La population de Moulay Yaâcoub, lassée par trois tours d’élections législatives partielles en moins de 3 ans, sera appelée à élire, pour la quatrième fois, son député. Le Conseil constitutionnel en a décidé ainsi. Il a annulé le résultat du scrutin du 24 avril dernier pour «usage d’emblèmes nationaux» par le candidat du parti de la Balance. Sans déroger
Le premier duel sérieux entre Chabat, l’opposant, et Benkirane, le chef de gouvernement, qui s’est déroulé, hier, à Moulay Yaâcoub, a donné la victoire par point au candidat du parti de la Balance. Le secrétaire général de l'Istiqlal savoure sa victoire, les islamistes crient à la fraude.
Selon une étude récente, le vote des musulmans de France se porterait désormais nettement, et plus qu’avant, à gauche. Que dire d’un tel résultat, qui peut, autant à la faveur du nombre que de l’époque, ouvrir la porte à des sociologies pour le moins douteuses !
Dans un Etat qui se dit musulman, dont le chef d’Etat a pour titre officiel Commandeur des croyants, où le culte musulman (du moins dans sa version sunnite malékite) est une administration publique, et dont le statut personnel est à fondement religieux, il peut paraître surprenant que des élections soient invalidées par le juge électoral parce que des tracts électoraux des candidats vainqueurs comportaient des photos dont
Le parti de l’Istiqlal a un nouveau secrétaire général. Le face à face Hamid Chabat-Abdelouahed El Fassi a donné la victoire au syndicaliste par 478 voix contre 758 pour le fils du fondateur du PI. Dans son message de félicitation, le roi Mohammed VI a qualifié Chabat d'homme «convaincu du militantisme de proximité».
Abdelilah Benkirane est au zénith. Dimanche, ses «frères» ont réitéré, et à une écrasante majorité, leur confiance en lui au poste de secrétaire général du PJD. Fort de ce soutien, il s’est entouré d’une garde très fidèle à sa personne. Une manière pour lui de préparer Abdellah Baha, son ami de toujours, à sa succession en 2016.
C’est un vol. Purement un vol. J’accuse le consulat français de Casablanca d’avoir volé mon droit de vote ce dimanche 22 avril pour le premier tour des élections présidentielles françaises et ce, à cause d’une erreur administrative commise par ses employés qui ne m'ont pas enregistré sur les listes des votants.