L’élection de quatre nouveaux membres non-permanents au Conseil de sécurité ne devrait pas trop plaire au Maroc. Non seulement le royaume a vu le départ de son allié espagnol, mais il devra aussi composer avec l’élection de la Suède pour la zone Europe occidentale. En revanche pour l’Afrique, Rabat garde, au moins jusqu’au 31 décembre 2017, une avance sur le Polisario.