La formation des soignants n’a pour but que de soigner correctement les malades. Mais lorsque la compétence se monnaye, elle se raréfie. De plus, cette vision capitaliste installe une certaine médiocrité au lieu de l’excellence recherchée.
A Assa, chef-lieu de la province d’Assa-Zag, j’ai été agréablement surpris par les moyens mis à la disposition de l’hôpital. Mais comment pourrions-nous motiver des médecins, des sages-femmes et des infirmiers pour y travailler avec enthousiasme, sachant qu’ils ne sont pas du tout habitués à un climat difficile ?