son mari, la femme criait : « Frappez fort, mon père, frappez longtemps, car je suis une grande pécheresse. »

Plusieurs princes et hauts personnages s’étant plaint des scandales auxquels donnaient lieu les sectes de flagellants et les flagellations particulières, le pape Clément VI défendit expressément les flagellations publiques. Il faut croire que ceux qui avaient goûté du fouet ne pouvaient plus s’en passer, puisque, malgré les défenses souvent renouvelées, la flagellation secrète continua toujours. Ce ne fut que bien longtemps après, que les censures des prélats et les ordonnances de police très sévères abolirent enfin cette dangereuse et criminelle manie.

Aujourd’hui la flagellation n’existe plus que comme moyen hygiénique et thérapeutique : elle est en usage chez différents peuples, les Chinois, les Perses, et particulièrement chez les Russes. Ces derniers se font fouetter dans le bain avec des verges de bouleau, afin de se procurer une réaction salutaire. Les individus qui ont la peau endurcie par l’abus du fouet font tremper des verges dans du vinaigre, et, sous le piquant de cet acide, retrouvent leur sensibilité émoussée. On dit même qu’en Moscovite, une fois la première jeunesse passée, hommes et femmes ont besoin du fouet poux s’exciter à l’amour. Le fouet devient alors un ustensile de ménage, duquel il serait difficile de se passer. Voici une anecdote qu’on cite à ce sujet :

Un Allemand s’étant fixé à Moscou, s’y maria. Passionnément épris de sa femme, il n’épargna rien pour s’en faire aimer ; mais tous ses efforts furent inutiles ; toujours indifférente aux caresses de son mari, elle n’y répondait que par des soupirs et des larmes.

L’Allemand lui demanda un jour la cause de sa froideur, de sa tristesse, et la pria si instamment qu’elle lui répondit en sanglotant : – « Pourquoi feindre de m’aimer ? Crois-tu me cacher que je suis vile à tes yeux ?... » – Étonné de ce langage, le mari la pressa de lui dire en quoi il avait pu l’offenser. – Celle-ci, redoublant ses pleurs, ajouta : – « Puisque tu feins de l’ignorer, où sont donc les verges avec lesquelles tu dois me prouver ta tendresse et me la faire partager ; ne sais-tu pas que c’est, chez nous, l’unique moyen que doivent employer les hommes qui aiment véritablement leurs femmes ? »

Le bon Allemand resta stupéfait de cette singulière confidence, et eut beaucoup de peine à s’empêcher de rire. Cependant sa femme persistant à lui parler très sérieusement, il commença à croire que ce remède était nécessaire. Peu de jours après, il saisit un prétexte que lui fournit la mauvaise humeur de sa femme, et, s’armant d’une poignée de verges, il lui administra la fustigation qu’elle demandait. Le remède opéra merveilleusement, et, de ce jour, la femme partagea l’amour et les plaisirs de son époux.

On trouve dans Pline que Gallus, ami de Virgile, avait pour maîtresse une jeune Romaine tantôt indifférente et tantôt voluptueuse. Il se trouvait des jours où elle restait complètement insensible aux caresses amoureuses, tandis qu’en certains autres jours elle se montrait passionnée, délirante sous les baisers de son amant. Gallus, cherchant la cause de ce phénomène, découvrit que sa maîtresse n’était amoureuse que les jours où son père la faisait fouetter pour la punir de ses escapades. Gallus profita de cette découverte, et lorsque sa maîtresse arrivait chez lui froide, indifférente, il la stimulait par une vigoureuse distribution de coups de verges, et la rendait folle d’amour, ivre de plaisir.

J.-J. Rousseau avoue, dans ses Confessions, qu’étant fouetté par une demoiselle plus âgée que lui, le fouet l’excitait si violemment, qu’un jour celle-ci s’aperçut qu’il devenait homme, et s’abstint désormais de le fouetter.

