Le tourisme, au Maroc, peine à reprendre des couleurs. L'un des maillons les plus importants du secteur, la Royal Air Maroc, n'est toujours pas au sommet de sa performance. Son ministère de tutelle remet en question sa stratégie depuis la crise de 2011.
Après une importante crise à l’échelle nationale et internationale, le low cost prend à nouveau de la vitesse au Maroc. Plusieurs compagnies qui avaient suspendu leurs lignes vers le royaume relancent la destination avec pour certaines, de nouvelles offres. Et les MRE, ayant subi les conséquences de la crise sont satisfaits, mais dans une moindre mesure.
L’aérien marocain connait des difficultés depuis le début de l’année. Et le Maroc envisage cette fois un retour sérieux au charter, selon le ministre du Tourisme, Lahcen Haddad. Serait-ce une solution à la crise du low cost ?
Progrès au niveau de la capitalisation, de la formation professionnelle et de la réduction des effectifs et des dépenses, la RAM commence à sortir peu à peu de la crise qui a exposée la compagnie nationale à la faillite.
C’est l’été, ce sont les vacances et les voyages sont d’actualité. Les Marocains résidant à l’étranger qui choisissent l’avion pour retourner au pays devraient connaitre leurs droits face aux imprévus des compagnies aériennes.
Et ça s’enchaine ! Il y a à peine deux semaines, Ryanair annonçait la suppression d’une trentaine de vols vers le Maroc. Aujourd’hui c’est Easyjet qui s’y met et décide de suspendre certains vols en provenance et à destination du Maroc. Effet de contagion ?