Nouvelle crise, vieilles accusations. En Algérie, le réflexe est devenu pavlovien : quand une perturbation secoue la région, c’est le Maroc qui est pointé du doigt. Dernier épisode en date, une cyberattaque présumée contre l’Espagne, attribuée sans preuve au royaume et à Israël. Mais les faits, eux, racontent une tout autre histoire — celle d’un Maroc présenté par Madrid comme un