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Solduhe a écrit:
Salamou Alaikoum Wa Rahmatou ALLAH Wa Barakatouh.
Une simple question et je pense bi idni ALLAH je vais fermer toutes les portes par les quelles chaitan entre qu'ALLAH le modise !
Esque le doute ici ! c'est le doute venat de esprit ou le doute venant de la bouche ??? parce que ALLAH pardonne a la oumma du prophéte Muhammad ces movaises penseé ..
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Solduhe a écrit:
Par exemple ta un doute dans ESPRIT , le chaitan te wasas >> peut être que le christianisme et vrai ! alors toi en vrai tu c'est que leur croyanceeeeeeee et faux ! mais je rejette la mauvaise pensée.
Si je me trompe pas cette mauvaise pensée et pardonner bi idni ALLAH,
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Solduhe a écrit:
passons, si ta un doute mais dans ta FOI il te fait doute comme le waswas que j'ai cité es que tu reste musulmans
sachon que tu ne rejette pas la croyance musulmane !
Je vous jure que je re- dit au moins 20 fois ou plus au moins la chahada dans la journée de peur être tombé dans la grand association qui fait sortir de islam.
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Solduhe a écrit:
Passons,
Si tu et tombé dans la grande associationnisme MAIS par IGNORANCE et que tu ne rejette pas islam dans ton coeur mais dans ta tête t'es musulman sauf que tu t'es pas rendu compte que tu et tomber sur le grand pechee et que tu meurs le jour même ?? Es que c'est enfer eternel ?
Qu' ALLAH vous récompense, et merci d’écrire des preuves clair pour que je comprenne bien.
Selon le CORAN et la SOUNNAH bifahmi SALAF al oummah
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Solduhe a écrit:
Y a une menace détectes par le virus sur ton lien de cheikh al uthaimin rahimahou ALLAH
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Solduhe a écrit:
Salamou Alaikoum Wa Rahmatou ALLAH Ta'ala Wa Barakatouh,
Maintenant comment reconnaitre le doute dans sa foi et le doute du chaitan ? es que mon frére tu peut répéter la signification de la chahada lié au doute qui fait sortir de islam, excuse moi mais j'ai des problème en français, je te demande ya akhi d'expliquer avec des mots simple et clair et baraka ALLAH fik.
Je rappel que je suis pas née en france, wa LILLAHI lhamd.
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faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Dans le Coran, il est dit :
"Celui qui choisit autre que l'islam comme religion ne sera accepté, et sera dans l'au-delà parmi les perdants"
Ce qui signifie se détourner de l'islam, de la vérité, en toute connaissance, et choisir autre qu'elle, choisir l'erreur au détriment de la vérité.
Et c'est dans ce sens, qu'il est dit dans le verset qui suit( le verset cité) :
"Comment Dieu guiderait-Il des gens qui n’ont plus la foi après avoir cru et témoigné que le Messager est véridique, et après que les preuves leur sont venues? Dieu ne guide pas les gens injustes"
Alors qu'en revanche, il n'est pas dit "celui qui ne choisit pas l'islam sera parmi les perdants", car s'il a été dit ainsi, tout ce qui n'est pas musulman, quelque soit sa situation, sera condamné. La perte ne vient pas du simple fait qu'on n'est pas musulman, mais du fait de connaître la vérité, et en dépit de ceci, se détourner d'elle, de la renier, de vouloir la dissimuler, c'est en telle attitude, de kufr, de rébellion, de non soumission, qu'est la perte.
L'exclusivisme, celui de vouloir se procurer la vérité, le salut, est une pure invention humaine, alors que le Message divin, notamment le Message coranique, est au-delà de toute forme d'exclusivisme.
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faqir a écrit:
il n'est pas dit "celui qui ne choisit pas l'islam sera parmi les perdants",
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faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Faire le takfîr des musulmans, et les accuser de polythéisme, est l'un des plus grands malheurs que connaît la communauté de l'islam. On ne peut nier qu'il y aurait de l'exagération, de l'ignorance, mais l'exagération ne peut être affrontée par une autre exagération, l'ignorance ne peut être affrontée par une autre ignorance, ceci ne peut qu'entraîner à la confusion.