La flagellation n’agit pas seulement sur celui qui la reçoit ; elle parait être encore un excitant pour celui qui la donne et la voit donner. Brantôme, dans la cynique simplicité de son style, nous apprend qu’il a « ouï parler d’une grande princesse qui, pour exciter sa lasciveté naturelle, faisait dépouiller ses femmes et filles les plus belles, ainsi que ses jolis pages, et se délectait fort à les voir tout nus ; puis elle les frappait ou les faisait frapper sur les fesses avec de grandes “claquades” et “blamuses” assez rudes ; et les filles qui avaient “délinqué” en quelque chose, avec de bonnes verges ; alors son contentement était de les voir remuer et faire des “tordions” de leurs corps et fesses, lesquelles, selon les coups qu’elles recevaient, montraient de bien étranges et de bien plaisants aspects. » – De nos jours, il est plus d’un riche vieillard et d’un libertin usé qui, dans le silence du secret, se servent de moyens semblables pour imprimer à leur nature baissante une stimulation passagère.



Manière de pratiquer la flagellation



Le meilleur instrument pour flageller avec fruit est celui dont se servent les Russes : les verges de bouleau. Le fouet à bouts le corde ou à lanières de cuir cingle trop lourdement, et son action, au lieu de produire une excitation passagère, peut causer des bleus, des meurtrissures profondes, et même déchirer la peau. – Les parties sur lesquelles doit s’opérer la flagellation sont les reins, les lombes et les fesses. Ces parties doivent être frappées à petits coups d’abord, puis on augmente graduellement de force, et on arrive enfin à frapper aussi violemment que le flagellé le désire. Nous avons dit que l’excitation produite sur les nerfs cutanés et sur ceux de la moelle épinière se communiquait rapidement aux nerfs des organes génitaux, et que ceux-ci, entrant en action, permettaient à l’homme de consommer l’acte conjugal et d’espérer une progéniture.

Cette excitation est d’autant plus complète que la flagellation est mieux pratiquée. – On conseille aux impuissants d’user de la flagellation au sortir du bain, parce que la peau est plus souple et plus sensible ; on leur conseille aussi de la faire pratiquer par une femme, afin d’obtenir en même temps une stimulation physique et morale.
l
30 novembre 2010 15:57
Les hommes battus c'est pas pareil, c'est bien m^me.
s
30 novembre 2010 16:46
Citation
Rastapopûlos a écrit:
Chaque jour, des hommes sont battus par des femmes, humiliés, rabaissés. Il y a eu en 2006 168 décès liés à des violences conjugales : 137 femmes et 31 hommes.

Salam

Je sais plus où j'ai lu/entendu que parmi les hommes morts sous les coups de leur femme, il s'agissait pour un certain nombre (j'ai pas de chiffres) d'une défense ou d'une vengeance : la femme tue son mari parce qu'il la bat. Un jour elle dégaine un couteau et boum, c'est fini.
D
30 novembre 2010 17:42
S'il y avait un concour de celui qui écrit la plus grande réponse sa sera toi Ohgrinning smiley



Citation
El Gitano a écrit:
Les raisons pourquoi certains hommes sont battus par leur femmes et quelques instructions valables a celles qui veulent savoir qu'els fouets sont les plus preferables aux battus et les batteuses .

Hygiène et physiologie du mariage
Histoire naturelle et médicale de l’homme et de la femme mariés,
De la flagellation comme moyen aphrodisiaque.
La flagellation, du mot latin flagellum, fouet, verge, consiste à frapper certaines parties du corps, soit avec des verges, soit avec un fouet à bouts de corde ou à lanière de cuir. Dans l’anaphrodisie et l’impuissance, la flagellation s’applique sur le dos, les jambes, les fesses et les cuisses, afin de déterminer l’afflux du sang à la peau et dans les muscles sous-cutanés ; la violente stimulation dont les parties flagellées deviennent le siège, gagne rapidement le système génital, au moyen de la communication qui existe entre les rameaux nerveux de la moelle épinière et ceux de ce système. Les Grecs et les Romains, qui connaissaient les propriétés de la flagellation, en usaient largement pendant les saturnales, où les deux sexes se fouettaient mutuellement pour mieux accomplir le doux mystère.

