Lorsque tu me disais « au revoir » Tu partais seulement pour un soir Le matin un « bonjour » sortait de tes yeux Chaque jour, je me sentais mieux Tu étais toujours là Jamais tu ne me laissa Nous n'avions aucun secret Qu'ils soient beaux ou laids Mais un jour, tu m'as dit « au revoir » Je pensais que ce n'était que pour un soir Le lendemain, je n'eus point de bonjour Par la fenêtre, je regardais, il faisait jour J'attendais ton retour Mon coeur pesait si lourd Je finis par ne plus t'attendre Tu sortis de ma vie comme des cendres S'envolant loin dans les airs Dans mon coeur, même plus un rayon de lumière Pourtant je gardais espoir Un soir par la fenêtre, alors que la nuit était noire Une lumière bleue m'apparut L'oiseau de la nuit se tut Dans cette lumière, c'était toi Ouvrant ma bouche, je n'entendis pas le son de ma voix Je pus lire dans tes yeux Que tu n'étais pas malheureux Je t'accusai de m'avoir abandonnée Tu m'expliquas que tu ne m'avais point quitté Qu'elle est la raison de ton départ ? Lorsque tu m'as dit « au revoir » La lumière s'étant enfuie de mon coeur S'installa dans tes yeux pour offrir ton bonheur Je compris que tu vivais dans les nuages Tu n'étais pas enfermé dans une cage Tu étais plus vivant Tout-à-coup une brise de vent Caressant mes cheveux Alors que tu refermas tes yeux Tu disparus dans les cieux Tu ne me dis pas « Au revoir » Un bonjour surgit de tes lèvres Et tu t'envolas dans les airs Je savais que tu reviendrais Je pus te confier mes secrets Maintenant chaque fois que je lève les yeux Je peux voir que tu es heureux A présent , c'est toi qui m'attends Tu souhaites que je te rejoigne dans très longtemps Malgré cela, je te tiendrais toujours la main Pour que chaque jour soit le lendemain
Lin
La vie est comme un arc-en-ciel: il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs.
.... Elle est là, dans ma vie Je ne sais plus qui je suis Cruelle absence atrocement ressentie Je n'ai plus de souhait que de tomber dans l'oubli Comme cette ombre blessée, Ce bel ange endormi Je me sens poignardée.....
"L'amour qui vit dans les orages et croît au sein des perfidies, ne résiste pas toujours au calme de la fidélité" *Rivarol
Vivons à jamais Le reste du temps ensemble C’est ce que je voulais Mais ce jour, la terre tremble C’était juste ce mois de Mai Je me réveille, tu n’es pas là Et je repousse à demain Tes affaires sont encore là J’ai encore dans la tête, ce câlin Et ce son, ce dernier où tu parlas Il faut que je m’y fasse Mais je reste, de ton départ, fier De toi, de moi, c’est dur De venir faire la prière Mais tu m’entends je suis sûr Du haut de ta pierre.
La vie est comme un arc-en-ciel: il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs.
Je suis assise ici, seule, si triste et solitaire. Je pense à toi souvent chaque minute du jour me demandant comment tu vas, ce que tu fais, souhaitant te serrer dans mes bras. Je suis assise, me souvenant de tout ce que nous avons partagé, rêvant à tout ce qui sera, et je verse une larme pour chaque minute sans toi. Parfois, je crois en ma force et que le temps qui nous sépare s'écoulera vite, et puis parfois, je m'assieds et pleure et me demande pourquoi faut-il que l'amour fasse ainsi mal... Bien que parfois dans la solitude... quelque part dans le vide je me sente pourtant très aimée je réalise que ce n'est pas l'amour qui fait si mal... c'est d'être sans toi.
ahhhhhhhhhh les filles ........dûr dûr les départs, du vécu Pensez plutôt à un poème -ton retour ou bon retour - Je continue ...............
Ton départ, oui.. Ce départ, ce n’était que pour dire au revoir et non adieu, Un départ toutefois bien amer, dur, douloureux et tout chagriné, Tu lui demandes jalousement d’oublier ce départ, Un départ cauchemar qu’elle n’a nullement imaginé… Et dans lequel elle n’a guère souhaité vivre… Ou se ressourcer et ainsi à nouveau de ses maillons et souvenirs,
Ma bien aimée, mon petit cœur, ma puce et dulcinée, comme tu lui disais, Oublies ce passé, et penses à l’avenir ce n’était qu’un cauchemar passager, Et c’est la vie, il a fallu ce départ pour durcir notre vécu à deux, Notre vécu à deux, ma bien aimée, mon petit cœur, ma puce et dulcinée,
Ce départ, ce n’était que pour dire au revoir et non adieu, Un départ toutefois bien amer, dur, douloureux et tout chagriné, Elle se dit, oui une bien aimée, un petit cœur, une puce et dulcinée, Mais elle a hélas peur d’ouvrir à nouveau ses yeux, et de revivre avec sursaut ce départ qui l'a pourtant dépassait, et sans ce départ il n'y aurait tout de même aucune amertume sur ce passé,
Tu la tiens par la main et tu la serres très fort et apaisé contre toi, pour détourner habilement ce départ, on dirait… tu ne t’envoleras probablement point cette fois ci, plus jamais et sans doute pour toujours, c'est ce qu'elle disait sans cesse depuis toujours…
Oublies ce passé, et penses à l’avenir ce n’était qu’un cauchemar passager, Et c’est la vie, il a fallu ce départ pour durcir notre vécu à deux, Ma bien aimée, mon petit cœur, ma puce et dulcinée, comme tu lui disais, Vis, ce beau rêve et oublies les départs mélodrames, Je te le dirais si je souhaiterai un jour faire à nouveau un départ … Chuuuuut disait d’une bonté : susurrement, oui un départ irréfléchi, désuet et sans rancunes…
Je te promets, ma rose d’amour cette fois ci un départ à deux pour… un beau opulent et éternel rêve d’amour à deux la larme aux yeux une larme que sa bien aimée, son petit cœur, sa puce et dulcinée n’a jamais vu de ses journées étant auparavant avec lui..
Un jour sans toi C’est le temps qui s’arrete C’est le vide partout ou tu n’es pas C’est le ciel sans soleil C’est la pluie dans mon cœur Ma vie sans toi c’est le désert ou les nuits sont longues comme les nuits d’hiver Tu me manques tellement ..