La délégation du Maroc a ainsi accusé l’Algérie d’être «l’instigatrice» d’une déclaration d’un «groupe de pays», lue par le représentant du Zimbabwe sur la question du Sahara. Pour sa part, l’Algérie a exprimé sa «profonde préoccupation face au blocage du processus politique» sur le dossier.
A quand l’organisation d’une troisième «table ronde de Genève» ? Si le Maroc demande d’abord que les choses se stabilisent en Algérie avant d’accepter de reprendre le chemin vers la ville suisse, les Etats-Unis estiment, eux aussi, qu’«il reste beaucoup de chemin à parcourir pour la reprise des pourparlers».