Hippocrate et Asclépiade préconisaient la flagellation contre beaucoup de maladies. Musa, médecin du siècle d’Auguste, et Galien faisaient marcher la flagellation avec le bain froid, pour guérir l’impuissance par suite de faiblesse ou d’inertie. – Le poète Pétrone, à qui nous emprunterons tout à l’heure un passage, vantait la flagellation, et surtout l’urtication, comme un excellent procédé employé, par les débauchés de Rome, pour ranimer leurs forces amoureuses éteintes au milieu des orgies. – Arétée, Cælius Aurélianus, Rhazès et plusieurs autres grands praticiens citent dans leurs ouvrages des cures prodigieuses opérées par la flagellation. – Campanella rapporte l’exemple d’un prince qui ne pouvait s’acquitter du devoir conjugal envers sa femme qu’après s’être fait rudement fustiger ; un valet habile et vigoureux était chargé de cet important service. – Cælius Rhodigenus nous a raconté l’histoire d’un grand seigneur qui se servait du même procédé afin de pouvoir suffire aux exigences de son épouse. Il se faisait fouetter jusqu’au sang avant l’action, et si, quelquefois, par respect ou par pitié, le valet armé du fouet modérait les coups, le seigneur entrait en fureur, et ordonnait qu’on redoublât la fustigation jusqu’à ce qu’elle lui arrachât des cris de douleur ; alors seulement la partie génitale entrait en érection et pouvait satisfaire les désirs de sa femme et les siens. – Meïbomius, célèbre anatomiste, composa un poème sur la flagellation, dans lequel il engage fortement les impuissants à se faire fouetter s’ils veulent recouvrer leurs facultés viriles.

En résumé, la flagellation a été vantée par un grand nombre de médecins anciens et modernes, comme très efficace, non seulement dans l’atonie des organes génitaux, mais encore dans plusieurs affection de la peau et du tissu cellulaire sous-cutané ; ils prétendent même qu’elle est un puissant remède contre la maigreur, et l’ordonnent aux personnes maigres qui veulent acquérir de l’embonpoint.

Pour compléter l’histoire de la flagellation ; nous dirons un mot sur les processions des flagellants qui couraient les rues, il y a quelques siècles, en se frappant à coups de fouet. On ne saurait trop déterminer le but de ces pratiques empruntées aux lupercales de la Rome ancienne ; quelques rares apologistes affirment que c’était dans un but de piété ; mais les philosophes ont clairement démontré que, nées de l’ignorance et du fanatisme de ces époques, les processions des flagellants furent un sujet de désordres et de scandales. En effet, la flagellation étant reconnue comme un excitant génital des plus énergiques, n’était-il pas déraisonnable de laisser adopter cette coutume à des sectes religieuses qui faisaient vœu de chasteté ?

