En 1906, le sultan alaouite Moulay Abdelaziz a mené une expédition militaire dirigée par Moulay Idriss, pour défendre le Sahara contre les belligérances françaises. Cet enchaînement a donné lieu à la bataille de Nimlane.
Entre 1902 et 1909, il mènera une rébellion dans le Maroc Oriental, profitant de la dissidence au Maroc et les faiblesses du Makhzen pour convaincre les Marocains. Se faisant passer pour le fils aîné de Moulay Hassan 1er, l’histoire de Bou Hmara ou celui ayant réussi à mener la vie dure à Moulay Abdelaziz.
Courageux, intrépide et proche du sultan Moulay Abdelaziz, Caïd Maclean était un général écossais et instructeur de l’armée marocaine. Au cours de sa carrière l’ayant conduit au royaume, il traversa une série d’expériences passionnantes.
Avant que le Maroc dispose, en 1962, d’une toute première constitution, plusieurs projets verront le jour dès le début du 20e siècle. Parmi eux, un projet de texte constitutionnel publié par le journal tangérois Lissan Al Maghrib. Un texte dans lequel ses rédacteurs appellent à l’octroi de libertés individuelles, d’expression et de culte aux Marocains. Histoire.
Le 11 juin 1906 et après plusieurs jours de torture, le Maroc connaîtra la fin de l’un des procès publics les plus suivis dans le pays, lorsque Hajj Mohammed Mesfewi, cordonnier et rédacteur public, reconnu coupable de meurtre de 36 jeunes femmes à Marrakech, sera emmuré vivant.
La première forme officielle d’une «représentativité populaire» au Maroc date de 1905, du temps du sultan Moulay Abdelaziz. Et c’est la France qui, indirectement, est à l’origine de la création du «Conseil des notables». Cinquante ans plus tard, au lendemain de son indépendance (1956), le Maroc entreprendra une réelle ouverture sur la démocratie avec la mise en place de l’Assemblée
Il y a un peu plus d’un siècle, l'empereur allemand Guillaume II débarquait à Tanger pour rencontrer le sultan Moulay Abdelaziz. Objectif ? Soutenir le royaume chérifien et faire barrage aux ambitions françaises au Maroc. Le jour-même, soit le 31 mars 1905, le troisième et dernier empereur allemand, mais également neuvième et dernier roi de Prusse, prononce un discours qui irrite la France mais aussi les autres puissances
Le businessman Ion Perdicaris, kidnappé par des hommes de Moulay Ahmed Raissouni, était impressionné par le courage et la bravoure du leader des Jbalas. Après une crise entre Theodore Roosevelt et Moulay Abdelaziz, il a confié avoir apprécié la compagnie de Raissouni.