Ainsi, et dans cette confusion, on accuse celui qui fait le tawassul, que ce soit par le Prophète, sur lui le salut et la paix, ou par un saint, de polythéisme, de shirk, alors que le sens de cette wassîla, à savoir le Prophète, ou le saint, dont fait objet le tawassul, en tant que simple cause, et tout le sens de la religion c'est dans ce sens de tawassul et de wassîla, prendre la wassîla auprès de Dieu, que ce soit notre œuvre, notre invocation, et même notre amour vis-à-vis du Prophète, et de sa personne, et par lequel nous nous rapprochons de Dieu, de même que la prière que nous faisons sur lui, et par laquelle nous nous rapprochons de Dieu, n'est en fait que du tawassul à partir de cette wassîla mohammadienne, en tant que wassîla de bien, de miséricorde et de lumière pour nous.
Ce tawassul auprès de Dieu se faisant par ce qui est le plus aimé de Lui, tel les bonnes œuvres, alors qu'il n'y a pas de plus aimé que Son bien-aimé saydina Mohammed, et par là, le tawassul à partir de cette wassîla mohammadienne. Comme j'ai dit, le sens du tawassul c'est de prendre la wassîla, en tant que cause de bien, auprès de Dieu, et l'une des causes, l'une des wassîla de bien, de miséricorde, est la wassîla mohammadienne.
Par exemple, quand je vais au médecin, et que je recours au médicament pour m'aider à parvenir à la guérison, je sais fermement que le Guérisseur c'est Dieu, et rien autre que Lui, et que le médecin, de même que le médicament, n'est dans ce sens que wassîla de guérison. De même, quand j'invoque Dieu en disant : « je T'invoque et je me retourne vers Toi par Ton prophète », ou même en disant « o Messager de Dieu », je ne recours en ce sens qu'à cette wassîla mohammadienne, en tant que wassîla, que cause de bien, de miséricorde, tout en croyant fermement, et sans équivoque, que Celui qui donne, et empêche, c'est Dieu, et pas d'autre que Lui.
Là, il est dit, pour contester ce fait, que le tawassul, et la wassîla, ne peut être demandée que chez un présent, et non un absent. Et même si on suppose que ceci soit vrai, quel rapport y a-t-il entre ceci et le shirk, puisque même qu'il s'agisse d'un absent, il ne s'agit que d'une simple wassîla, que d'une simple cause, que cette wassîla soit physiquement présente ou absente. Et dans ce sens, le différend serait non de croyance, non de a'qîda, mais de jurisprudence, de fiqh.
Et c'est là en fait le grand malheur, on déforme le sens des choses, en faisant d'un différent de jurisprudence un différent de croyance, et au lieu de parler d'erreur (khata') et de juste (sawâb), on parle d'égarement et de shirk, ce qui entraîne à la confusion totale, alors que chez celui qui recourt au tawassul, les choses sont claires, sans équivoque.
Et même en regardant la question de plus près, on trouve que dans cette confusion il y a une mal compréhension quant au sens de la wassîla et du tawassul, c'est comme si faire le tawassul par l'absent, à savoir ici le Prophète, ou le saint, supposerait que cette wassîla physiquement absente aurait le sens d'une sorte d'associé, pris avec Dieu, c'est comme si l'absence lui conférerait une sorte de divinité ou de qualité divine, alors que la qualité divine est en fait la présence, et non l'absence. L'absence est une qualité humaine, et non divine, et cette absence, ou présence, de la wassîla ne lui confère rien de plus ni de moins.
En fait, le sens de cette wassîla mohammadienne n'est d'aucun rapport avec la présence ou l'absence, physique, mais, et comme je l'ai dit, que c'est une wassîla de bien, de miséricorde, de lumière.