Entre la Norvège, meilleur, et l'Afghanistan, pire endroit au monde pour être mère, le Maroc se situe au bas milieu d'un index rendu public par l'ONG internationale Save the Children. Ce classement est une combinaison de la situation des enfants et celle des femmes en général et montre que le Maroc a du chemin à faire pour remonter la pente. Un exemple: le revenu moyen d’une femme au Maroc représente moins de 25% du total de celui d’un
1er décembre 2009, le monde entier célèbre aujourd’hui, la 22e Journée Mondiale de lutte contre le Sida sous le thème « Accès universel et droits humains ». D’après le rapport sur la maladie, intitulé « Le point sur l'épidémie de Sida en 2009 », rendu public le 24 novembre par le Programme Commun des Nations Unies sur le VIH/Sida (ONUSIDA), le nombre des nouvelles infections par le VIH dans le monde a diminué de 17% durant les huit dernières années. Au Maroc, au contraire,
Après Ali Anouzla, deux responsables de publications et des journalistes doivent faire face à la police. Le procureur général de Rabat a ordonné le samedi 5 septembre, à la police d'ouvrir une enquête « minutieuse » auprès des directeurs des hebdomadaires Al Ayam et Al Michaâl suite à la publication d'articles sur la santé du roi Mohammed VI, rapporte l’AFP qui cite une source officielle.
Selon une dépêche diffusé par le Palais royal aujourd’hui, le roi Mohammed VI a été placé en convalescence de cinq jours pour une "infection" qui ne présente "aucune inquiétude sur sa santé".
Le ministère de la Santé a pris les mesures qui s'imposent pour éviter l'éventuelle introduction de la grippe porcine au Maroc, et ce dès le début de l'épidémie, a assuré ce lundi 27 avril la ministre de la Santé, Yasmina Baddou, rapporté par l'agence MAP.
Une commission d'enquête a été constituée par le ministère de la Santé afin de vérifier les informations faisant état de complications chez des nourrissons ayant été vaccinés au DTC-Hib dans un dispensaire de la préfecture d'Anfa à Casablanca.
Hier marginalisée, la classe moyenne est aujourd'hui au centre des préoccupations des hommes politiques marocains. C'est du moins le message qu'essaient de faire passer ces derniers.
Si en Europe, la consommation de boissons alcoolisées n'est pas un interdit religieux, elle est sévèrement contrôlée et des moyens considérables sont mis en œuvre pour sensibiliser la population aux effets néfastes sur la santé et les risques d'accidents. Au Maroc, pays musulman où l'alcool est normalement réservé aux non-musulmans, la société est prise en otage entre la réalité et les discours moralisateurs religieux.