Avant le blocage des négociations gouvernementales de 2016, le Maroc avait connu la même situation en 2002 et 2007. Dans les deux cas, des interventions directes du Palais avaient mis un terme aux crises. Entre temps, la constitution de 2011 a été adoptée et ne permet plus de telles initiatives. C’est au chef du gouvernement désigné de gérer les problèmes.
C’est une première dans l’histoire de l’un des plus vieux partis au Maroc. Hamid Chabat, un ancien ouvrier, souhaite mettre un terme à la dynastie des Fassi à la tête de l’Istiqlal.