Les fortes précipitations observées ces derniers jours ont eu un effet des plus désastreux, surtout dans les villes du nord-est du pays. Pluies diluviennes, inondations, et les habituels dégâts matériels qui les accompagnent ont transformé depuis peu, le quotidien des habitants de ces régions en véritable calvaire.
Quelque 80 mineurs d'origine marocaine en situation irrégulière sur lesquels le ministère public a ouvert des dossiers de rapatriement, l'année dernière sont encore en attente à Malaga, et n'arrivent pas à être transférés vers le Maroc à cause de « problèmes de fonctionnement », rapporte l'agence de presse EFE.
L'Association des étudiants marocains à Grenade (sud de l'Espagne), compte mener des actions dans les jours à venir, pour protester contre les « entraves » qu'il rencontrent pour le renouvellement de leurs cartes de séjour, rapporte la MAP.
Selon les estimations, il y aurait des milliers de femmes et d’hommes sans état civil au Maroc. Une situation qui a des conséquences dramatiques et parfois tragiques. Si l’Etat s’est engagé à procéder à une grande opération de régularisation massive d’alliances non déclarées avec comme échéance le 05 février 2009, il n’en reste pas moins que l’urgence «urge».
Alors que la période estivale s’achève, place à la rentrée. Cette année, c’est le ramadan qui va donner le tempo d’une rentrée…difficile pour la majorité des ménages. En effet, le mois sacré est souvent celui de tous les excès. Les sollicitations sont nombreuses. Et c’est le portefeuille qui est (aussi) à la fête.
Détectée le 23 juillet dernier, la maladie de la peste des petits ruminants a déjà causé la perte de quelques 1.506 têtes de bétail. Le ministère de l’Agriculture affirme par ailleurs que la situation se stabilise et ce, grâce aux mesures d’urgence entreprises par le gouvernement.
Le droit de mener une vie familiale « normale » a été reconnu comme un droit fondamental. Depuis 1978, le Conseil d’Etat a reconnu « la faculté à chaque étranger de faire venir auprès de lui son conjoint et ses enfants mineurs » et, par la même occasion a élevé le droit de vivre en famille au rang de « principe général de droit ». De son côté le Conseil Constitutionnel a rappelé en 1993 et en 1997 que « les étrangers dont la résidence en France est stable et
Malgré le succès retentissant du film Indigènes, la situation de «nos aînés» n’évoluent guère, elle empire même. A Bordeaux, à Dreux,…ils meurent dans la plus grande indifférence. A l’aube du troisième millénaire, doit-on accepter…l’inacceptable ?
Lorsque le bon sens ne suffit pas, alors dire sa réprobation devient une nécessité et un acte citoyen. A l’approche de chaque échéance électorale en France la question de l’immigration s’invite et s’installe avec le lot habituel de mauvaise foi et autres instrumentalisations. Elle devient le lieu commun pour déverser ce qu’il y a de vil ou d’abject : le rejet, l’égoïsme et la xénophobie.