Licencié pour avoir salué ses collègues en arabe, l’agent de sureté à l’aéroport de Nice a été réintégré par le Tribunal administratif de Nice qui a suspendu pour la seconde fois l’arrêté préfectoral émis contre lui. Mais ce père de famille et son avocat pourraient bien donner d’autres suites à cette affaire compte tenu du préjudice
Fait inédit à l’aéroport de Nice. Un agent a été licencié en novembre dernier par la préfecture des Alpes-Maritimes pour avoir salué ses amis en arabe. La décision s’explique également par le fait que le préfet aurait estimé que l’agent a «défavorablement attiré l’attention sur sa personne». Après un recours, le Tribunal administratif avait annulé