Ce fut en 1200 que la flagellation s’introduisit dans le culte catholique, et voici comment : un certain Rainier, touché des maux que répandaient sur l’Italie les factions des Guelfes et des Gibelins, et y voyant une punition de Dieu, crut qu’il pourrait désarmer la colère divine en se fouettant. La colère divine ?... n’est-ce point blasphème ou folie que de prêter à Dieu nos petites passions ? Aujourd’hui un homme de cet acabit serait enfermé aux petites-maisons ; le treizième siècle en fit un saint. Encouragés par l’exemple de Rainier, une foule de fanatiques se fouettèrent jusqu’au sang, et il n’y eut bientôt plus assez de verges pour fournir à la multitude des fouetteurs et des fouettés. C’est à dater de ce moment que s’organisèrent les sectes de flagellants qui couraient les rues en s’administrant la punition réservée aux écoliers récalcitrants. L’homme qui se distingua le plus dans cette bizarre pratique fut, sans contredit, saint Dominique, dit l’encuirassé. Ce bienheureux se fouettait non seulement pour son compte, mais encore pour celui des autres. Jacques Boileau, auteur d’un ouvrage sur les flagellants, imprimé en 1700, calcule ainsi le nombre de coups de fouet que s’administrait journellement Dominique l’encuirassé : on croyait alors que cent ans de pénitence pouvaient se racheter par vingt psautiers accompagnés de coups de fouet. Trois mille coups valaient un an de pénitence ; les vingt psautiers faisaient trois cent mille coups, à raison de mille coups par dizaine de psaumes. Dominique accomplissait cette pénitence de cent ans en six jours, et rachetait ainsi les péchés du peuple. On dit que cette flagellation continuelle rendit la peau du saint aussi noire que celle d’un nègre. – Le père J. Boileau, tout en admirant la constance du saint, et le mépris de la douleur qu’affichaient les flagellants, avoue cependant que la flagellation contribua pour beaucoup au relâchement des mœurs. Il paraîtrait, d’après les chroniques assez plaisantes de ces temps, que l’Église proclama la flagellation comme chose pieuse et acte de pénitence ; les faits suivants prouveraient aussi qu’elle s’en servit comme du moyen le plus expéditif pour purifier les pécheurs.

Un père cordelier donna le fouet en plein midi à un docteur en théologie qui avait eu l’impertinence d’émettre, en chaire, une opinion opposée aux croyances reçues ; et les femmes présentes à cette fustigation criaient : « Père cordelier, ajoutez quatre coups de fouet pour chacune de nous. »

Un dévot qui avait accompagné sa femme à confesse, voyant que le confesseur la menait derrière le confessionnal pour la flageller, s’écria : « Mon père, elle est très délicate, la pécheresse ; je recevrai la discipline à sa place, si vous voulez bien le permettre. » Aussitôt le bonhomme se mit à genoux, et le confesseur fit son office. Pendant qu’on fouettait son mari, la femme criait : « Frappez fort, mon père, frappez longtemps, car je suis une grande pécheresse. »

Plusieurs princes et hauts personnages s’étant plaint des scandales auxquels donnaient lieu les sectes de flagellants et les flagellations particulières, le pape Clément VI défendit expressément les flagellations publiques. Il faut croire que ceux qui avaient goûté du fouet ne pouvaient plus s’en passer, puisque, malgré les défenses souvent renouvelées, la flagellation secrète continua toujours. Ce ne fut que bien longtemps après, que les censures des prélats et les ordonnances de police très sévères abolirent enfin cette dangereuse et criminelle manie.

Aujourd’hui la flagellation n’existe plus que comme moyen hygiénique et thérapeutique : elle est en usage chez différents peuples, les Chinois, les Perses, et particulièrement chez les Russes. Ces derniers se font fouetter dans le bain avec des verges de bouleau, afin de se procurer une réaction salutaire. Les individus qui ont la peau endurcie par l’abus du fouet font tremper des verges dans du vinaigre, et, sous le piquant de cet acide, retrouvent leur sensibilité émoussée. On dit même qu’en Moscovite, une fois la première jeunesse passée, hommes et femmes ont besoin du fouet poux s’exciter à l’amour. Le fouet devient alors un ustensile de ménage, duquel il serait difficile de se passer. Voici une anecdote qu’on cite à ce sujet :

Un Allemand s’étant fixé à Moscou, s’y maria. Passionnément épris de sa femme, il n’épargna rien pour s’en faire aimer ; mais tous ses efforts furent inutiles ; toujours indifférente aux caresses de son mari, elle n’y répondait que par des soupirs et des larmes.

