Citation
Vittoria a écrit:
Selem alykoum
Accro à la lecture des faits divers, voici quelques cas de femmes qui sont restées (jusqu'à ce que la mort les séparent ?) avec un conjoint violent.
1 Les défenestrations :
[www.lanouvellerepublique.fr]
[www.leparisien.fr]
[www.francetvinfo.fr]
[www.marieclaire.fr]
2 Les coups de couteau
[www.midilibre.fr]
[www.femmeactuelle.fr]
[www.nicematin.com]
3 Le feu
[actu.fr] uer_57277283.html
[www.lavoixdunord.fr]
4 Les massacres ?
[www.ohmymag.com]
L'affaire Salomé qui m'a énormément choquée il y à quelques années.
Elle savait qu'elle était avec un gros c****ard mais elle est restée.
Il l'a massacrée en lui sautant à pieds joints que la tête ?.
[www.20minutes.fr]
Pour conclure voici les portraits de 5 victimes...
[www.ouest-france.fr]
Je vous ais épargné les histoires beaucoup plus glauques et remplies de détails sordides dans les presse du Maghreb....
Alors les mesdames battues qui passent ici, à quelle sauce vous voulez être mangé ?
Citation
Mirabelle° a écrit:
Je n'ai pas lu car une époque je faisais comme toi mais plus maintenant car il y a beau y avoir pleins de rappels que la situation pour ces pauvres femmes ne changera pas.
Laisse moi te raconter une histoire véridique.
J'avais une collègue de travail très sympa, tout le monde l'apprécier par sa gentillesse. Quand après ses congés elle revenait avec des hématomes sur les bras et jambes, on a vite compris, malgré ses excuses bidons qu'elle s'est cognée contre le chambranle de porte, tombé accidentellement des escaliers, qu'elle se faisait battre. Elle avait deux jeunes enfants scolarisés. Elle avait une autre collègue qui était sa meilleure amie et qui a tout tenté pour la sortir de cet enfer. Mais à chaque fois c'était du genre
- Mais non, il est gentil avec moi et il s'occupe bien des enfants quand je suis pas là
- On a une maison ensemble maintenant
- Il est pas toujours comme ça avec moi, c'est juste quand je le contrarie
- Il faudrait que j'apprenne à fermer ma grande gueule
Voilà les réponses qu'elle obtenait
Un jour , elle avait libre le mercredi et le jeudi et devait revenir le vendredi commencer sa semaine.
Personne. On a appelé sur son portable pas de réponses.
On c'était toutes dit qu'elle a pris quelques jours de repos et reviendra lundi, on s'en est pas plus inquiété.
Le lundi toujours pas de collègue en vue et toujours pas de réponses à nos coups de fils.
C'est l'après midi qu'on a appris l'horreur par une voisine à elle qui est venu à l'hosto pour nous prévenir.
Le jeudi matin, alors qu'elle était en repos, après avoir emmené ses enfants à l'école une grosse dispute à éclaté entre son mari et elle, elle c'est réfugié dans la chambre et c'est là que les enfants l'on retrouvés poignardé avec 18 coups de couteaux , un vrai acharnement d'après les journaux. Ses enfants en rentrant on vu leurs père recroquevillé dans un coin au salon et leurs mère qui baignait dans son sang.
Elle avait 37 ou 38 ans.
Jamais je n'oublierai.
c'était il y a 4 ou 5 ans de là et son amie encore aujourd'hui s'en veut de ne pas avoir pu la sauver.
Tout ça pour te dire, a part enlever la femme en danger dans son propre foyer et la planquer, on ne peut rien faire si elle refuse l'aide apportée.
Citation
Mirabelle° a écrit:
Je n'ai pas lu car une époque je faisais comme toi mais plus maintenant car il y a beau y avoir pleins de rappels que la situation pour ces pauvres femmes ne changera pas.
Laisse moi te raconter une histoire véridique.
J'avais une collègue de travail très sympa, tout le monde l'apprécier par sa gentillesse. Quand après ses congés elle revenait avec des hématomes sur les bras et jambes, on a vite compris, malgré ses excuses bidons qu'elle s'est cognée contre le chambranle de porte, tombé accidentellement des escaliers, qu'elle se faisait battre. Elle avait deux jeunes enfants scolarisés. Elle avait une autre collègue qui était sa meilleure amie et qui a tout tenté pour la sortir de cet enfer. Mais à chaque fois c'était du genre
- Mais non, il est gentil avec moi et il s'occupe bien des enfants quand je suis pas là
- On a une maison ensemble maintenant
- Il est pas toujours comme ça avec moi, c'est juste quand je le contrarie
- Il faudrait que j'apprenne à fermer ma grande gueule
Voilà les réponses qu'elle obtenait
Un jour , elle avait libre le mercredi et le jeudi et devait revenir le vendredi commencer sa semaine.
