Au moment où le gouvernement algérien accuse le Maroc de «violation» de l’accord de cessez-le-feu signé avec le Polisario, à la suite de l'opération menée par les FAR à El Guerguerate, le chef du plus grand parti politique islamiste en Algérie s’est attaqué aux Emirats arabes unis. Il a ainsi lié l'ouverture d'un consulat émirati à Laâyoune à la situation tendue au Sahara.
Le Président du plus grand parti islamiste algérien, Abderrazak Makri, a estimé mercredi que le dossier du Sahara occidental ne doit pas causer des tensions entre le Maroc et l’Algérie, tout en estimant que la fermeture des frontières terrestres maroco-algériennes est une erreur qui doit être corrigée.