L’Allemand lui demanda un jour la cause de sa froideur, de sa tristesse, et la pria si instamment qu’elle lui répondit en sanglotant : – « Pourquoi feindre de m’aimer ? Crois-tu me cacher que je suis vile à tes yeux ?... » – Étonné de ce langage, le mari la pressa de lui dire en quoi il avait pu l’offenser. – Celle-ci, redoublant ses pleurs, ajouta : – « Puisque tu feins de l’ignorer, où sont donc les verges avec lesquelles tu dois me prouver ta tendresse et me la faire partager ; ne sais-tu pas que c’est, chez nous, l’unique moyen que doivent employer les hommes qui aiment véritablement leurs femmes ? »

Le bon Allemand resta stupéfait de cette singulière confidence, et eut beaucoup de peine à s’empêcher de rire. Cependant sa femme persistant à lui parler très sérieusement, il commença à croire que ce remède était nécessaire. Peu de jours après, il saisit un prétexte que lui fournit la mauvaise humeur de sa femme, et, s’armant d’une poignée de verges, il lui administra la fustigation qu’elle demandait. Le remède opéra merveilleusement, et, de ce jour, la femme partagea l’amour et les plaisirs de son époux.

On trouve dans Pline que Gallus, ami de Virgile, avait pour maîtresse une jeune Romaine tantôt indifférente et tantôt voluptueuse. Il se trouvait des jours où elle restait complètement insensible aux caresses amoureuses, tandis qu’en certains autres jours elle se montrait passionnée, délirante sous les baisers de son amant. Gallus, cherchant la cause de ce phénomène, découvrit que sa maîtresse n’était amoureuse que les jours où son père la faisait fouetter pour la punir de ses escapades. Gallus profita de cette découverte, et lorsque sa maîtresse arrivait chez lui froide, indifférente, il la stimulait par une vigoureuse distribution de coups de verges, et la rendait folle d’amour, ivre de plaisir.

J.-J. Rousseau avoue, dans ses Confessions, qu’étant fouetté par une demoiselle plus âgée que lui, le fouet l’excitait si violemment, qu’un jour celle-ci s’aperçut qu’il devenait homme, et s’abstint désormais de le fouetter.

La flagellation n’agit pas seulement sur celui qui la reçoit ; elle parait être encore un excitant pour celui qui la donne et la voit donner. Brantôme, dans la cynique simplicité de son style, nous apprend qu’il a « ouï parler d’une grande princesse qui, pour exciter sa lasciveté naturelle, faisait dépouiller ses femmes et filles les plus belles, ainsi que ses jolis pages, et se délectait fort à les voir tout nus ; puis elle les frappait ou les faisait frapper sur les fesses avec de grandes “claquades” et “blamuses” assez rudes ; et les filles qui avaient “délinqué” en quelque chose, avec de bonnes verges ; alors son contentement était de les voir remuer et faire des “tordions” de leurs corps et fesses, lesquelles, selon les coups qu’elles recevaient, montraient de bien étranges et de bien plaisants aspects. » – De nos jours, il est plus d’un riche vieillard et d’un libertin usé qui, dans le silence du secret, se servent de moyens semblables pour imprimer à leur nature baissante une stimulation passagère.



Manière de pratiquer la flagellation



Le meilleur instrument pour flageller avec fruit est celui dont se servent les Russes : les verges de bouleau. Le fouet à bouts le corde ou à lanières de cuir cingle trop lourdement, et son action, au lieu de produire une excitation passagère, peut causer des bleus, des meurtrissures profondes, et même déchirer la peau. – Les parties sur lesquelles doit s’opérer la flagellation sont les reins, les lombes et les fesses. Ces parties doivent être frappées à petits coups d’abord, puis on augmente graduellement de force, et on arrive enfin à frapper aussi violemment que le flagellé le désire. Nous avons dit que l’excitation produite sur les nerfs cutanés et sur ceux de la moelle épinière se communiquait rapidement aux nerfs des organes génitaux, et que ceux-ci, entrant en action, permettaient à l’homme de consommer l’acte conjugal et d’espérer une progéniture.

Cette excitation est d’autant plus complète que la flagellation est mieux pratiquée. – On conseille aux impuissants d’user de la flagellation au sortir du bain, parce que la peau est plus souple et plus sensible ; on leur conseille aussi de la faire pratiquer par une femme, afin d’obtenir en même temps une stimulation physique et morale.
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30 novembre 2010 18:26
Emission spécial MRE
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