Caftans colorés, perruques, accessoires de femmes et ngabs sont les maîtres mots lorsqu’il s’agit des danseurs du ventre à Jamaa El Fna. Mais derrière cette pratique ayant survécu au protectorat français, les explications diffèrent entre ceux qui la définissent comme une nécessité, et d'autres qui la considèrent comme une forme d’acceptation et de tolérance de la société