A l’approche de la première réunion officielle des promoteurs de l’initiative des opposants à la loi-cadre 51-17 portant sur la réforme de l’enseignement, ils découvrent que leur marge de manœuvre de saisir la justice est très réduite.
Tempète dans un verre d’eau ? Après notre article sur l’initiative des défenseurs de la langue arabe, Sion Assidon a apporté un démenti quant à son adhésion. Pourtant, Fouad Abou Ali et Abdessamad Belkebir assurent avoir obtenu son engagement avant de dévoiler son nom à Yabiladi.
Le Mouvement Unicité et Réforme et le Collectif national pour la défense de la langue arabe ont été prompts à fustiger l’adoption du projet de loi-cadre 51-17 au sein de la commission parlementaire. Pour l’instant, silence de Abdelilah Benkirane.
Contrairement aux projets des milieux arabophones, la langue française gagne du terrain dans l’école publique. La dernière décision de la tutelle d’enseigner la langue de Molière dès la première année du primaire a fait sortir de ses gonds Fouad Abou Ali, le président du Collectif national de la langue arabe. Il dénonce une manœuvre pour imposer aux Marocains la langue de «l’ancienne et nouvelle