Les Marocains ont une mauvaise image de la magistrature. Et pourtant, les hommes et les femmes de cette profession travaillent dans des conditions lamentables. Leur nombre est insuffisant alors que celui des dossiers qu’ils instruisent est en nette augmentation. Sous d’autres cieux, le remède à cet handicap est le recrutement de jeunes. Chez-nous, ils sont 390 magistrats en chômage forcé. .find_in_page{background-color:#ffff00