Accusées de servir des «agendas étrangers», certaines associations des droits de l’Homme ont riposté au propos du ministre de l’Intérieur. Une association proche du parti de l’Istiqlal est allée même jusqu’à demander la démission de Mohamed Hassad. De son côté, l’AMDH a exigé du gouvernement des excuses. Explications.