On dit qu'au Maroc, le sentiment national s'est évanoui. Civisme, valeurs nationales, patriotisme seraient devenus, aux yeux des jeunes, des reliques du passé ; qu'il suffit de voir les symboles et les traditions tombés en déshérence, sinon brocardés, le discours officiel satirisé. Que les anciennes identités collectives ont été moissonnées par de nouvelles individualités et qu'au final, corrodé, le
Pour les hitistes, le service militaire obligatoire. Pour les roguis 2.0, la prison. Le nouveau paradigme du néo-Makhzen. EDITO.