Les législatives de juin 2007 constitueront l'heure de vérité pour les discours enflammés pour la diversité « républicaine ». Tous les partis se sont engagés à faire une place pour les minorités visibles parmi les notables des palais de la république. Mais à l'épreuve des faits, ces promesses volent en éclat. L'UMP avoue son incapacité à bousculer la vielle garde sortante, tandis que le PS a pris l'engagement de présenter un vingtaine de candidats. La désignation de ces