Le tribunal s’est notamment basé sur un mail que Zineb El Rhazoui a elle-même envoyé à Driss Sihamedi, où elle affirme qu’elle «n’était pas du tout déstabilisée» par ses tweets.
Depuis plusieurs jours, Idriss Sihamedi publie, dans une série de tweets, des questions à l’adresse de Zineb El Rhazoui, l’interpellant sur sa «résidence» aux Emirats, son mari banquier travaillant au «pôle finance islamique dans une banque au Moyen-Orient» et la possession d'un «riad» à Essaouira. La Franco-marocaine refuse, pour sa part, de commenter des «tweets d’un fiché S».
La fachosphère française a tellement de succès, qu’elle recrute même des militantes des libertés individuelles au Maroc.