«Les Chevaux de Dieu», film réalisé par le franco-marocain Nabil Ayouch, a reçu une véritable standing ovation lors de sa première au Festival de Cannes ce samedi. Racontant l’embrigadement par des salafistes de deux jeunes adolescents du bidonville de Sidi Moumen à Casablanca, le film se sert de la trame historique de ses personnages pour reconstituer le fil des évènements qui ont conduit aux attentats du 16 mai 2003.
Dénoncer la normalisation avec Israël est la marque déposée de certaines associations. Khalid Soufiani vient de monter au créneau sur le journal Attajdid. Dans le viseur, le documentaire «Tinghir-Jérusalem, les échos du Mellah» de Kamal Hachkar, diffusé le 8 avril dernier sur 2M.
La troisième édition de Mediterranean Delight Festival fait l'objet d'une vive polémique médiatique. En cause, la participation d’une ou de plusieurs danseuses israéliennes, à l'instar de l'édition qui l'a précédée.
Entre crimes contre l’humanité commis par le régime baathiste en Syrie et assassinat d’écoliers juifs en France, l’actualité au Maroc peut sembler anodine vu de l’extérieur. Les Marocains savent, eux, qu’il n’en est rien. Une économie menacée par la sécheresse – au pays de «gouverner, c’est pleuvoir» (formule du Maréchal Lyautey), chacun sait ce que cela signifie – et
«Islam and the city» est une croisade contre les clichés qui gravitent autour de l’islam. Pour sa 6e édition, du 7 au 17 septembre, à Paris, le festival a choisi de parler du 11 septembre, un évènement qui a abimé l’image de l’islam dans l’imaginaire collectif occidental. Islam and the city veut essayer de réparer les dégats à coup de spectacles, performances, projections et expositions, avec