Le ministre français de l’Intérieur anime toujours la polémique. Alors que certains attendaient des excuses à la suite de la publication d’une vidéo dans laquelle il tenait des propos jugés racistes, Brice Hortefeux a surpris en exprimant tout simplement ses regrets. Au moment où ces regrets sont acceptés d’un côté, l’affaire est close pour d’autres. Mais il reste encore certains qui persistent et signent pour demander sa démission, ou portent plaintes contre lui.
Une vidéo mise en ligne le jeudi après-midi par Le Monde secoue la France entière. On y voit le ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux, faire une déclaration alors qu’on lui présentait un jeune militant de l’Union pour un mouvement populaire (UMP), Amine Benalia-Brouch, « né en France de mère portugaise et de père algérien » d’après l’AFP. Les propos du ministre dont la démission est demandée par la gauche, sont taxés de « racistes » et « anti arabes », mais le
La visite de «travail» de Brice Hortefeux, ministre Français de l’Emploi et de la Formation professionnelle au Maroc, la semaine dernière, a été marquée par une rencontre…informelle avec Fouad Ali El Himma, ancien ministre délégué au ministère de l’Intérieur, fondateur du nouveau courant politique, Parti Authenticité et Modernité (PAM), mais, surtout, l’ami (très) proche du roi Mohammed VI.
Brice Hortefeux, le ministre «Immigration et Identité nationale» de Nicolas Sarkozy est sous tension. Celui qui avait déclaré la «guerre» aux candidats à l’immigration clandestine et à ceux qui se trouvent sur le sol français, mais dont la situation administrative n’est pas en conformité avec la loi. La «chasse aux clandestins» est devenu monnaie courante et les expulsions ont été «normalisées» et expéditives. De quoi expliquer le revers de Jean-marie Le Pen, le leader