Au lendemain de la notification écrite de mise à pieds de trois enseignants dans les Facultés de médecine et de pharmacie à Marrakech, Casablanca et Agadir, le ton est monté d’un cran entre corps professoral et étudiants d’un côté et ministères de tutelle de l’autre. Pr. Ahmed Belhous est l’un des enseignants visés par cette décision. Il en explique les dessous à Yabiladi.