Emmanuel Macron a été élu président de la République française, ce dimanche 7 mai 2017, battant Marine Le Pen avec plus de 65% des suffrages exprimés. Le roi Mohammed VI lui a adressé un message de félicitations.
Le Maroc a mis les petits plats dans les grands pour accueillir François Hollande lors de sa première visite officielle au royaume. Après les kilomètres de tapis rouges déroulés sous les pieds du président français (cf article), le pays a concocté un festin royal pour le couple présidentiel, que François Hollande, connu pour être un bon vivant, n’oubliera certainement pas de sitôt.
La vidéo de l’émission du Petit Journal diffusée hier soir a circulé à vitesse grand V aujourd’hui sur les réseaux sociaux marocains. Et pour cause ! Yann Barthès et son équipe se moquent de l’accueil réservé au président français par le Maroc.
La visite de François Hollande au Maroc a apporté son lot de boulettes et d’insolites. Entre la sortie de drapeaux hollandais au lieu de drapeaux français dans les rues marocaines, ou encore la disposition de dizaines de tapis rouges dans un boulevard casablancais, un jour de pluie, pour accueillir le président français, les réactions des Marocains fusent sur les réseaux sociaux.
Ni l’affaire Cahuzac, ni la pluie, encore moins les supporters rajaouis, n’auront réussi à reporter la visite de François au Maroc. Le président français est bel et bien arrivé, ce mercredi en début d’après-midi, au royaume pour une première visite d’Etat officielle, trois mois après celle effectuée en Algérie. Un accueil «très chaleureux» lui a été
J-1 avant l’arrivée du président français au Maroc, pour une visite officielle de deux jours. Certains résidents français au royaume, s’opposant au mariage gay en France, sont bien décidés à dire à François Hollande ce qu’ils pensent de ce projet de loi, un projet qui faisait partie de ses engagements de campagne avant son élection.
C’est l’un des 60 engagements de campagne de François Hollande qui a fait le plus polémique depuis son élection à l’Elysée le 15 mai dernier. Le droit de vote des étrangers non communautaires aux élections locales, une mesure qui traine depuis l’ère Mitterrand, ne semble aujourd’hui plus faire partie des priorités du gouvernement socialiste.