Selon une dépêche de l’agence financière américaine Bloomberg, l’hypothèse d’une cession-scission des actifs internationaux du géant français des télécoms paraît de plus en plus vraisemblable. La décote «colossale» du holding sur le marché boursier en serait la raison principale. «Ex-entreprise la plus rentable» du groupe français, Maroc Télécom
Les banlieues françaises comptent aujourd’hui 8 millions d'habitants, soit 12% de la population de l’hexagone. Des chiffres importants qui peuvent changer la donne d’une élection présidentielle… si seulement une partie de ces habitants se rendaient aux urnes pour voter. Car ni la gauche, ni la droite, n’ont réussi à répondre aux attentes des habitants de la banlieue.
Après la colère et le choc du Maroc suite au vote négatif du parlement européen sur l’accord de pêche Maroc-UE (cf notre article), mercredi dernier, les choses paraissent plus claires comme de l'eau de roche pour le royaume : le pays saura se passer des 36 millions d’euros des Européens et se débrouiller tout seul pour développer le secteur de la pêche.
Rupture. Aujourd’hui, ce terme est dans toutes les bouches des décideurs politiques marocains. En effet, il n’y a pas un ministre (ou un haut commis de l’Etat) qui n’emploie pas «la rupture» dans son discours officiel. Rupture dans la manière de gouverner, rupture, dans le fonctionnement des institutions, rupture, dans l’approche des problématiques macro-économiques, rupture, avec les anciennes méthodes, rupture, avec…