Les normes sociales, culturelles et religieuses qui structurent la société marocaine favorisent l’émergence de «zones grises» qui brouillent la frontière entre le «oui» et le «non».
Doctorante à Sciences Po Aix, spécialiste des questions relatives à l’islam en France, Fatima Khemilat souligne la difficulté, pour les femmes musulmanes victimes de violences sexuelles de la part de responsables religieux, de briser l’omerta, au risque de donner du grain à moudre aux cercles islamophobes.