L’appel à l’émergence d’une nouvelle équipe de dirigeants sahraouis n’émane plus du Maroc mais cette fois d’opposants vivant à l’intérieur des camps. Ils réclament la fin de règne de Mohamed Abdelaziz et les siens et surtout demandent au roi Mohammed VI de nommer Ali El Admi, alias Omar El Hadrami, conseiller royal.