Alors que les islamistes du MUR et d’Al Adl Wal Ihsane sont unanimes à qualifier la situation en Tunisie de «coup d’Etat», le PJD se montre plus prudent. Le Maroc officiel n’a pas encore exprimé de position sur le gel du Parlement et la destitution du gouvernement par Kaïs Saïed.
Pour comprendre les conséquences de la tentative de putsch de Skhirat (1971), Yabiladi est parti à la rencontre de participants à cette opération. Ils nous confient ce qui s’est passé et parlent de leur ville, Ahermoumou. Rebaptisée Ribate El Kheir depuis, cette dernière semble avoir été oubliée, tel un châtiment collectif à ceux qui vivent là où tout a commencé.