Personne. On a appelé sur son portable pas de réponses.
On c'était toutes dit qu'elle a pris quelques jours de repos et reviendra lundi, on s'en est pas plus inquiété.
Le lundi toujours pas de collègue en vue et toujours pas de réponses à nos coups de fils.
C'est l'après midi qu'on a appris l'horreur par une voisine à elle qui est venu à l'hosto pour nous prévenir.
Le jeudi matin, alors qu'elle était en repos, après avoir emmené ses enfants à l'école une grosse dispute à éclaté entre son mari et elle, elle c'est réfugié dans la chambre et c'est là que les enfants l'on retrouvés poignardé avec 18 coups de couteaux , un vrai acharnement d'après les journaux. Ses enfants en rentrant on vu leurs père recroquevillé dans un coin au salon et leurs mère qui baignait dans son sang.
Elle avait 37 ou 38 ans.
Jamais je n'oublierai.
c'était il y a 4 ou 5 ans de là et son amie encore aujourd'hui s'en veut de ne pas avoir pu la sauver.
Tout ça pour te dire, a part enlever la femme en danger dans son propre foyer et la planquer, on ne peut rien faire si elle refuse l'aide apportée.
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Bigoudi* a écrit:
Salam
J'en ai connu une qui a été tuée par son " conjoint" ?
Il l'avait coupée de toutes ses connaissances, on n'avait plus de nouvelles depuis des mois, jusqu'à ce que...
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Mirabelle° a écrit:
Je n'ai pas lu car une époque je faisais comme toi mais plus maintenant car il y a beau y avoir pleins de rappels que la situation pour ces pauvres femmes ne changera pas.
Laisse moi te raconter une histoire véridique.
J'avais une collègue de travail très sympa, tout le monde l'apprécier par sa gentillesse. Quand après ses congés elle revenait avec des hématomes sur les bras et jambes, on a vite compris, malgré ses excuses bidons qu'elle s'est cognée contre le chambranle de porte, tombé accidentellement des escaliers, qu'elle se faisait battre. Elle avait deux jeunes enfants scolarisés. Elle avait une autre collègue qui était sa meilleure amie et qui a tout tenté pour la sortir de cet enfer. Mais à chaque fois c'était du genre
- Mais non, il est gentil avec moi et il s'occupe bien des enfants quand je suis pas là
- On a une maison ensemble maintenant
- Il est pas toujours comme ça avec moi, c'est juste quand je le contrarie
- Il faudrait que j'apprenne à fermer ma grande gueule
Voilà les réponses qu'elle obtenait
Un jour , elle avait libre le mercredi et le jeudi et devait revenir le vendredi commencer sa semaine.
Personne. On a appelé sur son portable pas de réponses.
On c'était toutes dit qu'elle a pris quelques jours de repos et reviendra lundi, on s'en est pas plus inquiété.
Le lundi toujours pas de collègue en vue et toujours pas de réponses à nos coups de fils.
C'est l'après midi qu'on a appris l'horreur par une voisine à elle qui est venu à l'hosto pour nous prévenir.
Le jeudi matin, alors qu'elle était en repos, après avoir emmené ses enfants à l'école une grosse dispute à éclaté entre son mari et elle, elle c'est réfugié dans la chambre et c'est là que les enfants l'on retrouvés poignardé avec 18 coups de couteaux , un vrai acharnement d'après les journaux. Ses enfants en rentrant on vu leurs père recroquevillé dans un coin au salon et leurs mère qui baignait dans son sang.
Elle avait 37 ou 38 ans.
Jamais je n'oublierai.
c'était il y a 4 ou 5 ans de là et son amie encore aujourd'hui s'en veut de ne pas avoir pu la sauver.
Tout ça pour te dire, a part enlever la femme en danger dans son propre foyer et la planquer, on ne peut rien faire si elle refuse l'aide apportée.
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Vittoria a écrit:
Ça me dit un truc, peut être que j'ai déjà lu cette triste histoire ?.
Malheureusement elles leur trouvent souvent des excuses.
Ne veulent pas séparer ces monstres des enfants... Alors qu'eux ils le font : ils séparent la mère pour toujours de ces pauvres petits ?!
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Mirabelle° a écrit:
Effectivement, tu as déjà du la lire car je la poste souvent pour réveiller les conscience des femmes sur ce site de ce qu'elles risquent en continuant à trouver des excuses sur le comportement violent de leurs maris et ceux dès le début de leurs relations . Mais je commence franchement à désespérer, j'ai l'impression que l'effet et le même que si je jetais un petite poignée de sables dans la mer.