Bruxelles ne se laisser pas intimider par le Maroc. C'est en substance le propos du vice-président de la Commission européenne au sujet de la crise migratoire à Ceuta. Changement de ton ou répartition des rôles à Bruxelles ?
Avant même sa rencontre avec la ministre des Affaires étrangères espagnole, Karima Benyaich a déclaré sans ambages à propos de la crise migratoire de Ceuta, «il y a des actes qui ont des conséquences et qu’il faut assumer» en parlant de l'affaire Brahim Ghali.